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| 20090803=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
| 20161026={{Extrait|id=1614916|Plus que par les chromosomes, on se reproduit en influençant, en modelant, en favorisant ou en combattant autrui. Un talent qu’on a parfois dès l’enfance. Des gamins peuvent séduire, agir sur vous, délabrer vos savoirs, vous imposer leur monde, être copiés : ils se multiplient déjà.
{{Extrait|id=8755966|Inciter l’homme à s’abandonner à ses pulsions chaotiques est l’asservir, et non le libérer. Aussi, la libération sexuelle signifie-t-elle parfois la libération de l’esclavage du sexe. La libération n’est pas un synonyme de la licence. Dans certains cas, c’est la continence qui exprime une libération sexuelle.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=123}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20090804=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Les ambassades (citations)]]</div>
| 20161027={{Extrait|id=1641909|{{personnage|Le Chœur}} : Malheureuse, oui, malheureuse ! Non pas d’être encagée, mais de croire l’être. Malheureuse, oui, malheureuse, de buter contre des barreaux qui n’existent pas.
{{Extrait|id=8789755|Pour être éternel, il suffit au vrai amour d’avoir existé.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=86|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les ambassades/Flammarion, 1951|section=1{{Exp|e}} partie, chap. I|page=11}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20090805=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161028={{Extrait|id=1693016|{{personnage|Inès}} : Mon petit garçon aux cils invraisemblables, à la fois beau et grossier, comme sont les garçons. Qui demande qu’on se batte avec lui, qu’on danse avec lui. Qui ne supporte pas qu’on le touche. Qu’un excès de plaisir fait soupirer.
{{Extrait|id=8899200|La vitalité sexuelle dépend de l’hygiène alimentaire. La cuisine française, du moins lorsqu’on en abuse, est le meilleur moyen de se désexualiser. Sexualité égale frugalité.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=169|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=6|page=143}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20090806=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
| 20161029={{Extrait|id=1703816|{{personnage|Georges}} : J’avais mesuré mon affection, et ses entraves, et je les avais acceptées. Lui, j’avais mesuré ses travers et ses lacunes, et je les avais acceptés eux aussi.
{{Extrait|id=8946360|Priape est le dieu des garçons. C’est lui qui, en leur révélant les plaisirs solitaires, préside à leur seconde naissance – leur véritable naissance à la vie. C’est lui qui, par la main d’un frère, d’un cousin, d’un camarade, fait leur apprentissage de l’amour réciproque, quand ce n’est pas par celle d’un oncle, d’un parrain, d’un ami de la maison, d’un confesseur, d’un professeur, d’un valet ou d’un inconnu dans un lieu public. Jadis, pour les rois enfants, ce soin charitable était réservé aux cardinaux premiers ministres (Mazarin avec Louis XIV, Fleury avec Louis XV). Peu de garçons ont été initiés par une fille ou une femme. Vénus, dont Priape est le fils aussi bien que Cupidon, se présente, lorsque, selon (...)
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=225|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{Exp|e}} partie, chap. II|page=13}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20090807=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161030={{Extrait|id=1718367|Le besoin de protection attribué aux faibles et aux ignorants a toujours légitimé les mesures de coercition de l’État. L’{{petites capitales|u.r.s.s.}} des moujiks, la France des veaux, le peuple de partout.<br>La protection imposée par un protecteur est un contrôle.<br>Il n’y aurait de protection qui mérite ce terme que celle qui serait demandée par une personne (de tout âge, sexe, etc.) en difficulté, et qui n’irait pas au-delà de cette demande.
