« Les onze mille verges (extraits) – 4 » : différence entre les versions

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Ensuite on plaça la petite fille sur Natacha et le pope qui venait de terminer sa messe lui releva ses jupes et se mit à fesser son petit cul blanc et charmant. Natacha se releva alors et, enfourchant André Bar assis dans un fauteuil, elle se pénétra de l’énorme vit du conjuré. Ils commencèrent une vigoureuse Saint-Georges, comme disent les Anglais.
Ensuite on plaça la petite fille sur Natacha et le pope qui venait de terminer sa messe lui releva ses jupes et se mit à fesser son petit cul blanc et charmant. Natacha se releva alors et, enfourchant André Bar assis dans un fauteuil, elle se pénétra de l’énorme vit du conjuré. Ils commencèrent une vigoureuse Saint-Georges, comme disent les Anglais.


Le petit garçon, à genoux devant Cornabœux, lui pompait le dard en pleurant à chaudes larmes. Mony enculait la petite fille qui se débattait comme un lapin qu’on va égorger. Les autres conjurés s’enculaient avec des mines effroyables.
Le petit garçon, à genoux devant Cornabœux, lui pompait le dard en pleurant à chaudes larmes. Mony enculait la petite fille qui se débattait comme un lapin qu’on va égorger. Les autres conjurés s’enculaient avec des mines effroyables. […]
 
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Dernière version du 8 juillet 2014 à 12:06

Ce texte historique est protégé contre les modifications.


Extrait du roman érotique de Guillaume Apollinaire Les onze mille verges ou Les amours d’un hospodar.

Chapitre IV

La scène se passe à Bucarest.



[…]

— Qu’on amène les époux, s’écria le pope.

On introduisit un couple étrange : un petit garçon de dix ans en habit, le chapeau claque sous le bras, accompagné d’une petite fille ravissante qui n’avait pas plus de huit ans ; elle était vêtue en mariée, son vêtement de satin blanc était orné de bouquets de fleurs d’oranger.

Le pope lui fit un discours et les maria par l’échange de l’anneau. Ensuite, on les engagea à forniquer. Le petit garçon tira une quéquette pareille à un petit doigt et la nouvelle mariée retroussant ses jupons à falbalas montra ses petites cuisses blanches en haut desquelles bayait une petite fente imberbe et rose comme l’intérieur du bec ouvert d’un geai qui vient de naître. Un silence religieux planait sur l’assemblée. Le petit garçon s’efforça d’enfiler la petite fille. Comme il ne pouvait y parvenir, on le déculotta et pour l’exciter, Mony le fessa gentiment, tandis que Natacha du bout de la langue lui titillait son petit gland et les couillettes. Le petit garçon commença à bander et put ainsi dépuceler la petite fille. Quand ils se furent escrimés pendant dix minutes, on les sépara et Cornabœux saisissant le petit garçon lui défonça le fondement au moyen de son braquemart puissant. Mony ne put tenir contre son envie de baiser la petite fille. Il la saisit, la mit à cheval sur ses cuisses et lui enfonça dans son minuscule vagin son bâton vivant. Les deux enfants poussaient des cris effroyables et le sang coulait autour des vits de Mony et de Cornabœux.

Ensuite on plaça la petite fille sur Natacha et le pope qui venait de terminer sa messe lui releva ses jupes et se mit à fesser son petit cul blanc et charmant. Natacha se releva alors et, enfourchant André Bar assis dans un fauteuil, elle se pénétra de l’énorme vit du conjuré. Ils commencèrent une vigoureuse Saint-Georges, comme disent les Anglais.

Le petit garçon, à genoux devant Cornabœux, lui pompait le dard en pleurant à chaudes larmes. Mony enculait la petite fille qui se débattait comme un lapin qu’on va égorger. Les autres conjurés s’enculaient avec des mines effroyables. […]



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Extraits pédérastiques
Chapitre IV Chapitre V Chapitre VII

Voir aussi

Source

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