« La ville dont le prince est un enfant (citations) » : différence entre les versions
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=== Acte III === | |||
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==Voir aussi== | ==Voir aussi== | ||
===Bibliographie=== | ===Bibliographie=== | ||
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===Articles connexes=== | ===Articles connexes=== | ||
*[[Henry de Montherlant]] | *[[Henry de Montherlant]] | ||
* | *[[La ville dont le prince est un enfant (Henry de Montherlant)]] | ||
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Dernière version du 30 juin 2013 à 14:14
On trouvera ci-dessous des citations de Henry de Montherlant tirées de sa pièce La ville dont le prince est un enfant, parue en 1951 et modifiée en 1967.
Cette pièce est en trois actes.
Citations
Acte I
L’Abbé de Pradts (s’adressant à Souplier) :
Dieu a créé des hommes plus sensibles que les pères, en vue d’enfants qui ne sont pas les leurs, et qui sont mal aimés, et il se trouve que vous êtes tombé sur un de ces hommes-là.
Dieu a créé des hommes plus sensibles que les pères, en vue d’enfants qui ne sont pas les leurs, et qui sont mal aimés, et il se trouve que vous êtes tombé sur un de ces hommes-là.
- Henry de Montherlant, La ville dont le prince est un enfant, [Paris], Gallimard, 1968, acte I, scène II, p. 28-29 (voir la fiche de référence)
Acte II
Acte III
L’Abbé de Pradts (s’adressant au Supérieur) :
L’affection, j’en avais une pour cet enfant. Vous l’avez ruinée et en quelque sorte déshonorée, elle qui était si propre.
L’affection, j’en avais une pour cet enfant. Vous l’avez ruinée et en quelque sorte déshonorée, elle qui était si propre.
- Henry de Montherlant, La ville dont le prince est un enfant, [Paris], Gallimard, 1968, acte III, scène VII, p. 164 (voir la fiche de référence)
Le Supérieur (s’adressant à l'Abbé de Pradts) :
Il ne faut jamais pousser un enfant contre ses parents. La partie nous est trop belle.
Il ne faut jamais pousser un enfant contre ses parents. La partie nous est trop belle.
- Henry de Montherlant, La ville dont le prince est un enfant, [Paris], Gallimard, 1968, acte III, scène VII, p. 165 (voir la fiche de référence)
Voir aussi
Bibliographie
Édition utilisée
- La ville dont le prince est un enfant : trois actes : texte de 1967 / Henry de Montherlant ; textes de Daniel-Rops, Marguerite Lauze et Jeanne Eichelberger-Carayon ; jaquette illustrée d’un dessin d’Édouard Mac’Avoy. – [Paris] : Gallimard, 1968 (Mayenne : Impr. Floch, 26 février 1968). – 288 p. : jaquette ill. ; 19 × 12 cm. (fr)Appendices : « Postface (1954) », p. 179-205. « L’article qui lança La Ville : La Ville dont le Prince est un Enfant peut-elle choquer les catholiques ou bien les satisfera-t-elle ? » / par Daniel-Rops, p. 207-212. « Lecture de La Ville » / par Marguerite Lauze, p. 215-240. « Lettre à H. de Montherlant » / par Jeanne Eichelberger-Carayon, p. 241-252. « Critiques sur La Ville dont le Prince est un Enfant », p. 253-279. Bibliographie p. 281-282.