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'''Extrait''' du récit autobiographique de Jacques Pyerre '''''[[Les embrassades (Jacques Pyerre)|Les embrassades]]'''''.
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==Troisième chapitre==
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===Source===
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*''Les embrassades'' / Jacques Pyerre. – Paris : Jérôme Martineau, 1969 (Le Chesnay : Presses des Yvelines, 1er juin 1969). – 182 p. ; 21 × 13 cm.{{Commentaire biblio|Troisième chapitre, « Lucien exagère », p.&nbsp;27-37.}}
*''Les embrassades'' / Jacques Pyerre. – Paris : Jérôme Martineau, 1969 (Le Chesnay : Presses des Yvelines, 1{{Exp|er}} juin 1969). – 184 p. ; 21 × 13 cm.{{Commentaire biblio|Troisième chapitre, « Lucien exagère », p.&nbsp;27-37.}}


===Articles connexes===
===Articles connexes===
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[[Catégorie:XXe siècle (textes)]]
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[[Catégorie:Récit en français]]
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Extrait du récit autobiographique de Jacques Pyerre Les embrassades.

Troisième chapitre


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Lucien exagère



Il fallut bien m’envoyer à l’école. Miss Peable était venue pendant des années boire son thé avec moi et lire « Home and Country », mais elle m’avait appris peu de choses si ce n’est une grande affection pour la fière Albion qui ne se départit jamais tout au long de ma vie. Elle fut la seule à me faire aimer la Royal Navy car toute sa famille servait dans la flotte de Sa Très Gracieuse Majesté et il ne se passait pas de semaine où elle ne me fît voir quelque photo de tel oncle ou neveu ou cousin ce qui me fit aimer, jusqu’à présent, le seyant costume de la marine anglaise.

Et le jour fatal arriva. Oh ! ce jour d’octobre comme il était triste ! On avait quelques jours auparavant coupé les belles boucles de Poupette. À peine quelques longues mèches jouaient-elles sur mon front. On m’avait affublé d’un petit tablier noir, un sarrau, j’avais l’air d’une petite orpheline. Ahmoud me conduisit à l’école en me tenant gentiment la main, j’essayais d’écraser furtivement une larme qui roulait bien malgré moi sur ma joue, je regrettais déjà mes falbalas et mes dentelles.

Qu’elle était triste cette cour d’école avec son grand préau. Nous étions là comme de petits moutons, parqués, timides ou trop bruyants, une ère nouvelle commençait pour nous tous, l’ère de la vie des responsabilités. Il fallait apprendre à devenir un homme, enfin à essayer, c’est-à-dire loup parmi les loups, mais, déjà, je venais d’être repéré par l’un d’eux.

Le hasard fait souvent mal les choses, cela est bien connu. En cette occasion je ne le sus que plus tard. Lucien venait de se placer à mes côtés en classe. « En silence » avait dit le Maître. Tout le monde s’était précipité vers les bancs du fond, plus propices bien sûr à la distraction qu’aux premiers rangs. Lucien m’avait entraîné impérativement : « Viens ici, non pas là, ici ». Et moi, pauvre chose frêle je le suivis. Il faut dire que Lucien était tout blond, il avait des lèvres épaisses, de larges mains et des yeux très clairs. Cela me changeait de tout ce que j’avais connu jusqu’ici. Je baissai les yeux et regardai tout le monde furtivement quand, soudain, il se pencha vers moi et me dit :

— Tu n’as pas mal au cul ?

Je rougis jusqu’à la racine des cheveux. Je fronçai les sourcils :

— Pourquoi me dis-tu cela ?

Et derrière moi mon voisin répondit en se penchant un peu au-dessus de son bureau et tout cela en mezza-voce.

— Parce que tous, on a remarqué que tu as un petit cul bien potelé mais très rembourré. Ce serait dommage de te l’abîmer en t’essayant.

Ah ! les monstres ! j’étais apeuré et écœuré tout à la fois ; un renard pris au piège. Ah ! j’avais certes eu raison de la redouter, cette école, et pendant que je me livrais ainsi à mes pensées mélancoliques, Lucien enchaîna :

— Tu sais, si ce con t’emmerde, je lui ferai sa fête ; ici c’est moi le caïd et dès le moment que je te prends sous ma protection, tu n’as rien à craindre de personne. Tu veux être mon ami ?

Je dois avouer que cette virilité commençait à me séduire, je murmurai : « D’accord ».

— Quand la classe sera finie, laisse sortir tout le monde, traînasse, et suis-moi de loin.

— Où ? soufflai-je.

Il se mit à rire, « Tu verras, c’est une surprise. »

Ce fut une surprise.


