Utilisateur:Pinocchio

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مُعَقرَبُ الصُّدْغ ، ملْبُوسٌ عَوَارِضُه
جلبابَ خزٍّ ؛ عليه النـَّـورُ مقـْطـُوفُ
تحيا النفوسُ به في سطـْحِ جوْهرَةٍ ،
فـما علـيْـكَ إذا اسْـتـدْعَاكَ تكلـيـفُ
تضَمّنَ الرّوحَ جِسْمُ النُّورِ ؛ فامتزَجا
في عارض ٍ فـيهِ أرواحٌ وتألـيـفُ
فليس يخْطِرُ في الأوْهَام ِ أنّ لهُ
عِدْلاً ، وليس له في الحسنِ موْصُوفُ

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مُعَقرَبُ الصُّدْغ ، ملْبُوسٌ عَوَارِضُه
جلبابَ خزٍّ ؛ عليه النـَّـورُ مقـْطـُوفُ
تحيا النفوسُ به في سطـْحِ جوْهرَةٍ ،
فـما علـيْـكَ إذا اسْـتـدْعَاكَ تكلـيـفُ
تضَمّنَ الرّوحَ جِسْمُ النُّورِ ؛ فامتزَجا
في عارض ٍ فـيهِ أرواحٌ وتألـيـفُ
فليس يخْطِرُ في الأوْهَام ِ أنّ لهُ
عِدْلاً ، وليس له في الحسنِ موْصُوفُ
">مُعَقرَبُ الصُّدْغ ، ملْبُوسٌ عَوَارِضُه

L’accroche-cœur
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مُعَقرَبُ الصُّدْغ ، ملْبُوسٌ عَوَارِضُه
جلبابَ خزٍّ ؛ عليه النـَّـورُ مقـْطـُوفُ
تحيا النفوسُ به في سطـْحِ جوْهرَةٍ ،
فـما علـيْـكَ إذا اسْـتـدْعَاكَ تكلـيـفُ
تضَمّنَ الرّوحَ جِسْمُ النُّورِ ؛ فامتزَجا
في عارض ٍ فـيهِ أرواحٌ وتألـيـفُ
فليس يخْطِرُ في الأوْهَام ِ أنّ لهُ
عِدْلاً ، وليس له في الحسنِ موْصُوفُ

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مُعَقرَبُ الصُّدْغ ، ملْبُوسٌ عَوَارِضُه
جلبابَ خزٍّ ؛ عليه النـَّـورُ مقـْطـُوفُ
تحيا النفوسُ به في سطـْحِ جوْهرَةٍ ،
فـما علـيْـكَ إذا اسْـتـدْعَاكَ تكلـيـفُ
تضَمّنَ الرّوحَ جِسْمُ النُّورِ ؛ فامتزَجا
في عارض ٍ فـيهِ أرواحٌ وتألـيـفُ
فليس يخْطِرُ في الأوْهَام ِ أنّ لهُ
عِدْلاً ، وليس له في الحسنِ موْصُوفُ
">Ses deux accroche-cœurs se cambraient sur ses tempes :
on eût dit des scorpions.
Et sa robe de soie était ouverte et ample.
Il est comme un diamant,
qui réveille les cœurs, excite le désir.
Si un jour il t’invite,
n’hésite pas, car tout est facile avec lui
et son esprit habite
le beau corps lumineux qui se fond avec lui,
comme un nuage au vent.
Imaginerait-on que, quelque part, existe
un autre être vivant
dont la beauté puisse être comme sa réplique ?

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Chapitre VI

Dans les hauts quartiers neufs de Rome, entre le Pincio et le Quirinal, des maisons achevées d’hier, neuves et presque délabrées, dont les boutiques demeurent closes, forment des rues désertes où le luxe impuissant lutte contre la misère. Et l’uniforme teinte ocre jaune de ces taudis tout neufs, même lavée de soleil, ne parvient pas à en dissiper l’aspect dépenailléa.

Pierre et Jean longent des trottoirs où des femmes aux cheveux noirs, aux regards durs, aux traits rudes allaitent leurs marmots. Leurs marmots qui ont déjà ces larges yeux bruns par quoi les mioches de par ici deviennent, dès treize ans, de si plaisants gaminsb.

C’est la misère, la misère et la misère qui depuis trois, quatre, dix générations courbe ces pauvres êtres sous tous les jougs et les rend capables, l’atavisme aidant, de compromissions, lesquelles d’ailleurs n’atteignent pas leur pudeur abolie ni leur dignité qui en a vu bien d’autres. Quand il faut manger ils vendent des allumettes, des fleurs, des journaux, à moins que…
… Et la belle image de Luigi frissonna dans la pensée douloureuse de Pierre ; à moins que…

  • — C’est là, dit Jean.

Dans l’escalier très vaste brutalement éclairé d’en haut par un jour cru qui frappe les degrés de marbre blanc et rejaillit contre les parois des murs peints à la chaux vive, Jean voit descendre un des modèles de Peterson, Virginia Brina. La désignant à son ami :

  • — Comment la trouves-tu, mon petit Pierre ?
  • — Jolie à croquer.
  • — Elle vient de poser. Dommage ! un peu plus tôt tu voyais le plus beau corps du monde.
  • — Permets : excepte s’il te plaît Luigi.
  • — Que tu n’as pas vu.
  • — Que je devine.
  • — Et tu t’y connais… zazaedz edfdzefzef eferf erferf eferfef erferf efefef erfef efef erfeferff erfef erferf efef zefrefef refzf zefzef zfzef
  • — Mauvais !

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Notes et références


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LA - LE - LH - LI - LL - LO - LU - LY


Le Christ

Dieu est au-delà de tous les noms de Dieu, au-delà de l’idée de Dieu. Pour pressentir ce que peut être l’existence de Dieu, nous n’avons que deux voies, qui d’ailleurs se confondent : l’amour et la beauté. L’amour de la créature et la beauté du monde créé sont les vitraux à travers quoi nous recevons, en transparence, la lumière du Christ, « soleil de justice ».
  • Gabriel Matzneff, Les Passions schismatiques, Stock, 1977, « Le Christ », p. 26