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| 20160628={{Extrait|id=7836929|''Greek love is as widespread as mankind; it is as valid a manifestation of love as is any other, no more and no less, with motivations much the same, and consequences to the participants much the same as in any other; it is easily understandable in terms of a general theory of love; it is not automatically decisive in determining the direction of either partner’s later sexual orientation; it has persisted in one form or another, publicly acknowledged or concealed, for thousands of years, despite shifting cultural attitudes by turns favorable, indifferent, blind or hostile; the rises and falls in its comprehension, appreciation and practice—and therefore to some extent the effects on its recipients—have coincided fairly closely with the vicissitudes of classical education; the attitudes and literary manifestations connected with it have varied pretty much in the same way as the corresponding attitudes and literary manifestations connected with other forms of love; (...)
| 20160728={{Extrait|id=8640371|{{personnage|L’Abbé de Pradts}} ''(s’adressant au Supérieur)'' :<br>L’affection, j’en avais une pour cet enfant. Vous l’avez ruinée et en quelque sorte déshonorée, elle qui était si propre.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=3-4}}}}
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=III|scène=VII|page=164}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</p>
| 20160629={{Extrait|id=7850877|Ce sont les adultes qui parlent pour les enfants, comme les blancs parlaient pour les noirs, les hommes pour les femmes. C’est-à-dire de haut, et de dehors.
| 20160729={{Extrait|id=8696064|{{personnage|Malatesta}} : En quelque tribunal qui soit au monde, il suffit de voir les têtes des juges pour savoir que l’accusé est innocent.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=7-8}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=365|section=''Malatesta'' (1946)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160630={{Extrait|id=7876461|Ces jeunes vedettes, jetées, presque dans l’enfance, de l’obscurité à la plus vive lumière, reçoivent cependant une ombre émouvante qu’étend sur elles l’incertitude de leur avenir. Ce ne sont pas tout à fait des enfants perdus, mais ce sont des enfants menacés. Menacés par la trahison de leur propre nature, qui un jour refusera peut-être de fournir plus longtemps les richesses mystérieuses des premières années ; menacés aussi par le public, qui goûte le sang quand il lui est permis de se venger des réputations qu’il a lui-même construites.
| 20160730={{Extrait|id=8700213|« Tu ne dois pas trop investir en moi, personne ne doit trop investir en personne. Quand tu me dis, « je vous appartiens entièrement, je suis votre esclave », cela ne me plaît pas. Sache que tu n’appartiens à personne, ni à tes parents ni à moi, tu n’appartiens qu’à toi. »<br>Le plus important service que je puisse rendre à un adolescent, après lui avoir transmis tout ce que je suis capable de lui transmettre, c’est de lui enseigner à se passer de moi.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=292|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes de 1948 sur ''Fils de personne'' »}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=66}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160701={{Extrait|id=7997239|Les mouvements intérieurs sont également réglementés : tu n’as pas de désirs sexuels avant le moment prescrit par tes adultes, ni vers qui tu veux (sens obligatoire vers sexe opposé), sauf permissivité (blâmable et rare). Ils n’aiment pas qui ils veulent hors de la famille, Je ne veux pas que tu voies A., — et dans la famille ils aiment, cela va de soi (les parents n’étant, sur ce point, pas plus libres).
| 20160731={{Extrait|id=8714266|{{personnage|Le père Guérassime}} :<br>Là où est l’amour, là est le Christ. Les théologiens, surtout lorsqu’ils sont moines et voués au célibat, adorent écrire des livres à la gloire du « mariage chrétien » ; ils oublient que le vrai sacrement de l’amour n’est pas le mariage : c’est l’amour.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=44}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=8|page=233-234}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160702={{Extrait|id=8001499|Dieu merci, les seuls enfants qu’il avait eus, c’était ceux des autres.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=5|page=67}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20160703={{Extrait|id=8048061|Il y a des degrés pour la vertu, il ne devrait pas y en avoir pour le vice. Il ne trouve d’excuse que dans l’accomplissement impitoyable de sa destinée. Il lui faut aspirer aux sommets ou aux abîmes, tout sauver ou tout perdre, abdiquer ou triompher. Ses vrais triomphes sont rares.
