« Het huis van mijn vader (Alex Verburg) » : différence entre les versions
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— Alors il fait plus jeune. Je pensais qu'il avait l'âge de Chris. Chris va avoir... ?<br> | — Alors il fait plus jeune. Je pensais qu'il avait l'âge de Chris. Chris va avoir... ?<br> |
Version du 26 août 2013 à 14:27
Het huis van mijn vader (La maison de mon père), paru en 2002, est le premier roman de l'écrivain néerlandais Alex Verburg. Cette fiction à caractère autobiographique traite de l'enfance et de l'adolescence du jeune narrateur.
L'auteur
Alex Verburg (La Haye, 13 décembre 1953) est un écrivain néerlandais. En tant que journaliste, il a réalisé des entretiens avec des personnalités, et a écrit sur et pour le théâtre.
Résumé
Le narrateur, Floris van Zevenhoven, fils d'une famille protestante stricte de sept enfants dans les années 60, perd son père alors qu'il n'a pas douze ans. Plus tard, lors de sa première année à l'école secondaire, il a des difficultés scolaires et doit prendre des leçons privées. Il fait une forte impression à son mentor, qui voit Floris à la croisée de plusieurs chemins. Une promenade en bateau est l'occasion de leurs premiers rapports sexuels, une histoire d'amour de plusieurs années, qui aura une fin tragique.
Critiques
Le site de l'auteur reprend quelques recensions positives et négatives, dont celle-ci :
Het boek heeft niets van de patserige ‘kijk eens wat ik allemaal durf te schrijven'-stijl die vaak aan dit soort geschriften kleeft. Het geheel kun je nog het best omschrijven als een melancholisch clair-obscur waarbij de verteller soms evenveel verzwijgt als vertelt[1]. |
Le livre n'a rien du très chic style "Regardez-un-peu-tout-ce-que-j'ose-écrire" qui colle souvent à ce genre d'écrit. On peut le décrire comme un clair-obscur mélancolique dans lequel le narrateur en dit autant qu'il en tait. |
Entretiens avec l'auteur
(...) 'Voor een groot deel is het verhaal van Floris op mijn kindertijd gebaseerd', erkent Verburg, wiens eigen jeugdfoto het omslag van de roman siert. 'Maar ik heb wel genoten van de vrijheid die de fantasie biedt. Je hoeft je niet aan de waarheid te houden. (...)'[2]. |
(...) L'histoire de Floris est en grande partie basée sur mon enfance, reconnaît Verburg dont le portrait à l'âge du personnage orne la couverture, mais j'ai bien profité de la liberté qu'offre la fiction. Il n'y a pas besoin de s'en tenir à la réalité. (...)
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(...)
Ben ik homo? — is de angstige vraag van de hoofdpersoon uit het boek. Is uw boek een boek over homoseksualiteit? Over een 'coming out' ? Het is vooral een boek over coming of age, met alles erop en eraan. Verlies, verlangen, weemoed ook, het zoeken naar grenzen en ook naar houvast, naar samenhang.[3] |
(...)
Bien, je laisse tout de même voir la solitude ; celle de Floris aux prises avec un secret qui ne fait que s'alourdir, et celle d'Olivier par sa crainte d'empiéter sur les limites de Floris, et de l'abîmer. Je n'ai certainement pas voulu, par ce livre, me pousser comme un défenseur de ce type de relations, j'ai une sympathie sincère pour les parents qui craignent un accident s'ils se trouvaient dans une telle situation. D'un autre côté : c'est bel et bien un livre qui parle d'amour, et de responsabilité. Jamais Olivier n'instrumentalise Floris pour son propre plaisir, et son attention est à ce moment un baume à l'âme de Floris, parce que la mort du père a frappé durement cette famille, chacun est en recherche d'un nouvel équilibre. Suis-je homo ? est la question qui angoisse le personnage principal du livre. Est-ce un livre sur l'homosexualité ? Sur le coming-out ? C'est surtout un livre sur le coming-of-age, avec tout ce qui l'accompagne. La perte, le désir, la mélancolie aussi, la recherche des limites, et aussi d'une prise sur la réalité, d'une cohérence. |
Extrait
Cet extrait de Het huis van mijn vader[4] provient du site de l'auteur[5].
Ik geef mijn moeder de vijf gulden terug die ik van haar had gekregen. '(Lat.), m., mens', staat erachter. Dat zijn we allemaal. '— homo sapiens… — homo novus… — homo sum, ik ben een mens (en niets menselijks is mij vreemd).' Dat zal het ook niet zijn. '— homo homini lupus, de mens belaagt zijn medemens als een wolf.' Ik moet denken aan Olivier, hoe hij mij af en toe beet. Maar dat was zo zachtjes, dat het eerder kriebelde dan dat het pijn deed. Dus ook dat kan het niet zijn. Ik zoek verder, bij 'homophiel', dat heb ik mensen ook wel eens horen zeggen. 'Homophoon' bestaat wel, 'homophiel' niet, ook niet met een f. 'Homosexualiteit, geslachtslust tot personen van hetzelfde geslacht.' Geslachtslust? Daar hoef ik niet zo ver voor terug te bladeren. 'Geslachtskenmerk' zie ik staan, '…leven', '…lijst', en dan 'geslachtsnaam'. Geen 'geslachtslust'. Wel, een stukje naar beneden, 'geslachtsomgang: vleselijke gemeenschap tussen individuen van verschillend geslacht.' |
Je rends à ma mère les cinq florins qu'elle m'a donné.
Elle réagit indignée. |
Notes
- ↑ Extrait de l'entretien avec Freddy De Schutter, dans Tertio , 7 août 2002, tel qu'il est cité sur le site alexverburg.nl
- ↑ Extrait de l'entretien avec Eline Verburg, dans Sp!ts, 26 avril 2002, tel qu'il est cité sur le site alexverburg.nl
- ↑ Extrait de l'entretien avec Ben de Boer, dans Vroom & Vrolijk, octobre 2002, tel qu'il est cité sur le site alexverburg.nl
- ↑ Verburg, Alex : "Het huis van mijn vader, Singel Pocket, 2006 ( 1ste uitg. 2002. )
- ↑ Le site de l'auteur : axelverburg.nl
- ↑ Tout vient à point à qui sait attendre.
- ↑ La soeur du narrateur.