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| | | 20140607={{Extrait|id=2109682|{{personnage|Georges}} : Qu’est-ce que c’est que ça, la nature ? Il y a tout dans la nature. | ||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=250|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | |||
| 20140608={{Extrait|id=2111381|''I think it is better in every way to judge each case on its own merits. In the situation of Greek love, instead of running to the police and jailing the man and putting the boy into a “reform” school where he is going to learn to hate the law and all that it stands for, I would judge it by the quality of the relationship and the effect on the boy. If he seems to be benefitting by it, in school, in relationships with parents, teachers and contemporaries, and if he is developing healthy attitudes, I see no benefit whatever accruing from tearing the relationship asunder and bringing in police and reform-school personnel and ruining the boy’s chances at college and decent employment. In fact I can see where such drastic procedures could well induce guilt feelings and confusions on the boy’s part that were never earlier manifest and might never have arisen. And on the other hand, if the boy seems to be deteriorating during the relationship, the proper person to call (...) | |||
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=29}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p> | |||
| 20140609={{Extrait|id=2113879|Les religions abrahamiques sont les seules du monde qui persécutent à la fois les deux anneaux masculins : prépuce, anus. Ces sauvages croient déféminiser ainsi le corps mâle.<br>En renonçant à la circoncision, le christianisme paraît moins barbare : mais il est pire que le judaïsme ou l’islam, car il étend sa persécution à la sexualité tout entière. L’idéal du chrétien est l’eunuque. Saint Paul déjà ne coupe plus les prépuces : il exige davantage — la queue et les oreilles.<br>Je vois que de voluptueux jeunes garçons d’Italie se masturbent dans leur prépuce et ne s’exercent pas à l’abaisser : il adhère au gland, il semble atteint de phimosis. En réalité, il est comme un vagin secret, toujours à la disposition du membre égoïste qui s’y caressera. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=36}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | |||
| 20140610={{Extrait|id=2173236|''Sicherlich kann ein dreizehnjähriger Bub nicht das musikalische Wissen einer erfahrenen Sängerin in die Waagschale werfen; er wird mit einer viel natürlicheren, naiveren Einstellung an seine Aufgabe herangehen.''<br>—<br>Certes un garçon de treize ans ne saurait jeter dans la balance les connaissances musicales d’une cantatrice expérimentée, mais il abordera sa tâche avec une attitude bien plus naturelle et naïve. | |||
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach, Johannes-Passion|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Schallplatten|année=1987|page=23-24, 55|section=''Die Johannes-Passion Johann Sebastian Bachs'', « Zur Aufführung dieser Compact Disc »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p> | |||
| 20140611={{Extrait|id=2189619|Ce ne sont pas les enfants qui sont différents, ce sont les adultes. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=50}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20140612={{Extrait|id=2208336|Certains hommes ont l’art de s’adapter parfaitement à la pédérastie, au point qu’elle fait corps avec eux et ne soulève plus d’objection. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20140613={{Extrait|id=2225024|L’âge de treize ans chez les garçons me semble aussi à part, aussi nettement distinct des douze et des quatorze ans. Brève année éclatante ! Sénèque a un mot voluptueux, pour dire que la splendeur de l’enfance paraît surtout à sa fin, comme les pommes ne sont jamais meilleures que lorsqu’elles commencent à passer. À treize ans, l’enfance jette son feu avant de s’éteindre. Elle traverse de ses dernières intuitions les premières réflexions de l’adolescence. L’intelligence est sortie de la puérilité, sans que l’obscurcissent encore les vapeurs de la vie pathétique qui va se déchaîner dans quelques mois. Avant de s’en aller pour sept ans dans de redoutables oscillations, l’être se repose une minute en un merveilleux et émouvant équilibre. Jamais cet esprit n’aura plus de souplesse, plus de mémoire, plus de rapidité à concevoir et à saisir, jamais ses dons ne se montreront plus dépouillés. Il n’est rien qu’on ne puisse demander à un garçon de treize ans. | ||
{{Réf Livre| | {{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=24|section=''La relève du matin'' (1920)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | |||
| 20140614={{Extrait|id=2233317|J’aime les agneaux, pas les moutons. | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=8|page=188}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | |||
| 20140615={{Extrait|id=2275549|{{personnage|Ferrante}} : Que m’importe le lien du sang ! Il n’y a qu’un lien, celui qu’on a avec les êtres qu’on estime ou qu’on aime. | |||
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=142|section=''La reine morte'' (1942)}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p> | |||
| 20140616={{Extrait|id=2285218|Quel dommage que l’amant des enfants soit le plus souvent réduit à des contacts clandestins, furtifs, qui ne lui laissent pas le temps de faire aux gosses autant de bien qu’il voudrait ! Rien de plus fécond, de plus bénéfique ne peut arriver à un/une adolescent(e) que la rencontre d’un aîné qui l’aime, qui le/la prenne par la main, qui l’aide à découvrir la beauté du monde créé, l’intelligence des êtres et des œuvres, qui l’aide à se découvrir soi-même. Si j’étais un parent, je n’hésiterais pas un instant à confier ma fille de quinze ans, mon fils de treize ans, au vilain monsieur. | |||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=109}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | |||
