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Situé principalement au [[collège]] [[catholicisme|catholique]] Saint-Vincent d’Égleyrac, en Gascogne, ce récit relate l’évolution psychologique du jeune Paul Viannens et de ses camarades, de la sixième à la terminale.
Situé principalement au [[collège]] [[catholicisme|catholique]] Saint-Vincent d’Égleyrac, en Gascogne, ce récit relate l’évolution psychologique du jeune Paul Viannens et de ses camarades, de la sixième à la terminale.


L’éveil de l’affectivité et de la [[sexualité]] y est particulièrement évoqué, avec les inévitables tendances « unisexuelles », que l’auteur attribue à l’enfermement de l’[[pensionnat|internat]] et à la sévérité excessive de la [[morale]] [[christianisme|chrétienne]].
L’éveil de l’affectivité et de la [[sexualité]] y est particulièrement évoqué, avec les inévitables tendances « unisexuelles », que l’auteur attribue à l’enfermement de l’[[internat]] et à la sévérité excessive de la [[morale]] [[christianisme|chrétienne]].


Bien qu’il s’en défende, l’ouvrage est nettement [[anticléricalisme|anticlérical]], voire antichrétien. Par de nombreux aspects, il annonce ''[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)|Les amitiés particulières]]'' de [[Roger Peyrefitte]], qui lui est pourtant postérieur de quarante ans : le personnage de l’abbé Meyrac, en particulier, évoque irrésistiblement le [[Xavier de Trennes|père de Trennes]].
Bien qu’il s’en défende, l’ouvrage est nettement [[anticléricalisme|anticlérical]], voire antichrétien. Par de nombreux aspects, il annonce ''[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)|Les amitiés particulières]]'' de [[Roger Peyrefitte]], qui lui est pourtant postérieur de quarante ans : le personnage de l’abbé Meyrac, en particulier, évoque irrésistiblement le [[Xavier de Trennes|père de Trennes]].
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*[[Amitié particulière (psychologie)]]
*[[Amitié particulière (psychologie)]]
*[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)]]
*[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)]]
*[[Pensionnat]]
*[[Internat]]
*[[Prêtre chrétien]]
*[[Prêtre chrétien]]



Dernière version du 1 septembre 2019 à 22:39

Adolescents : mœurs collégiennes est un roman français publié en 1904 par Jean Rodes (pseudonyme d’Eugène Bouton, 1867-1947).

Thèmes principaux

Situé principalement au collège catholique Saint-Vincent d’Égleyrac, en Gascogne, ce récit relate l’évolution psychologique du jeune Paul Viannens et de ses camarades, de la sixième à la terminale.

L’éveil de l’affectivité et de la sexualité y est particulièrement évoqué, avec les inévitables tendances « unisexuelles », que l’auteur attribue à l’enfermement de l’internat et à la sévérité excessive de la morale chrétienne.

Bien qu’il s’en défende, l’ouvrage est nettement anticlérical, voire antichrétien. Par de nombreux aspects, il annonce Les amitiés particulières de Roger Peyrefitte, qui lui est pourtant postérieur de quarante ans : le personnage de l’abbé Meyrac, en particulier, évoque irrésistiblement le père de Trennes.

Texte intégral

Première partie
(Avertissement — Chapitres I à IX)
Deuxième partie
(Chapitres I à XI)

Voir aussi

Bibliographie

  • Adolescents : mœurs collégiennes / Jean Rodes. – 2e éd. – Paris : Mercure de France, 1904 (Tours : Deslis Frères, 9 janvier 1904). – 218 p. ; in-8.

Articles connexes