*
*   *


À la fin de ma classe, je me mis à ranger à l’intérieur de mon pupitre livres et cahiers, le jeune essaim s’envola allègrement et je fus bientôt seul, guetté par derrière la vitre du couloir par mon nouvel ami qui me fit un « pschitt » et signe de venir. Quand un homme m’appelle, j’ai toujours été incapable de ne pas dire oui ; je suivis donc. Je sortis de la classe et vis Lucien qui, tournant la tête le plus discrètement possible, longeait les murs, il se dirigeait vers les toilettes. C’était dans le fond de la cour, sous des arbres, assez bien dissimulées je dois dire, quelques guérites posées sur des marches ; des mouches bourdonnaient autour ; il y avait une odeur particulière, une odeur qui dans quelques années allait m’être familière, une odeur merdale, mais pas seulement merdale, car il s’y mêlait ces relents âcres et fétides de l’urine délayée par du crésyl. C’était suffocant, écœurant et curieux à la fois ; il était déjà entré dans une des guérites et je me tenais prudemment à l’écart attendant en regardant furtivement autour de moi ; déjà la peur du gendarme.

— Pschitt, pschitt !

Lucien me réclamait, je vous assure que je ne me doutais pas pourquoi. Bien sûr je croyais qu’il allait me donner un baiser, me dire que j’étais son petit copain ; je n’imaginais pas autre chose ; oh ! certes, je me doutais bien que j’allais sentir contre ma cuisse, contre mon ventre quelque chose de dur qui me ferait plaisir, mais c’est tout ; un dernier regard et j’entrai, oui j’entrai dans ce temple impie du vice, de la luxure et de la perversité. Et dans ce même instant avec une virtuosité sans pareille, il me fit virevolter, se plaçant ainsi de dos à la porte mais il avait eu le temps de fermer la targette qui fit un « clic » sonore et froid, que je comparais au couperet du bourreau que celui-ci règle une dernière fois avant l’instant fatal. Mon sang se glaça et j’eus l’impression délicieuse et horrible pour moi tout à fait inconnue et qu’inconsciemment, plus tard et avec beaucoup de science encore beaucoup plus tard, je chercherai toujours à recréer, l’impression donc que j’étais pris comme une souris dans une tapette.

Lucien ne s’embarrassa pas de préambules, ni de phrases, il se débraguetta, sortit sa queue et me dit « Suce ». Je me penchai et bien timidement y posai mes lèvres, il me prit alors la tête et me la poussa dessus ; sa queue n’était pas grosse mais conséquente pour son âge et cela eut l’effet de m’étouffer. Je levai les yeux, de gros yeux ahuris et cet enfant de garce exaspéré de ma maladresse lança un juron qui m’épouvanta : « Mais suce donc nom de D… ! » J’étais tombé entre les mains d’un mécréant.

Entré chez moi, je me mis à rêver sur mon étrange condition ; je ne pouvais pas faire un pas sans faire lever des bites, tout comme la reine d’Angleterre fait lever sur son passage les sabres au clair. J’étais bien décidé à ne plus recommencer ; après ces brutalités, il avait pourtant été gentil pour moi, m’avait raccompagné, m’avait porté mon cartable et puis il ne fit plus attention à moi ; je fus laissé dans mon coin, tout le monde s’intéressait à un petit Espagnol qui avait de grands yeux candides, mais que l’on disait avoir vu à la nuitée sur les remparts des Oudaïs avec quelques bergers. Je commençais à connaître la musique et me doutais bien que ce n’était pas pour regarder les étoiles qu’il se promenait au clair de lune ; déjà un concurrent ! Croyez-moi si vous le voulez, c’est moi qui provoquai Lucien. J’étais déjà jaloux. Et un soir qu’il partait en galopant et me renversa, je fis semblant d’avoir mal et lorsqu’il fut contre moi, je l’embrassai, le mordillai dans le cou et lui dis dans le creux de l’oreille : « Viens ce soir à la maison et tu ne le regretteras pas. » Il me regarda un peu étonné, sourit et me dit :

— On peut y aller tout de suite ?

Nous partîmes.

Dès mon arrivée, j’avertis que je montai avec mon camarade faire mes devoirs. Ahmoud me lança un drôle de regard, je fermai la porte à clef, et je fis mon premier strip-tease.

Vous vous en doutez, ce fus un bien timide strip-tease. J’ôtai mon pantalon tout doucement et me couchai sur le tapis, à plat ventre. Pas un mot ne s’échangea, mais je fus étonné et par la suite je crois que je le fus toujours de voir comment il « opéra », comment ce jeune camarade était différent du facteur ou d’Ahmoud ; c’était la douceur même. Mais il allait bien changer comme vous allez le voir.

— Tu me donnes rien ?