| 20160801={{Extrait|id=8739237|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>L’enfant de douze ans a atteint un point d’équilibre et d’épanouissement insurpassable qui fait de lui le chef-d’œuvre de la création. Il est heureux, sûr de lui, confiant dans l’univers qui l’entoure et qui lui paraît parfaitement ordonné. Il est si beau de visage et de corps que toute beauté humaine n’est que le reflet plus ou moins lointain de cet âge. Et puis, c’est la catastrophe. Toutes les hideurs de la virilité – cette crasse velue, cette teinte cadavérique des chairs adultes, ces joues râpeuses, ce sexe d’âne démesuré, informe et puant – fondent ensemble sur le petit prince jeté à bas de son trône. Le voilà devenu un chien maigre, voûté et boutonneux, l’œil fuyant, buvant avec avidité les ordures du cinéma et du music-hall, bref un adolescent.<br>Le sens de l’évolution est clair. Le temps de la fleur est passé. Il faut devenir fruit, il faut devenir graine. Le piège matrimonial referme bientôt ses mâchoires sur le (...)
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Genève|éditeur=Éd. Famot|collection=Grands romans contemporains|année=1974|page=7}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=104-105}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20160802={{Extrait|id=8789755|Pour être éternel, il suffit au vrai amour d’avoir existé.
{{Réf Livre|référence=Les ambassades/Flammarion, 1951|section=1{{e}} partie, chap. I|page=11}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les ambassades (citations)]]</p>
| 20160803={{Extrait|id=8824592|La voix chantée du garçon impubère a la même emprise, les mêmes séductions que la vue et le toucher de son corps nu.<br>Les maîtrises ont construit de ce charme, au fil des siècles, un art musical émouvant et très chatouilleur, que seule en Europe méconnaît cette France qui ne s’émeut jamais, ne se chatouille guère et ne chante pas.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p>
| 20160804={{Extrait|id=8837496|Tous les amours se rejoignent. Plus l’objet aimé nous est interdit, plus il nous prépare au grand sacrifice. Il se confond bientôt avec Dieu lui-même.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=247}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160704={{Extrait|id=8080853|À présent, le terme « pédophile » est devenu un synonyme de violeur d’enfant, un synonyme d’assassin. Et l’homme (ou la femme) qui vit un grand amour avec une fille (ou un garçon) de quatorze, quinze ans, est mis(e) par l’opinion publique dans le même sac d’abjection que la brute qui viole un enfant sans défense.<ref name="Mamma, li Turchi" />
| 20160805={{Extrait|id=8839653|Ils sont beaux jusqu’à la douleur, ces jeunes garçons raides et lisses comme leurs verges : trognes d’enfants, silhouettes criminelles, éclairs nacrés des dents, des yeux, ricanements anatides, aines blondes et nerveuses au sperme torrentiel. Cela jette les hommes mûrs, laids, ventrus, velus, célèbres, dans des émois religieux.<br>Hélas, ces adolescents sortent leur beauté en ville sans rien mettre dessous. Ils n’ont qu’une puce dans le crâne, ils n’admirent pas votre esprit, ils ignorent même le nom du bougnat verdâtre qui orne leur billet de banque préféré. Cruauté du désir que la jeunesse inspire. Je vous maudis, charmes trompeurs !
