Discussion:Achter het licht (Willem Beelen)

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Corrections

J’ai corrigé à certains endroits le texte des citations, en suivant l’édition que je possède (impression de novembre 1998). À en juger par le numéro ISBN, elle semble plus récente que celle citée précédemment.

Un paragraphe a été ajouté au deuxième extrait : commençant par la description des diverses méthodes pour sucer, il se termine par des remarques importantes sur le comportement de Gerard et sur les sentiments de Jurgen.

Enfin, certains passages du commentaire ne sont pas clairs : « ses propres carences morales », « trouvera la rédemption », « dans laquelle sévissent parfois d’affreux pédophiles ». Ça peut être lu comme des notations à tendance culpabilisante vis-à-vis de ce que vit le garçon et de la pédérastie en général. Il serait bon de revoir ces endroits afin de les expliquer et de les rendre plus neutres.

Caprineus 13 octobre 2013 à 11:52 (GMT)

Les lecteurs de BoyWiki sont maintenant mieux au courant du comportement de Gerard et des sentiments de Jurgen ;). Ayant lu le roman, je n'ai pas pensé que les mots que tu cites pouvaient être compris comme culpabilisants, mais si tu l'as pensé, d'autres le feront. Je vais réfléchir à une autre façon de mettre ces idées en mots.
Pour clarifier, « ses propres carences morales » fait référence au fait que Jurgen est voleur (il vole dans un supermarché, il « vole » la petite amie de de Dirk Jan en plus de son stylo), menteur, un peu profiteur, un peu escroc, il fait souvent l'école buissonnière, abuse de la confiance de Gerard, de ses parents etc. De même l'adjectif (larcin) « insolent » vient du fait que tout le monde sait qu'il a volé ce stylo (il a manqué de discrétion), mais il ne veut ni l'admettre ni le rendre. Le mot rédemption est connoté, et rendait à mon sens le fait que Jurgen n'a pas résolu la question de ses attirances sexuelles en passant l'été avec Gerard. Les mots en donnent l'idée : il « baise » avec Gerard et il « fait l'amour » avec Veerle. Privé de Gerard, et enfoncé par son psy dans une identité de victime, il ne sait plus où il en est, et c'est Veerle qui le sort de cette situation en venant le trouver chez lui et en se donnant à lui.
« Les affreux pédophiles », ça m'a semblé objectif à la lecture des résumés de ces feuilletons (que je n'ai pas vus; la téléviseur sert surtout à regarder des journaux.) : ce sont des personnages stéréotypés comme il y en a dans les séries policières étazuniennes dont les télévisions européennes ont le mauvais goût d'acheter les droits de diffusion, et qui justifient à elles seules l'invention de la zapette.