Je regardai Lucien, pétrifié. « Qu’est-ce que tu veux que je te donne ? »

— Un petit cadeau quoi, un souvenir. Tu sais Angelo l’Espagnol, il nous gâte tous, tiens hier on avait fait un pari, contre deux coups, si je lui tirais deux coups il me donnait un franc.

— Et alors ?

— Ben je lui en ai tiré trois.

Sur l’instant une vive satisfaction s’empara de moi, c’est donc pour cela qu’il avait tant de succès. Ah ! certes, je sortais de l’enfance. Où donc était-il « le vert paradis des amours enfantines » ? Dans l’imagination du poète sans aucun doute, il faut dire aussi que pour mes débuts j’eus un sacré maître. Ce Lucien, petit juif du faubourg Montmartre avait, à dix ans (il était un peu plus âgé que moi), le langage des marlous et des filles de Strasbourg-Saint-Denis qui fréquentent les machines à sous, les cinémas dits érotiques où l’on voit des dames en train d’accoucher sous l’œil effrayé de malheureux acteurs qui préféreraient jouer une comédie de salon ; ce Lucien était à son âge, l’empereur de la gouaille. J’appris de lui que futal, bénard, falzar étaient synonymes de pantalon. Il avait des répliques célèbres et que l’on se raconte encore dans les milieux bourgeois de la ville.

— Que veux-tu pour ta fête mon chéri ?
lui avait demandé un jour son énorme maman qui trimbalait une vraie bijouterie sur son opulente poitrine (ils avaient du bien et il fallait que ça se sache) et lui, la moue aux lèvres :

— Un jambon.

Le rond de dames minaudières et corsetées qui lui servait d’aréopage n’en est jamais revenu. Ni revenue non plus cette bonne amie de maman qui avait fait faire pour son mari un splendide bureau tout en boiseries claires.

— Quelle fraîcheur, disaient-elles, lors d’une visite, toutes ces bonnes dames, on se croirait dans une forêt scandinave au printemps et, se retournant, vit dans un coin Lucien en train de pisser contre les panneaux de ces meubles de prix. La mère bijoutée soudain affolée :

— Mais mon chéri que fais-tu ? Tu es malade ? mais voyons, mais voyons…

Et Lucien froidement :

— Puisque nous sommes dans une forêt je pisse, on ne se gêne pas à la campagne.

Non, Lucien n’était pas populaire chez les bonnes dames chapeautées de la ville. Et c’est à ça que je rêvais tandis que brisant mes pensées après mes illusions :

— Écoute, je te fais une proposition : on fait un petit marché, ça te gêne pas de te faire baiser ? Bon, je te trouve des clients, tous les copains ils pensent qu’à ça, je te fais donner quelque chose, t’en fais pas petite tête, je m’occuperai des créances et puis on partage ? D’accord ?

Pauvre petit Poupette. Au turf, il allait me mettre, et il me mit comme il le disait au turf ! C’est ainsi que pendant des années je m’envoyais une bonne partie de l’école pour 5 centimes le coup. Pauvre petit Poupette, pur ingénu, livré déjà au mercantilisme ! Ce qui m’étonne, c’est qu’il n’y eut pas de scandale, il y en eut bien un petit, mais je fis tout ce qu’il fallut pour l’étouffer. Ce fut lorsque notre bon maître, Monsieur Bernard, professeur de français me surprit dans une position qui ne laissait aucune équivoque à personne : ouvrant un soir d’hiver la porte du cabinet où j’attendais, de dos et les fesses à l’air, je dis, sans regarder, et croyant qu’arrivait Jean-Loup : « Dépêche-toi je vais m’enrhumer ! » j’eus la surprise d’entendre : « On s’enrhume rarement par le trou de balle, Poupette ». Pris de nouveau. Je me vis dans une seconde, expulsé, traîné devant des parents, l’opprobre de la ville, car bien sûr je me croyais seul au monde à faire ce honteux trafic, à me livrer à un tel stupre. Quelques années plus tard j’allais découvrir, hélas, qu’il y a beaucoup de concurrence, mais cela sera l’objet d’un autre chapitre, aussi n’anticipons pas. Je suivis notre bon professeur tête basse dans sa chambre et là, il me fit mettre à genoux ; j’étais tout tremblant. Et, sévère, enlevant ses grosses lunettes d’écaille : « Ah ! malheureux Poupette, sais-tu bien que tu te damnes en te livrant à ces odieuses pratiques ? Sais-tu bien que tu perds ton âme, le sais-tu ? Sais-tu bien que tu vas te mettre en marge de la société ? Malheur à celui par qui le scandale arrive ! a dit Notre-Seigneur. »

— Oui, oui, sanglotai-je, j’ai été poussé, je regrette, je ne recommencerai plus, pitié, grâce, pitié.