| 20140617={{Extrait|id=2299723|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>L’amour – prôné ''in abstracto'' – est persécuté avec acharnement dès qu’il revêt une forme concrète, prend corps et s’appelle sexualité, érotisme. Cette fontaine de joie et de création, ce bien suprême, cette raison d’être de tout ce qui respire est poursuivi avec une hargne diabolique par toute la racaille bien-pensante, laïque et ecclésiastique. | |||
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=85}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | |||
| 20140618={{Extrait|id=2330833|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce. | |||
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'' (1920), « Le jeudi de Bagatelle »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p> | |||
| 20140619={{Extrait|id=2343215|Savoir aimer, c’est être capable d’aimer quelqu’un qui change, mais qui vous aime encore à sa façon. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=5{{e}} partie, chap. VI|page=252}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20140620={{Extrait|id=2364542|Les ragots, les racontars sont les grains de raisin que l’on met dans le baba ! | |||
{{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p> | ||
| | | 20140621={{Extrait|id=2371509|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>À l’opposé des fesses des adultes, paquets de viande morte, réserves adipeuses, tristes comme les bosses du chameau, les fesses des enfants vivantes, frémissantes, toujours en éveil, parfois haves et creusées, l’instant d’après souriantes et naïvement optimistes, expressives comme des visages. | ||
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page= | {{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=354}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | ||
| | | 20140622={{Extrait|id=2391856|{{personnage|Le Chœur}} : Il n’y a ni ténèbres, ni gouffres, ni rien de la sorte. Il n’y a pas de partie obscure de l’âme. Supposé qu’elle commette une confusion, toute la nature est confusion. Ce n’est pas sa passion qui est malsaine ; ce qui est malsain, c’est sa croyance que sa passion est malsaine. Ô fumées honteuses du cerveau de l’homme ! Zeus a bien dit : « Misérable race des hommes, qui toujours va chercher la souffrance hors de celles qui lui sont destinées. » Certes, les agitations des hommes sont une honte. Ils ne valent pas d’être si tourmentés. | ||
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{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=86|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}} | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=86|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20140623={{Extrait|id=2392447|[...] ''l’Homophile'', mot épouvantable, qui pue la pharmacie. Je n’aime pas plus celui de pédophile, bien qu’il soit authentiquement grec, et je lui préfère le mot plus franc de pédéraste, qui ne l’est pas moins. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=11|page=247}}}} | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/ | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20140624={{Extrait|id=2416893|En faisant une loi de la cohabitation des enfants et des parents et de la hiérarchie dans la famille, les pouvoirs jouent sur le velours : si les plus petits renâclent contre leur condition, voire contre les institutions elles-mêmes, ce sont les parents qui ont la vie impossible, pas les institutions. Les parents exercent alors leur autorité pour avoir la paix « chez eux », car ils se croient chez eux.<br>Ils se leurrent — ou plutôt sont leurrés. L’idée que les relations interfamiliales sont affaire privée est une illusion. Ne serait-ce d’abord que du fait que la cohabitation est obligée par la loi, aucun ne pouvant s’y soustraire : les enfants ne peuvent pas s’en aller mais les parents ne peuvent pas non plus les mettre dehors ; et ensuite, du fait que la hiérarchie est instituée également par la loi. Les structures sont données de l’extérieur, et non modifiables à volonté. Il n’y a pas là de choix personnel. Et le fonctionnement est contrôlé. La famille est (...) | ||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page= | {{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=31-32}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | ||
| | | 20140625={{Extrait|id=2497390|Quand j’avais douze, treize ans, la pédophilie était un péché véniel, quasi une preuve de bon goût. | ||
{{Réf | {{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : Molitor, Molitor, morne plaine|périodique=Le Point|date=21 mai 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-molitor-molitor-morne-plaine-21-05-2014-1826312_1885.php matzneff-molitor-molitor-morne-plaine-21-05-2014-1826312_1885]}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p> | ||
| | | 20140626={{Extrait|id=2529567|Tout homme dit normal peut avoir eu, au moins une fois dans sa vie, une expérience dite anormale. | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page= | {{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=359}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
| | | 20140627={{Extrait|id=2533415|{{personnage|Georges}} : Je me disais : « Il fleurit loin de moi. Je n’aurai pas connu son fleurissement. Quand je le retrouverai, son rire même aura changé de forme… » | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=224|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p> | ||
| | | 20140628={{Extrait|id=2540451|{{personnage|Norman Douglas}} :<br>L’Italie est hermaphrodite et c’est le secret de sa singulière beauté. | ||
{{Réf Livre|référence=Les | {{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=151|partie=Deuxième partie|chapitre=VIII}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p> | ||