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« À propos du viol » (13 décembre 2007)|page=93}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=21}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20160705={{Extrait|id=8092953|Et les enfants de chœur, branlant du chef, opinent…
{{Réf Chanson|titre=La religieuse|auteur=Georges Brassens|interprète=Georges Brassens|album=Misogynie à part|date=1969|label=Philips}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Enfant de chœur]]</p>
| 20160706={{Extrait|id=8107439|Les adultes ont peur. La « peur panique » soi-même.<br>Le plaisir, c’est dangereux. Rougeur subite de la jeune mère qui, la première fois qu’elle donne le sein, se met à jouir, personne ne l’avait prévenue et elle sent bien que c’est mal. Et ces nourrices autrefois qui baisaient les petits enfants au sexe tandis qu’elles les allaitaient. Ça devait faire des repas un moment assez riche. Et ces petits qui se caressent, devant le monde les innocents, le monde se détourne gêné, et la maman retire la main en disant que c’est pour son bien. Au petit, oh les hypocrites, c’est eux qui sont troublés. Les adultes se glacent devant les enfants parce qu’ils ont peur pour eux-mêmes et leur vertu si chèrement acquise.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=185}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160707={{Extrait|id=8154132|Je deviens citoyen du monde quand j’apprends, saisi de rêverie, qu’il naît sur terre trente-neuf millions de garçons chaque année. Je vois une aube, un arc-en-ciel. Tous sont beaux, à coup sûr, tous me parlent avec plaisir : et leur nombre me convaincrait déjà de vivre trente-neuf siècles.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=54}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160708={{Extrait|id=8220503|Croissance des enfants du voisinage et des amis. Tristesse vingt fois vécue : voir ''quelqu’un'' devenir n’importe qui.
| 20160806={{Extrait|id=8853186|J’éprouvais, comme je ne l’avais jamais éprouvée, la fatalité d’un amour lié au culte d’un âge, âge qui s’envole tandis que nous le cueillons ou que nous hésitons à le cueillir. Ces formes dont l’ambiguïté va disparaître, ces joues lisses qui vont être adolescentes, cette ardeur qui se cherche et n’a pas encore trouvé l’autre sexe, ne durent qu’une saison.<br>« Un été suffit pour faire du gentil chevreau un bouc velu », dit une épigramme de l’Anthologie grecque. Un conteur japonais a exprimé la même idée plus poétiquement : « La beauté des jeunes garçons s’évanouit, dès que la boucle de leur front est coupée et qu’ils revêtent des robes à manches courtes. Leur amour n’est donc qu’un songe passager. » Je me rappelais également les paroles de Pausanias dans le ''Banquet'' de Platon : « Une loi devrait interdire d’aimer les jeunes garçons, pour qu’on ne gaspillât pas tant de soins à une chose incertaine. »<br>Cette loi est venue depuis longtemps, sous l’empire (...)
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}}
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=26-27}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160709={{Extrait|id=8246791|Un enfant est en permanence sous le regard des adultes. Il n’y a que le tôlard qui en soit au même point. Lui, c’est pour le punir. Les enfants, c’est pour les « protéger ».
| 20160807={{Extrait|id=8854371|Je puis sans forfanterie penser que j’ai beaucoup de chance d’appartenir à la génération qui est la mienne ; que dans tous les domaines, à commencer par le plus important qui fut la liberté de vivre nos passions à fond la caisse, nous aurons été extraordinairement privilégiés. Loin de moi l’intention de médire des professeurs d’aujourd’hui, des philosophes d’aujourd’hui, des politiciens d’aujourd’hui, de l’ersatz de liberté dont nous jouissons aujourd’hui, mais, je ne sais pourquoi, ils me paraissent beaucoup moins… enthousiasmants.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=43}}}}
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : Alain Juppé, les carpes et les lapins|périodique=Le Point|date=12 juin 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-alain-juppe-les-carpes-et-les-lapins-12-06-2014-1835590_1885.php matzneff-alain-juppe-les-carpes-et-les-lapins-12-06-2014-1835590_1885]}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160808={{Extrait|id=8869365|Les enfants sont « irresponsables » mais peuvent néanmoins être jugés, pour délits de droit « commun », et en plus pour des délits propres à eux, qui n’en seraient pas si commis par des adultes (activités sexuelles « précoces », actes de rébellion, cela variant selon les pays). Aux fins de leur « protection » ils relèvent de tribunaux à part, de juges spéciaux, et, en fonction du degré de paternalisme et non de textes précis, ils peuvent se voir condamnés pour de longues années (jusqu’à la majorité) à détention dans des établissements conçus pour les sauver et rééduquer.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=103}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160710={{Extrait|id=8270417|{{personnage|Le Supérieur}} ''(s’adressant à l'Abbé de Pradts)'' :<br>Il ne faut jamais pousser un enfant contre ses parents. La partie nous est trop belle.