{{Extrait|id=9081570|En 87 Jean-Paul II a publié une « Lettre aux évêques de l’Église catholique sur la pastorale à l’égard des personnes homosexuelles ». L’Église ne veut pas nous laisser dormir en paix. Je me demande si cette obsession ne vient pas du fait que les papes se rendent compte que l’enseignement religieux est le séminaire de la pédérastie. Dans les chansons d’autrefois, « jésuite » rimait toujours avec « sodomite ». La lettre papale ressemble fort à un mea-culpa.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=109}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=4|page=207}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20090808=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</div>
| 20161031={{Extrait|id=1724446|L’âge de treize ans chez les garçons me semble aussi à part, aussi nettement distinct des douze et des quatorze ans. Brève année éclatante ! Sénèque a un mot voluptueux, pour dire que la splendeur de l’enfance paraît surtout à sa fin, comme les pommes ne sont jamais meilleures que lorsqu’elles commencent à passer. À treize ans, l’enfance jette son feu avant de s’éteindre. Elle traverse de ses dernières intuitions les premières réflexions de l’adolescence. L’intelligence est sortie de la puérilité, sans que l’obscurcissent encore les vapeurs de la vie pathétique qui va se déchaîner dans quelques mois. Avant de s’en aller pour sept ans dans de redoutables oscillations, l’être se repose une minute en un merveilleux et émouvant équilibre. Jamais cet esprit n’aura plus de souplesse, plus de mémoire, plus de rapidité à concevoir et à saisir, jamais ses dons ne se montreront plus dépouillés. Il n’est rien qu’on ne puisse demander à un garçon de treize ans.
{{Extrait|id=9163097|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Le code pénal. Quelle lecture ! La société déculottée exhibe ses parties les plus honteuses, ses obsessions les plus inavouables.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=24|section=''La relève du matin'' (1920)}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=137}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20090809=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161101={{Extrait|id=1753408|À une époque de partouzerie généralisée telle que la nôtre, il était spécialement hypocrite de choisir les « pédophiles » ou prétendus tels pour ''capro espiatorio'', bouc émissaire de tous nos maux.
{{Extrait|id=9243201|{{personnage|[[Henry de Montherlant]]}} :<br>Vous, vous aimez les beaux. Moi, j’aime les pauvres.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=10|page=263}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=58}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20090810=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div>
| 20161102={{Extrait|id=1775903|{{personnage|Laurent Tailhade}} :<br>Quand le riche exhibe un nom aristocratique, c’est beaucoup d’honneur qu’il fait aux jeunes roturiers en les favorisant des suprêmes outrages.<ref>Extrait de l’article de Laurent Tailhade « Lettre familière à M. Jacques d’Adelsward de Fersen, embasicète », paru le 16 juillet [[1903]] dans l’hebdomadaire [[anarchisme|libertaire]] et anticlérical ''La Raison''.</ref>
{{Extrait|id=9261044|{{personnage|Jean Guibert}} :<br>Je vous aime et vous aimez l’amour, si ce n’est simplement le plaisir.
{{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=103|partie=Première partie|chapitre=XX}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=124}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20090811=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
| 20161103={{Extrait|id=1828856|Il n’y a aucune ''méprise'' dans l’amour des jeunes garçons. Un pédéraste, un amant des enfants, n’a pas à se chercher des excuses, non plus qu’à se justifier (« pardonnez-moi, mon petit, je vous avais pris pour votre sœur ! ») : un jeune garçon est un jeune garçon, sa spécificité ne fait aucun doute, à preuve les pédérastes tels que Gide qui n’ont ''que'' le goût des garçons.
{{Extrait|id=9321835|Demain, il n’y aura de vie un peu noble que souterraine.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=24}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=107}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20090812=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
| 20161104={{Extrait|id=1892029|{{personnage|M{{Exp|e}} Béchu}} :<br>S’il y a une chose dont la bourgeoisie a horreur, et qu’elle ne pardonne pas, c’est le scandale.
{{Extrait|id=9475124|Les adolescents ont certes besoin de s’aimer entre eux, mais ils ont aussi besoin d’être aimés par d’autres adultes que papa-maman et l’oncle Anatole ; ils ont besoin de rencontrer des adultes qui soient des vivants. Des vivants, c’est-à-dire des éveilleurs.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=8|page=119}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=140}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20090813=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161105={{Extrait|id=1903620|{{personnage|Pasiphaé}} : Parfois, à des heures de faiblesse, la mauvaise tentation m’assaille, de me trahir pour devenir pareille aux autres, et de charger des bonheurs qui ne sont pas les miens. Et pour me défendre contre cette tentation, je ne trouve que moi-même, toujours moi-même. Mais n’est-ce pas bien ainsi ?
{{Extrait|id=9517596|Vous ne saurez jamais ce qu’est la pédérastie, si vous n’avez pas connu l’Italie.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=91|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=60}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20090814=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div>
| 20161106={{Extrait|id=1905124|Décidément les croque-Dieu sont incorrigibles, voyez les moines du ''Décaméron'' et le séminariste Casanova, ce n’est pas sérieux, comme si le Christ ne s’était fait chair, ''flesh'', que pour nous permettre de tringler les premières communiantes et de tailler des pipes aux petits chanteurs à la queue de bois.
