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:On peut aussi, sans abimer le texte, ajouter en fin de page une rubrique ''Voir aussi'' regroupant un tableau des divers liens. [[Utilisateur:Pinocchio|Pinocchio]] 6 mars 2010 à 15:21 (GMT)
:On peut aussi, sans abimer le texte, ajouter en fin de page une rubrique ''Voir aussi'' regroupant un tableau des divers liens. [[Utilisateur:Pinocchio|Pinocchio]] 6 mars 2010 à 15:21 (GMT)
::Personnellement, la présence de liens au sein même des textes ne me dérange nullement, bien au contraire, cela facilite l'accès à la curiosité : s'il y a un concept pour lequel je souhaite des éclaircissements pendant que je lis un texte, un simple clic et j'ouvre facilement une nouvelle page ou un nouvel onglet. Si je vois en bas du texte une section « Voir aussi », j'aurais bien moins envie d'en savoir plus, car j'aurais perdu le contexte dans lequel le lien est introduit. Non, rajouter des hyperliens, je ne pense pas que cela « abîme » le texte. Par contre, il est vrai que des mots en couleurs attirent l'œil, mais le bénéfice des hyperliens est largement supérieur à ce très léger inconvéniant qui peut-être n'existe même pas en fait... Expérimentons, nous verrons à l'usage. [[Utilisateur:Lascar|Lascar]] 6 mars 2010 à 18:24 (GMT)

Version du 6 mars 2010 à 18:24

Agora/6 mars 2010

Liens à partir des textes reproduits ?

Puisque BoyWiki a pour vocation, entre autres, de réunir les textes anciens touchant à la pédérastie – romans, poèmes, essais, articles, etc. –, la question se pose de savoir s'il faut éventuellement mettre des liens bleus (ou rouges) sur les mots de ces textes.

Par exemple, le dixième paragraphe du chapitre IV de La civilisation arabe et l’amour masculin et sa note pourraient devenir :

  • Par chance, nous connaissons encore beaucoup de poésies pédérastiques hellénistiques, parvenues jusqu’à nous dans le cadre de l’Anthologie alexandrine, notamment dans le recueil intitulé Mousa Paidiki — la « Muse garçonnière » — de Straton de Sardes (55). Nul doute qu’il en circulait en Orient, au VIIIe siècle, un grand nombre d’autres aujourd’hui perdues. Nous en savons assez, toutefois, pour pouvoir en dégager les thèmes essentiels.
    55. Nous pouvons les lire dans la traduction de Roger Peyrefitte, La Muse garçonnière, Paris, 1973. Fidèle, toutefois, à notre mode de citation des poèmes dans cet essai, nous les transposons ici en vers français non rimés.

Argument pour : l'essence même d'une culture, ce ne sont pas les connaissances qu'on accumule, mais les liens qu'on établit entre ces connaissances.

Argument contre : les liens ainsi introduits n'ont pas été créés par les auteurs eux-mêmes – la publication serait donc légèrement biaisée par cet ajout.

Précisons qu'en tout état de cause, la création de tels liens ne concernerait que des textes de nature plus scientifique que littéraire : études, articles, critiques, etc. Pas question d'ajouter des liens dans un roman, une nouvelle ou, pire, des poèmes !

Qu'en pensez-vous ?

Caprineus 6 mars 2010 à 14:37 (GMT)

On peut aussi, sans abimer le texte, ajouter en fin de page une rubrique Voir aussi regroupant un tableau des divers liens. Pinocchio 6 mars 2010 à 15:21 (GMT)
Personnellement, la présence de liens au sein même des textes ne me dérange nullement, bien au contraire, cela facilite l'accès à la curiosité : s'il y a un concept pour lequel je souhaite des éclaircissements pendant que je lis un texte, un simple clic et j'ouvre facilement une nouvelle page ou un nouvel onglet. Si je vois en bas du texte une section « Voir aussi », j'aurais bien moins envie d'en savoir plus, car j'aurais perdu le contexte dans lequel le lien est introduit. Non, rajouter des hyperliens, je ne pense pas que cela « abîme » le texte. Par contre, il est vrai que des mots en couleurs attirent l'œil, mais le bénéfice des hyperliens est largement supérieur à ce très léger inconvéniant qui peut-être n'existe même pas en fait... Expérimentons, nous verrons à l'usage. Lascar 6 mars 2010 à 18:24 (GMT)