Et lui, soudain terrible :

— Il faut payer mon enfant.

Toujours ingénu et plus près maintenant du livre de comptes que des contes de fées, je pensai en une seconde : « Heureusement que j’ai des économies ! » mais ce n’était pas de ça qu’il s’agissait ; et alors, paternel et triste :

— Enlève ta culotte mon petit, tu auras vingt coups de chicotte sur chaque fesse, mais il faut tout dire si tu veux que je me taise et que je te pardonne.

Je pensai bien que c’était un drôle de raisonnement, mais enfin je sentis que l’incident s’arrangerait, aussi, j’enlevai ma culotte.

— Ton slip aussi.

Merde, à poil, alors !

Puis il me fit avancer vers lui. « Malheureux enfant ! » Comme il était triste en me disant cela, mais je ne compris pas pourquoi il m’enfonça un doigt dans le cul, le commentaire ne se fit pas attendre : « Voilà un petit cul bien frais et qui pourtant a déjà servi. Et l’on aime bien que Papa Bernard lui fasse ce petit plaisir car je vois ta queue frétiller, petit brigand. » Saisissant la chicotte qui était non loin et de nouveau semblable au Matamore il se mit à frapper sans retenue je dois le dire. Tiens, petite salope. Tiens pour ton cul, tiens de la part de notre Proviseur qui est une sale pédale lui aussi, tiens pour ton cher Père, tiens pour ta Maman, tiens, tiens, tiens. J’eus droit à mes quarante coups de chicotte, et lorsque brisé, je chancelai, que de grosses larmes roulèrent partout sur mon petit visage, que des sanglots étouffèrent ma poitrine, il se précipita vers moi, me prit dans ses bras, comme doit le faire Rose Mamaïa, dans L’Arlésienne quand Frédéric se jette du haut de la tour et qu’elle se met à gueuler : « Être mère, c’est l’enfer » et toujours me bichonnant, m’embrassant, caressant mon cul fortement endommagé, avec les plus profonds signes du désespoir : « Mais j’ai tué cet enfant ; oh la brute ! la brute que je suis, n’aie pas peur. Tu devais être châtié, mais maintenant il faut que tu me pardonnes. » Bref, notre bon professeur qui avait des lettres, jouait Justine dans le boudoir, ce fut ma première séance de masochisme ; il dut bien jouir à un moment par le seul spectacle de ma détresse car tout à coup, froid et sévère, mais bon (l’homme apaisé, quoi… ), rajustant ses lunettes : « Je vais vous donner un onguent mon enfant, je vais vous l’appliquer là où vous fûtes puni ; c’est un remède miracle, dans deux heures il n’y paraîtra plus (la vache, je dus rester deux jours sans pouvoir m’asseoir), mais que la cicatrice faite à votre âme soit plus longue à guérir, ne péchez plus. Pour ma part, j’ai tout oublié. »

Malheureusement je devais au moins une fois par mois, subir la chicotte, mais on s’habitue à tout.

Je m’aperçois que je me laisse entraîner par mes souvenirs, nous étions encore dans ma chambre et Lucien me proposait son odieux marché ; vous savez déjà que je l’acceptai et c’est ainsi que je devins la Reine de l’école, mais comme nous étions en pays oriental, mes camarades ne m’appelèrent plus que « La Maharané ». Un autre titre à ajouter à ceux déjà glorieux et longs de mes ancêtres, mais celui-là ce n’était pas sur les champs de bataille de Bouvines ni à Fontenoy que je le décrochai comme mes illustres aïeux le firent, ni en combattant le grand Turc, non je décrochai mon surnom dans les « cabinets » de notre bonne école.



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Table des matières
et extraits pédérastiques
… Quelques mots
Je suis né à l’ombre des palmiers
Crac ! Voilà le facteur !
Lucien exagère
Ohhhh ! La marine américaine
Ne me parlez plus de Genève !
Tant qu’on est à Gênes il y a du plaisir (extrait)
La Sophonisba fait mon « éducation »
Monsieur l’Administrateur
Une soirée au cinéma
Sur la mer déchaînée (extrait)
Scandale au Caire
Au bain de vapeur que les Arabes appellent « hammam » (extrait)
En route pour le Sud
La fière Albion n’est pas fière du tout
L’hospitalité écossaise
Ma nuit de Walpurgis
Être « l’ami de la famille » ne me retient pas

Voir aussi

Source

  • Les embrassades / Jacques Pyerre. – Paris : Jérôme Martineau, 1969 (Le Chesnay : Presses des Yvelines, 1er juin 1969). – 184 p. ; 21 × 13 cm.
    Troisième chapitre, « Lucien exagère », p. 27-37.

Articles connexes