| 20160809={{Extrait|id=8870356|Ô dur et douloureux enfantement ! La voix naissait : une extraordinaire chose qu’une voix de treize ans (qui occupe si peu de place) soit seule dans toute une grande église ! Elle naissait, elle montait, pure comme un rayon de lumière, mais fragile, et manifestement sans défense, et si nue qu’on en avait de la gêne, la crainte d’être indiscret.
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=III|scène=VII|page=165}}}}
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=116|section=''La relève du matin'' (1920), « Trois variations sur le thème : Maîtrises »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p>
| 20160711={{Extrait|id=8294954|Où n’y a-t-il pas plein de petits gosses, en Italie, dans la vraie Italie, de Florence à Syracuse, de Toscane en Sicile ?
| 20160810={{Extrait|id=8889265|''The love relationship between adult and boy, then, is necessarily different from what it would be among people of the same age and equal in other respects. It has to take into consideration the immaturity, pliability and changing nature of the boy. In short, like parental love, like the love of an older brother for a younger, like the love of a mature man for his young, inexperienced or less-educated bride, it is an ''asymmetrical'' relationship. The man has to be a guide-philosopher-friend and counselor to the boy, someone whom the boy can look up to and trust, someone who will answer his questions, someone in whom the boy can confide without fear of rebuff, ridicule or report back to parents, someone from whom the boy can learn things he needs to know but which he wouldn’t learn at school or from other boys his own age or (most likely) even from his parents, ''someone prepared to watch the boy start to grow away from initial dependence and towards girls''. (...)
{{Réf Livre|titre=[[L’Élu (Achille Essebac)|L’Élu]]|auteur=Achille Essebac|éditeur=L’Édition Moderne, Ambert et C{{Exp|ie}}|année=1902|page=non précisée|chapitre=XVI}}}}
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=8}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160712={{Extrait|id=8312019|Une mère qui, veuve ou divorcée, élève seule son fils est moins hostile qu’une mère en puissance d’époux à une amitié entre le jeune garçon et un aîné. Dans la mesure du possible, je choisis mes petits amis dans les familles désunies, chaotiques, et je m’en trouve toujours bien.
| 20160811={{Extrait|id=8923278|''With a relaxation of taboos and legal pressures, open discussion and knowledge would replace ignorance, and the boys themselves would be better able to decide whether to go after—or accept the interest of—this man or that. (For such desires aren’t exclusively one-sided; modern psychiatric evidence indicates that the boys themselves often make the first move.)''<br>—<br>Si les tabous et les pressions judiciaires diminuaient, le débat ouvert et la connaissance remplaceraient l’ignorance, et les garçons eux-mêmes seraient mieux capables de décider s’ils recherchent tel ou tel homme — ou s’ils acceptent son intérêt pour eux. (Car de tels désirs ne viennent pas toujours du même côté ; la psychiatrie moderne a prouvé que les garçons eux-mêmes prennent souvent l’initiative.)
