« Alain-Philippe Malagnac » : différence entre les versions

De BoyWiki
(m)
(m)
Ligne 1 : Ligne 1 :
'''Alain-Philippe Malagnac''' (Paris, [[16 juillet]] [[1951]]<ref>Cette date du 16 juillet est indiquée ici sur la foi d’une contribution à l’article de Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain-Philippe_Malagnac_d'Argens_de_Villèle Alain-Philippe Malagnac d'Argens de Villèle], ajoutée anonymement le 1{{Exp|er}} avril 2009. Dans ''Notre amour'' (Paris, Flammarion, 1967), Peyrefitte place début juin l’anniversaire d’Alain-Philippe (p. 80), et il lui attribue plus loin le signe des Gémeaux, qui correspond à cette période (p. 121).</ref> – Saint-Étienne-du-Grès, [[16 décembre]] [[2000]]) devint à partir de [[1964]] le jeune ami de [[Roger Peyrefitte]]. Figurant du film ''[[Les amitiés particulières (Delannoy)|Les amitiés particulières]]'', il fut ensuite le héros du récit ''[[Notre amour]]'' et de ''[[L’enfant de cœur]]''.
'''Alain-Philippe Malagnac''' (Paris, [[16 juillet]] [[1951]]<ref>Cette date du 16 juillet est indiquée ici sur la foi d’une contribution à l’article de Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/Alain-Philippe_Malagnac_d'Argens_de_Villèle Alain-Philippe Malagnac d'Argens de Villèle], ajoutée anonymement le 1{{Exp|er}} avril 2009. Dans ''Notre amour'' (Paris, Flammarion, 1967), Peyrefitte place début juin l’anniversaire d’Alain-Philippe (p. 80), et il lui attribue plus loin le signe des Gémeaux, qui correspond à cette période (p. 121).</ref> – Saint-Étienne-du-Grès, [[16 décembre]] [[2000]]) devint à partir de [[1964]] le jeune ami de [[Roger Peyrefitte]]. Figurant du film ''[[Les amitiés particulières (Jean Delannoy)|Les amitiés particulières]]'', il fut ensuite le héros du récit ''[[Notre amour]]'' et de ''[[L’enfant de cœur]]''.


Devenu adulte, il put s’appeler Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villèle, ayant acquis ces deux derniers titres tombés en déshérence. Homme d’affaires, il épousa la chanteuse Amanda Lear. On pense parfois que sa mort, peu après celle de Roger Peyrefitte, pourrait être un suicide déguisé.
Devenu adulte, il put s’appeler Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villèle, ayant acquis ces deux derniers titres tombés en déshérence. Homme d’affaires, il épousa la chanteuse Amanda Lear. On pense parfois que sa mort, peu après celle de Roger Peyrefitte, pourrait être un suicide déguisé.

Version du 3 mai 2010 à 00:21

Alain-Philippe Malagnac (Paris, 16 juillet 1951[1] – Saint-Étienne-du-Grès, 16 décembre 2000) devint à partir de 1964 le jeune ami de Roger Peyrefitte. Figurant du film Les amitiés particulières, il fut ensuite le héros du récit Notre amour et de L’enfant de cœur.

Devenu adulte, il put s’appeler Alain-Philippe Malagnac d’Argens de Villèle, ayant acquis ces deux derniers titres tombés en déshérence. Homme d’affaires, il épousa la chanteuse Amanda Lear. On pense parfois que sa mort, peu après celle de Roger Peyrefitte, pourrait être un suicide déguisé.

Notes et références

  1. Cette date du 16 juillet est indiquée ici sur la foi d’une contribution à l’article de Wikipédia Alain-Philippe Malagnac d'Argens de Villèle, ajoutée anonymement le 1er avril 2009. Dans Notre amour (Paris, Flammarion, 1967), Peyrefitte place début juin l’anniversaire d’Alain-Philippe (p. 80), et il lui attribue plus loin le signe des Gémeaux, qui correspond à cette période (p. 121).