{{Extrait|id=9523990|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Les enfants sont comme les sages [...] : ils ne peuvent rien faire de mal, puisqu’ils sont au-dessus du mal. Fourbes, ils restent francs ; gourmands, ils restent sobres ; impurs, ils restent purs.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=12-13}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=251}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20090815=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
| 20161107={{Extrait|id=1912017|{{personnage|Robert de Tournel}} :<br>Ah ! glorieuse antiquité et splendide Renaissance, où l’amour du maître et de l’élève était le corollaire d’une bonne éducation !
{{Extrait|id=9600479|Ceux qui vivent différemment, l’hérétique, le bohémien, l’artiste, ont de tous temps été mal acceptés par la masse : cela n’est pas nouveau. Mais aujourd’hui, où la planète se rétrécit, et s’uniformise, la singularité est devenue un crime, et un exploit.
{{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=21|partie=Première partie|chapitre=II}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« Conclusion »|page=156}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20090816=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div>
| 20161108={{Extrait|id=1914256|S’il y a les regards éloquents, non suivis de rencontres, il y a les rencontres enivrantes sans lendemain. C’est la destinée de l’amour que j’ai qualifié d’impossible. Il ne l’est pas, en ce qu’il trouve mille façons de se pratiquer, et il l’est, en ce qu’il ne peut ni se chanter ni se vivre.
{{Extrait|id=9727852|{{personnage|Annie Teacher}} :<br>L’amour se fait ou ne se fait pas, mais il ne se discute pas. Que resterait-il, si on le discutait ? On n’oserait aimer personne. On commence par vous faire aimer vos parents, comme s’il n’y avait qu’eux au monde ; ensuite on vous fait aimer Dieu, comme s’il n’y avait que lui ; enfin, on voudrait ne vous faire aimer qu’un homme, auquel on prétend vous lier pour la vie.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=12}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=124}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20090817=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161109={{Extrait|id=1923476|L’accord parfait est difficile entre les deux sexes, même hors des chemins battus.
{{Extrait|id=9753891|{{personnage|Michel de Saint-Pierre}} :&nbsp;<ref>Extrait d’une lettre de Michel de Saint-Pierre à Roger Peyrefitte, à propos de l’épuration.</ref><br>Que voulez-vous ? je n’aime pas les juges.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VII|page=168}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=1|page=62}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20090818=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
| 20161110={{Extrait|id=1928077|On répète que les filles sont meilleures en classe que les garçons.<br>Un compliment empoisonné. L’école est fondée sur la routine, la platitude, l’obéissance, la comédie, la jaserie, le chacun pour soi, la servilité envers les maîtresses, l’art de trahir les camarades.<br>Voilà ce qui rend les garçons mauvais élèves : voilà ce qui avantage les filles.
{{Extrait|id=9774330|{{personnage|[[Alain-Philippe Malagnac]]}} :&nbsp;<ref>De même que dans le reste du récit, le jeune amant de Roger Peyrefitte n’est pas nommé.</ref><br>Les curés m’ont révélé que ce qui m’attirait, c’était un péché ; les livres de ma sœur, que c’était une perversion ; ''les Amitiés particulières'' enfin que c’était l’amour.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=111-112}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. III|page=40-41}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20090819=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161111={{Extrait|id=1990428|''Il ne faut jamais suivre un inconnu extrêmement gentil'' ; en revanche, il faut suivre sagement, docilement les vieilles connaissances, parents, profs, même s’ils ne sont pas extrêmement gentils, même s’ils ne sont pas gentils du tout, même s’ils vous foutent des torgnoles, même s’ils sont assis sur votre tête et vous empêchent de respirer, de vivre, d’être heureux. Les adultes qui n’aiment pas les enfants ne supportent pas que les enfants soient aimés par ceux qui les aiment. Un enfant ne peut disposer ni de son cœur ni de son corps ni de son amour ni de ses baisers. Un enfant appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l’usage exclusif. Pourtant, c’est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur.