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=108}}}}
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=12}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160713={{Extrait|id=8335964|''Despite many attempts by apologists for homosexual acts between adults to justify them by appealing to the example of the ancient Greeks, the adult homosexuality of today has little in common with Greek attitudes or practices.''<br>—<br>En dépit de nombreuses tentatives des défenseurs des actes homosexuels entre adultes pour les justifier en faisant appel à l’exemple des anciens Grecs, l’homosexualité adulte d’aujourd’hui a peu de choses en commun avec les attitudes ou les pratiques grecques.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=3}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160714={{Extrait|id=8360507|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Comment ai-je été assez fou pour croire que cette société exécrée laisserait vivre et aimer en paix un innocent caché parmi la foule ?
| 20160812={{Extrait|id=8946360|Priape est le dieu des garçons. C’est lui qui, en leur révélant les plaisirs solitaires, préside à leur seconde naissance – leur véritable naissance à la vie. C’est lui qui, par la main d’un frère, d’un cousin, d’un camarade, fait leur apprentissage de l’amour réciproque, quand ce n’est pas par celle d’un oncle, d’un parrain, d’un ami de la maison, d’un confesseur, d’un professeur, d’un valet ou d’un inconnu dans un lieu public. Jadis, pour les rois enfants, ce soin charitable était réservé aux cardinaux premiers ministres (Mazarin avec Louis XIV, Fleury avec Louis XV). Peu de garçons ont été initiés par une fille ou une femme. Vénus, dont Priape est le fils aussi bien que Cupidon, se présente, lorsque, selon le proverbe grec, « le chevreau est devenu bouc ». Et c’est bien parce que Priape est le dieu des garçons que Tibulle lui demande le secret de les séduire, car « son habileté séduit tous les beaux ». Les séduire est moins difficile que de les aimer et d’en être aimé.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=132}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=13}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20160715={{Extrait|id=8392636|{{personnage|L’Abbé de Pradts}} ''(s’adressant à Souplier)'' :<br>Dieu a créé des hommes plus sensibles que les pères, en vue d’enfants qui ne sont pas les leurs, et qui sont mal aimés, et il se trouve que vous êtes tombé sur un de ces hommes-là.
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=I|scène=II|page=28-29}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</p>
| 20160716={{Extrait|id=8433733|{{personnage|Nil Kolytcheff}} :<br>Aucun mérite particulier n’est attaché à l’amour des garçons ou à l’amour des filles.
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=XIII|page=149}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160717={{Extrait|id=8433816|Les très jeunes sont tentants. Ils sont aussi tentés. Je n’ai jamais arraché ni par la ruse ni par la force le moindre baiser, la moindre caresse.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=44}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160718={{Extrait|id=8437566|Le pédéraste, l’amant des très jeunes, garçons et filles, est voué à une existence de rebelle, d’outsider, d’hérétique, une existence qui est un continuel pied de nez aux grandes personnes, à leurs soucis, à leurs ambitions, à leur mode de vie.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=81-82}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160719={{Extrait|id=8470122|Depuis que le président Bush papa, responsable de la première guerre contre l’Irak, a décrété l’avènement du “nouvel ordre mondial”, les obsessions sexuelles des ligues de vertu yankees se sont abattues sur la planète, et notamment sur la France, tels des nuages de sauterelles, et la protection des chères têtes blondes est devenue l’objectif cardinal des bien-pensants de gauche comme de droite, les quakeresses bouffeuses de curé étant, dans ce domaine, aussi surexcitées que les quakeresses bondieusardes, la Royal pire encore que la Boutin.
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160720={{Extrait|id=8480263|{{personnage|Code pénal}} ([[France]], [[1832]])<ref>Code pénal de 1810, modifié par la loi du 28 avril 1832. L’âge limite a été relevé à treize ans en 1863, puis à quinze en 1945 (mais vingt et un ans pour les actes homosexuels).</ref> :<br>Tout attentat à la pudeur, consommé ou tenté sans violence sur la personne d’un enfant de l’un ou de l’autre sexe âgé de moins de onze ans, sera puni de la réclusion.