| | | 20140629={{Extrait|id=2588505|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Il reprochait aux bons pères – pasteurs de jeunes garçons par profession pourtant – d’ignorer qu’un enfant n’est beau que dans la mesure où il est ''possédé'', et qu’il n’est possédé que dans la mesure où il est ''servi''. L’Enfant Jésus sur les épaules de Christophe est à la fois porté et emporté. C’est là tout son rayonnement. Il est enlevé de vive force, et très humblement et péniblement soutenu au-dessus des flots grondants. Et toute la gloire de Christophe est d’être à la fois bête de somme et ostensoir. Dans la traversée du fleuve, il y a du rapt et de la corvée. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=59}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p> | |||
| 20140630={{Extrait|id=2608763|Une « amitié particulière » peut être l’aventure de n’importe quel homme dans sa jeunesse, tandis que, pour nous, elle n’est que le point de départ. L’amour que j’ai dit impossible, est le point d’arrivée. Mais impossible n’est ni français ni grec. Nous appartenons au passé le plus lointain, car cet amour, rendu glorieux par la Grèce, a fleuri dans toute l’antiquité. Et nous appartenons aux siècles à venir, car un jour il sera aussi libre qu’il le fut jadis. Entre temps, on ne peut le vivre que dans les catacombes, mais nous l’y vivons à la lumière de l’Acropole. | |||
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. VII|page=58-59}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p> | |||
| 20140701={{Extrait|id=2612131|Étant humains et non robots, pleins de contradictions, de frustrations, croulant sous les tracas, à côté de leurs pompes comme tout le monde, et parfois même doués de conscience, ou d’intuition, les parents ne sont pas des instruments parfaits. Ils font des erreurs. Et c’est notre veine : nombre d’anciens enfants qui s’en sont à peu près tirés disent qu’ils doivent leur salut à la pagaille et à l’échec de leur éducation. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=29}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20140702={{Extrait|id=2659358|L’expérience des enfants est visitée comme leurs tiroirs, leur façon de ressentir est mise en question, et si non conforme à l’attente, invalidée, au besoin reconstruite, et à eux resservie comme ''leur'' seule vraie vérité propre : Tu n’aimes pas vraiment cette musique tu veux seulement faire comme tes copains, Tu affiches ces idées pour, Tu es sous l’influence de, etc. Et l’ensemble des enfants est officiellement réinterprété par les experts en enfants. La vraie jeunesse ce n’est pas, c’est. | |||
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=43-44}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p> | |||
| 20140703={{Extrait|id=2674325|Oui, ces gamins de treize à dix-sept ans, cette vie désordonnée et disloquée, c’est le champ de l’action de Dieu. | |||
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=98|section=''La relève du matin'', « La gloire du collège »}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p> | ||
| | | 20140704={{Extrait|id=2691243|Dans le bassin méditerranéen, ce contact avec les gosses est quotidien, permanent, il ne pose aucun problème. Les rues, les boutiques, les plages grouillent de mômes, — et de mômes déjà indépendants, livrés à eux-mêmes, débarrassés de la surveillance de leurs parents. | ||
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page= | {{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=90-91}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p> | ||
| | | 20140705={{Extrait|id=2709145|D’un mal peut toujours, inattendu, printanier, naître un bien. | ||
{{Réf Livre|référence= | {{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=4|page=45}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[ | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p> | ||
| | | 20140706={{Extrait|id=2731289|Il ignorait qu’un simple mortel n’a le droit d’épouser qu’un seul jour le Garçon-à-la-tête-dure (car telle est la loi de ce monde singulier). Et Clair-de-Lune, à tout le moins, aurait bien goûté ce plaisir pendant les trois jours qui sont le bon usage des mariages réussis.<br>— Ô œil dans mon œil, cœur dans mon cœur, nombril dans mon nombril, œufs dans mes œufs, ô Garçon-à-la-tête-dure, permets-moi, à tout le moins, de rester auprès de toi pendant les trois jours qui sont le bon usage des mariages réussis.<br>— Ben non. On s’est mariés. Ça va. Au revoir ! | ||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre= | {{Réf Article | auteur1=[[Tony Duvert]] | titre=[[Le garçon à la tête dure (Tony Duvert)|Le garçon à la tête dure : inspiré des ''Mille et une Nuits'']] | périodique=Minuit |num=30 | date=septembre 1978 |page=15 |issn=0398-9801}}}} | ||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mariage]]</p> | |||
| 20140707={{Extrait|id=2780420|La scolarité obligatoire, c’est dix ans de prison préventive. Alphabétiser n’est qu’un prétexte, et cette mission n’est pas remplie. On n’enseigne pas, on surveille. On n’éduque pas, on soumet. On n’éveille pas, on éteint. | |||
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=73}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p> | |||
| 20140708={{Extrait|id=2782603|J’éprouvais une sorte de plaisir salace et méchant à dénoncer les actes impurs que je voyais.<ref>Dans ce passage, Peyrefitte avoue que s’étant abstenu de toute activité sexuelle pendant ses six années de collège, il a dénoncé plusieurs camarades qui s’y adonnaient.</ref> | |||
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=16|page=301}}}} | |||
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | <p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p> | ||
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Version du 9 juin 2014 à 07:19