{{Extrait|id=9841649|Même un saint ne saurait résister à la vue du plaisir que prend un garçon.<br />Cette vue n’enflamme pas seulement les ermites et les pédérastes : elle est d’abord irrésistible pour les jeunes garçons eux-mêmes et pour les jeunes garçons entre eux.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=40-41}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=9|page=303}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20090820=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
| 20161112={{Extrait|id=2039144|{{personnage|Pasiphaé}} : Ô ma destinée, je te tends les bras ! Que longuement, à longs traits, je puisse enfin boire à ce que j’aime ! Ô beau jour !
{{Extrait|id=9877025|''Délicieux vainqueur,'' il régnait de nouveau chez moi. C’était tantôt l’Amour sans voiles, tantôt l’Amour vêtu d’un foulard ; l’Amour follement éveillé ou l’Amour qui somnole ; l’Amour debout, l’Amour couché ; l’Amour sur le côté droit, l’Amour sur le côté gauche ; l’Amour à plat ventre, l’Amour à genoux, mais non pour implorer grâce ; l’Amour avec la flèche et l’Amour avec le carquois. Nos gestes étaient complémentaires. Mes pensées, il les devinait, les yeux fermés, par la peau. Il offrait un champ inépuisable aux caprices de l’imagination. Sa beauté et sa grâce permettaient de tout oser sans manquer aux lois de l’esthétique.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=84|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. XIV|page=89}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20090821=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</div>
| 20161113={{Extrait|id=2053253|''Auch die schönsten Frauenstimmen mischen sich niemals so ideal mit den alten Instrumenten wie Knabenstimmen.''<br>—<br>Même les plus belles voix de femmes ne se mélangent pas d’une façon aussi parfaite avec les instruments anciens que les voix de garçons.
{{Extrait|id=9916929|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Qu’est-ce qu’une petite fille ? Tantôt petit garçon « manqué », comme on dit, plus souvent encore petite femme, la petite fille proprement dite n’est nulle part. C’est d’ailleurs ce qui donne aux écolières un air si gentiment comique : ce sont des femmes naines. Elles trottinent sur leurs courtes jambes en balançant les corolles de leurs jupettes que rien ne distingue – sinon la taille – des vêtements des femmes adultes. C’est vrai aussi de leur comportement. J’ai souvent vu des fillettes très jeunes – trois ou quatre ans – avoir à l’égard des hommes une attitude très typiquement et comiquement féminine, sans équivalent dans la conduite des petits garçons à l’égard des (...)
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach, Matthäus-Passion|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Schallplatten|année=1987|page=30|section=''Entstehungsgedichte der Matthäus-Passion''}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=138-139}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p>
| 20090822=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161114={{Extrait|id=2062906|Quand on s’intéresse à l’adolescence, on n’ignore pas qu’elle n’offre guère que des approximations spirituelles. C’est un des motifs qui rendent volage avec elle ou qui atténuent le chagrin de ne pouvoir la fixer : on a vite fait le tour des corps, fussent-ils charmants.
{{Extrait|id=9922145|Pour moi, le dégoût et l’horreur ne résident que dans l’hypocrisie.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. II|page=37}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=16|page=337}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20090823=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div>
| 20161115={{Extrait|id=2070389|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>La première loi des gymnastes était, par définition, d’être entièrement nus, et les nôtres ne le sont qu’à moitié. Au nom de quoi souffrons-nous un tel attentat à la pudeur ?
{{Extrait|id=9956714|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>« Impudique », « obscène », que ces mots paraissent misérables ! Je ne sais si j’ai une âme d’enfant ou une âme de païen, mais je ne puis absolument rien voir ni concevoir d’obscène ni d’impudique.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=267}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=252}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20090824=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</div>
| 20161116={{Extrait|id=2084229|On entend, on lit de telles sottises sur la philopédie (je préfère, mes lecteurs le savent, « philopédie » à « pédophilie », qui a un je-ne-sais-quoi de pharmaceutique qui me rebute), et le récent scandale des prêtres catholiques tripoteurs d’enfants de chœur a été le prétexte à tant de vertueuses indignations, que, par crainte de se faire insulter, les gens d’esprit hésitent désormais à s’exprimer sur ce thème.
{{Extrait|id=1122763|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Il faut aller à son bonheur tranquillement et le saisir hardiment.