{{Réf Livre|titre=Les codes annotés|tome=III, Codes d’instruction criminelle, pénal et forestier|section=''Code pénal'', Livre III, article 331|auteur=Jean-Baptiste Sirey, Pierre Gilbert|lieu d'édition=Paris|éditeur=Cosse|année=1855|année d'origine=loi du 28 avril 1832|page=482}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p>
| 20160721={{Extrait|id=8499053|Après avoir cherché toute ma vie, je méritais finalement d’avoir trouvé.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=12}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160722={{Extrait|id=8502694|[[Henry de Montherlant|{{personnage|Henry de Montherlant}}]] :<br>Je ne reconnais aucun devoir, hors celui du libre arbitre.
| 20160813={{Extrait|id=9005836|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>L’homme n’oublie pas toujours l’enfant qu’il a été et il tire de ce souvenir des effets inattendus.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=26}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=263}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160723={{Extrait|id=8528958|J’ai vu des garçons qui à treize ans étaient des idiots et qui à seize ans étaient solides et bien.
| 20160814={{Extrait|id=9038350|J’ai vu des garçons qui à treize ans étaient des idiots et qui à seize ans étaient solides et bien.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=303|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=303|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de seize ans]]</p>
| 20160724={{Extrait|id=8566930|C’est environ l’âge de treize ans que la plupart des êtres mâles atteignent à leur plus grande richesse d’âme.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=72|section=''La relève du matin'' (1920), « La gloire du collège »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20160725={{Extrait|id=8607834|On assiste chez nous, et dans le monde entier, au triomphe de l’hystérie puritaine. Celle-ci, je vous l’ai dit, nous vient tout droit des ligues pharisaïques, des cercles néoconservateurs d’Outre-Atlantique, mais en France la droite n’est pas la seule à entonner ce refrain ; la gauche fait chorus et c’est la société dans son ensemble qui le chante à gorge déployée. Dans la surenchère moralisatrice les tartufes culs-bénits et les tartufes bouffeurs de curés rivalisent d’un zèle flicard.
| 20160815={{Extrait|id=9068082|{{personnage|Ferrante}} : Ainsi notre proverbe est vrai : « Les petits garçons jouent derrière l’autel. »<ref>[[Dictons et proverbes#Espagne|Dicton espagnol]] :<br>''El que fue monaguillo y después abad, sabe lo que hacen los mozos tras el altar.''<br>« Qui fut moinillon puis abbé sait ce que font les gamins derrière l’autel. »</ref> Vous ne pouvez donc pas rester un instant sans faire de bêtises ?<br>{{personnage|Premier page}} : Non, que Votre Majesté nous pardonne, nous ne le pouvons.<br>{{personnage|Ferrante}} : Comment ! Vous ne le pouvez !<br>{{personnage|Premier page}} : Dieu nous a faits ainsi.<br>{{personnage|Ferrante}} : Eh bien ! alors, si Dieu… Sans doute faut-il le trouver bon.
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« De la censure » (9 janvier 2012)|page=222-223}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=138|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20160726={{Extrait|id=8617025|Oui, ces gamins de treize à dix-sept ans, cette vie désordonnée et disloquée, c’est le champ de l’action de Dieu.