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« Casanova ou la victoire sur la mort » (10 juillet 2010)|page=168}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=306}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20090825=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</div>
| 20161117={{Extrait|id=2109682|{{personnage|Georges}} : Qu’est-ce que c’est que ça, la nature ? Il y a tout dans la nature.
{{Extrait|id=1441687|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Pour scandaleuse qu’elle puisse paraître au premier abord, l’affinité profonde qui unit la guerre et l’enfant ne peut être niée. [...] Je me demande si la guerre n’éclate pas dans le seul but de permettre à l’adulte de ''faire l’enfant'', de régresser avec soulagement jusqu’à l’âge des panoplies et des soldats de plomb.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=250|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=308-309}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20090826=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
| 20161118={{Extrait|id=2111381|''I think it is better in every way to judge each case on its own merits. In the situation of Greek love, instead of running to the police and jailing the man and putting the boy into a “reform” school where he is going to learn to hate the law and all that it stands for, I would judge it by the quality of the relationship and the effect on the boy. If he seems to be benefitting by it, in school, in relationships with parents, teachers and contemporaries, and if he is developing healthy attitudes, I see no benefit whatever accruing from tearing the relationship asunder and bringing in police and reform-school personnel and ruining the boy’s chances at college and decent employment. In fact I can see where such drastic procedures could well induce guilt feelings and confusions on the boy’s part that were never earlier manifest and might never have arisen. And on the other hand, if the boy seems to be deteriorating during the relationship, the proper person to call (...)
{{Extrait|id=1527343|Il est en vérité singulier que l’amour de la grande jeunesse, qui de toutes les inclinations du cœur humain est assurément la plus naturelle, puisse être classé aujourd’hui parmi les extravagances coupables. N’en déplaise aux psychiatres qui se penchent avec plus ou moins de bienveillance sur cette « minorité sexuelle » qu’est, paraît-il, devenue la pédophilie, ce ne sont pas ceux ou celles qui sont sensibles à la fraîcheur, à la grâce et à la vénusté des moins de seize ans qu’il convient de soigner ; c’est la société qui condamne un tel amour, et le tient pour une étrangeté, voire pour une perversion, légalement pour un crime.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=29}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=145-146}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20090827=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161119={{Extrait|id=2113879|Les religions abrahamiques sont les seules du monde qui persécutent à la fois les deux anneaux masculins : prépuce, anus. Ces sauvages croient déféminiser ainsi le corps mâle.<br>En renonçant à la circoncision, le christianisme paraît moins barbare : mais il est pire que le judaïsme ou l’islam, car il étend sa persécution à la sexualité tout entière. L’idéal du chrétien est l’eunuque. Saint Paul déjà ne coupe plus les prépuces : il exige davantage — la queue et les oreilles.<br>Je vois que de voluptueux jeunes garçons d’Italie se masturbent dans leur prépuce et ne s’exercent pas à l’abaisser : il adhère au gland, il semble atteint de phimosis. En réalité, il est comme un vagin secret, toujours à la disposition du membre égoïste qui s’y caressera.
{{Extrait|id=1717001|L’amour est ma justice.<ref>Peyrefitte dit avoir choisi cette formule pour devise.</ref>
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=36}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=1 et 2|page=45 et 126}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20090828=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161120={{Extrait|id=2173236|''Sicherlich kann ein dreizehnjähriger Bub nicht das musikalische Wissen einer erfahrenen Sängerin in die Waagschale werfen; er wird mit einer viel natürlicheren, naiveren Einstellung an seine Aufgabe herangehen.''<br>—<br>Certes un garçon de treize ans ne saurait jeter dans la balance les connaissances musicales d’une cantatrice expérimentée, mais il abordera sa tâche avec une attitude bien plus naturelle et naïve.
{{Extrait|id=1729993|L’amour, sans supprimer la volupté, en supprime la fringale et en supprime surtout la prostitution.
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach, Johannes-Passion|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Schallplatten|année=1987|page=23-24, 55|section=''Die Johannes-Passion Johann Sebastian Bachs'', « Zur Aufführung dieser Compact Disc »}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=319}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20090829=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161121={{Extrait|id=2189619|Ce ne sont pas les enfants qui sont différents, ce sont les adultes.
{{Extrait|id=1771675|Tous mes livres exaltent la liberté, surtout celle des mœurs, qui ne saurait exister sans celle de l’esprit.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=50}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=1|page=20}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20090830=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
| 20161122={{Extrait|id=2225024|L’âge de treize ans chez les garçons me semble aussi à part, aussi nettement distinct des douze et des quatorze ans. Brève année éclatante ! Sénèque a un mot voluptueux, pour dire que la splendeur de l’enfance paraît surtout à sa fin, comme les pommes ne sont jamais meilleures que lorsqu’elles commencent à passer. À treize ans, l’enfance jette son feu avant de s’éteindre. Elle traverse de ses dernières intuitions les premières réflexions de l’adolescence. L’intelligence est sortie de la puérilité, sans que l’obscurcissent encore les vapeurs de la vie pathétique qui va se déchaîner dans quelques mois. Avant de s’en aller pour sept ans dans de redoutables oscillations, l’être se repose une minute en un merveilleux et émouvant équilibre. Jamais cet esprit n’aura plus de souplesse, plus de mémoire, plus de rapidité à concevoir et à saisir, jamais ses dons ne se montreront plus dépouillés. Il n’est rien qu’on ne puisse demander à un garçon de treize ans.
{{Extrait|id=1914256|S’il y a les regards éloquents, non suivis de rencontres, il y a les rencontres enivrantes sans lendemain. C’est la destinée de l’amour que j’ai qualifié d’impossible. Il ne l’est pas, en ce qu’il trouve mille façons de se pratiquer, et il l’est, en ce qu’il ne peut ni se chanter ni se vivre.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=24|section=''La relève du matin'' (1920)}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{Exp|e}} partie, chap. II|page=12}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20090831=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</div>
| 20161123={{Extrait|id=2275549|{{personnage|Ferrante}} : Que m’importe le lien du sang ! Il n’y a qu’un lien, celui qu’on a avec les êtres qu’on estime ou qu’on aime.
{{Extrait|id=1919603|L’honneur du parti communiste est d’être une minorité, qui n’est malheureusement pas infime. L’honneur des homosexuels est d’être une minorité, plus importante que vous ne le pensez. L’honneur des juifs est d’être une minorité. L’honneur des gens intelligents et cultivés est d’être une minorité. L’honneur des belles filles et des beaux garçons est d’être une minorité. Quelle ruse sordide que de prétendre s’attaquer aux « minorités » !
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=142|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=1|page=23}}}}
<p id="cdjlnk">Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20090901=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
| 20161124={{Extrait|id=2285218|Quel dommage que l’amant des enfants soit le plus souvent réduit à des contacts clandestins, furtifs, qui ne lui laissent pas le temps de faire aux gosses autant de bien qu’il voudrait ! Rien de plus fécond, de plus bénéfique ne peut arriver à un/une adolescent(e) que la rencontre d’un aîné qui l’aime, qui le/la prenne par la main, qui l’aide à découvrir la beauté du monde créé, l’intelligence des êtres et des œuvres, qui l’aide à se découvrir soi-même. Si j’étais un parent, je n’hésiterais pas un instant à confier ma fille de quinze ans, mon fils de treize ans, au vilain monsieur.
{{Extrait|id=1923476|L’accord parfait est difficile entre les deux sexes, même hors des chemins battus.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=109}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{Exp|e}} partie, chap. VII|page=168}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20090902=<div id="cdj_lnk">➤ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
{{Extrait|id=2016737|[...] j’ai en moi une cohue de passions fantasques et de contradictoires obsessions. Je souffre d’une absence de structure : les règles, les normes, les devoirs ne signifient rien pour moi. Le déséquilibre est ma nature propre, et la transgression. Je suis organiquement schismatique.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=119}}}}
| 20090903=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</div>
{{Extrait|id=2062906|Quand on s’intéresse à l’adolescence, on n’ignore pas qu’elle n’offre guère que des approximations spirituelles. C’est un des motifs qui rendent volage avec elle ou qui atténuent le chagrin de ne pouvoir la fixer : on a vite fait le tour des corps, fussent-ils charmants.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. II|page=37}}}}
| 20090904=<div id="cdj_lnk">Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</div>
{{Extrait|id=2072578|''Tout le monde est pédéraste.''
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=144}}}}
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Dernière version du 29 octobre 2016 à 07:34