| 20160816={{Extrait|id=9101303|Au cœur des « démocraties » modernes, les enfants vivent sous le régime de la tyrannie — avec ses variantes connues, de l’autocrate abusif au despote éclairé et même démissionnaire, qui ne modifient pas le principe.<br>Les enfants n’ont ''aucun'' droit, que ceux octroyés, qui peuvent donc être repris à tout instant. Ils doivent obéissance aux parents alliés maîtres et au besoin n’importe qui (adulte) a le pas sur eux.<br>Avantages et punitions dépendent de l’arbitraire adulte, car il n’y a pas de code (en deçà de meurtre ou dommages physiques avérés), et aucune réparation n’est prévue pour les erreurs ou dommages. Et, comme il se doit en régime de tyrannie, le juge est partie.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=98|section=''La relève du matin'' (1920), « La gloire du collège »}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=51}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160817={{Extrait|id=9114085|{{personnage|L’Infante}} : Les gens affligés du dérangement amoureux ont la manie de se croire objet d’admiration et d’envie pour l’univers entier.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=108|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20160818={{Extrait|id=9150346|''As long as a boy continues to trust his guide-philosopher-friend, the developing love relationship will minimize the possibility of later guilt feelings. I have the strong impression that guilt feelings come less from the sex play itself than from the parental and school attitudes towards sex in general.''<br>—<br>Tant qu’un garçon continue à faire confiance à son guide-philosophe-ami, la relation d’amour qui se développe va minimiser le risque de sentiments ultérieurs de culpabilité. J’ai vraiment l’impression que les sentiments de culpabilité viennent moins du jeu sexuel lui-même que de l’attitude générale des parents et de l’école à l’égard du sexe.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=30-31}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160819={{Extrait|id=9163097|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Le code pénal. Quelle lecture ! La société déculottée exhibe ses parties les plus honteuses, ses obsessions les plus inavouables.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=137}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20160820={{Extrait|id=9219293|J’ai vu des garçons qui à douze ans avaient une espèce de génie, et qui à quatorze ans, du jour au lendemain (je veux dire : en quelques semaines), étaient devenus des idiots, qu’ils sont restés.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=303|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de quatorze ans]]</p>
| 20160821={{Extrait|id=9223202|Le dieu de l’amour impossible est un dieu charmant, mais un fichu dieu.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=179}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160822={{Extrait|id=9229165|''Some persons arrested as child-molesters have perhaps done nothing more than display nonsexual physical affection to a child, perhaps responding to some spontaneous gesture from the child; but such is people’s horror of the rare child-seeking sadist that nobody makes much effort to find out exactly what ''did'' happen.''<br>—<br>Certaines personnes arrêtées pour agression sexuelle sur un enfant n’ont peut-être rien fait de plus que lui témoigner une affection physique non sexuelle, peut-être en réponse à un geste spontané de sa part ; mais l’horreur des gens à l’égard des rares sadiques attirés par les enfants est telle que personne ne fait beaucoup d’efforts pour rechercher ce qui s’est ''vraiment'' passé.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=24}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160823={{Extrait|id=9261044|{{personnage|Jean Guibert}} :<br>Je vous aime et vous aimez l’amour, si ce n’est simplement le plaisir.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=124}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160824={{Extrait|id=9272398|{{personnage|Rodin}} :<br>Curés ou marxistes, même combat, et l’ennemi à abattre c’est nous, les « corrupteurs » de la jeunesse, cette belle jeunesse qu’ils rêvent de faire défiler en rangs par quatre, et au pas !
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=X|page=110}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160825={{Extrait|id=9275155|Ce goût des jeunes garçons, est-ce de l’homosexualité ? ''Stricto sensu'', oui : un garçon de treize ans est du même sexe que moi, donc en couchant avec lui j’accomplis un acte homosexuel. Pourtant, si ''homos'' signifie ''semblable'' en grec, il est clair que ce gosse et moi, nous ne sommes pas semblables.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20160727={{Extrait|id=8620509|L’imprudence, la confiance, la naïveté, l’enthousiasme de la plupart des pédérastes les exposent à plus de mésaventures que les autres, – on dirait même que beaucoup les recherchent comme un stimulant. C’est la difficulté de trouver le compagnon rêvé qui leur inspire cette boulimie, prise quelquefois pour une névrose.
| 20160826={{Extrait|id=9318179|Cette tentation de la respectabilité, ceux qui s’y précipitent la tête la première, ce sont les homosexuels. D’où leur peu de sympathie pour les pédérastes, avec qui ils sont souvent confondus et qui, disent-ils, les compromettent. Les homosexuels ne risquent quasiment rien en France, où les amours entre adultes consentants ne sont pas punis par la loi ; mais cela ne leur suffit pas : ils souhaitent que la société les reconnaisse, les admette, les reçoive ; ils veulent l’honorabilité et la sécurité, le sourire de leur concierge et les palmes académiques, le certificat de bonnes mœurs et le contrat de mariage.
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=16}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=82}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
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Version du 1 août 2016 à 06:06