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| 20121202={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie.
| 20121228={{Extrait|id=7285116|Il y a des gens dans le monde qui non seulement n’ont pas de ressources, mais n’ont pas le droit de s’en procurer, ni de disposer de celles qu’ils possèdent, par héritage par exemple. Ce sont les enfants de la société moderne — où, manque de pot, tout repose sur l’argent. Même s’ils travaillent, ce qui peut leur arriver dès 13 ans et demi, ils ne reçoivent pas un salaire entier ; ils risquent de ne pas en recevoir du tout. Ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes avant 18 ans, voire 20. Il leur faut donc être à la charge d’adultes. Et pas n’importe lesquels, qu’ils choisiraient ou qui les choisiraient — il ferait beau voir qu’un adulte entretienne un mineur ou une parce qu’il l’aime bien ! ce serait du détournement. Expressément ses parents, ou son tuteur.<br>Cela fait de l’enfant de société avancée un attardé, qui reste aux graines de sa famille dans les dix ans de plus que son frère « primitif » ou médiéval. Un bébé longue-durée.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=141}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20121203={{Extrait|id=6474157|Si les gosses sont plaqués, ils plaquent eux aussi, et méchamment. Les serments d’amour éternel, les projets d’avenir, que survienne une dispute un peu grave, et tout est remis en cause. Ils passent en un instant de la ferveur absolue à la radicale absence.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=60}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121204={{Extrait|id=6488552|La pédérastie, seule forme possible de la paternité pour celui qui répugne à fonder une famille. Paternité spéciale, mais paternité tout de même.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=73-74}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121205={{Extrait|id=6584388|L’angoisse est le compagnon silencieux de l’enfance mais qui s’en doute ?
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=89}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20121206={{Extrait|id=6591141|[...] les petits garçons, toujours à s’envoler, à disparaître, présences fugitives, feux-follets avec qui il est impossible de rien fonder.
| 20121229={{Extrait|id=7355710|Comment monsieur le curé peut-il être sûr qu’aucun enfant de chœur ne pisse dans sa burette à vin ? Car il faut se venger, quand on vous a tiré les oreilles. Ou ça remplace le vin qu’on a volé. Ou ça fait rire un camarade.<br>Mais les bigots avalent n’importe quoi.  
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=70}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=78}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20121230={{Extrait|id=7357248|Le fait d’être pédéraste ne comporte aucune grandeur, mais il n’en interdit non plus aucune. Peut-être la vraie grandeur de la pédérastie est-elle dans ses servitudes, car, jusque chez les Grecs, qui l’avaient pourtant divinisée, elle obligeait ses adeptes à lutter contre les préjugés du vulgaire. À toutes les époques, la vie du pédéraste a été un combat. Combat, lorsqu’il est jeune, contre ses maîtres et contre sa famille, combat ensuite contre la société, menace perpétuelle pour son honneur et sa position, haine farouche des refoulés, des hypocrites et des imbéciles. Qu’on ne s’abuse pas sur les victoires de certains pédérastes dans des domaines particuliers. Elles sont toujours chèrement acquises et âprement contestées. Enfin, comme la pédérastie est le genre d’amour où le couple idéal est le plus difficile à constituer, à maintenir et à parfaire, c’est celui qui offre le moins de réussites et où le plaisir tient lieu le plus souvent de bonheur.
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Grandeur et servitudes de la pédérastie|périodique=Le Crapouillot|num=12 n.s., ''Les pédérastes''|date=août-septembre 1970|page=15}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20121231={{Extrait|id=7375996|Le désir des corps n’est pas nécessairement de l’amour, et il est des occasions où le refus de l’acte sexuel est une preuve d’amour plus grande que ne le serait un baiser. Il y a érotisme là où il y a tension : l’élan créateur de l’artiste, le combat ascétique du moine, la chasteté nuptiale d’un couple ramassent plus d’énergie sexuelle positive, plus d’érotisme cosmique que l’abandon de ceux/celles qui s’envoient en l’air avec n’importe qui. Aimer un être, c’est le découvrir comme une personne, c’est-à-dire comme quelqu’un d’unique, et respecter cette unicité. L’amour est aux antipodes de l’égoïsme vampirisateur du donjuanisme (et, souvent, de la passion) ; l’amour est oblation de soi.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=137}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20121207={{Extrait|id=6601859|{{personnage|Annie Teacher}} :&nbsp;<ref>C’est souvent la jeune Anglaise Annie Teacher qui exprime le point de vue libertin de l’auteur, plutôt que le personnage central Jean Guibert.</ref><br>Sachez donc que je ne viendrais jamais à un rendez-vous d’amour, si ce n’était le premier.<br>[...]<br>Il n’y a d’amour que si c’est chaque fois la première fois.
| 20130101={{Extrait|id=7404672|Pour celui qui, comme moi, s’est mis dès l’adolescence à l’école des sages de l’Orient et de l’Antiquité gréco-romaine, l’amour des gosses n’est en soi ni un bien ni un mal, mais une chose indifférente, ''adiaphoron''.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=123}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=79}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121208={{Extrait|id=6630331|L’enfance est une institution, non un fait. Comme fait, l’enfance (première partie de la vie humaine, dit prudemment le dictionnaire Robert) est un état mouvant aux limites imprécises. Comme institution, elle va de la naissance à un âge fixé par décret. On dit « enfants », « adolescents », ou « jeunes » selon les besoins de la cause. La Loi dit « mineurs », et c’est la seule expression claire.<br>Les sociétés modernes ont légalisé une discrimination fondée sur une différence de force musculaire. Mineur signifie : moindre. Plus petit. Inférieur. Lesdits « enfants » sont un ensemble d’humains plus faibles au combat au corps à corps, constitué par les plus forts en catégorie, et soumis à un statut et à un traitement spéciaux.<br>Le statut est la privation de l’autonomie.<br>Le traitement, appliqué par l’autorité adulte, à laquelle les mineurs ne peuvent se soustraire, consiste à éliminer du potentiel inné les éléments indésirables, incontrôlables, (...)
| 20130102={{Extrait|id=7451726|Un seul oncle farfelu de passage réussit sans y penser à foutre par terre tout un édifice d’abêtissement édifié à grands efforts — disons que l’oncle a dû mettre en résonance des gènes qui ne demandaient qu’à sauter dans l’action, car du potentiel c’est toujours prêt à sauter. L’oncle peut être une rencontre de vacances, d’autres enfants, le ciné, une chanson, la rue, les événements socio-politiques. Les enfants sont sensibles aux événements socio-politiques, et très tôt ils les perçoivent à leur façon, qui n’est pas forcément stupide, comparée à celle des adultes. Réduire leur univers, comme le font en particulier les freudiens, à papa-maman, c’est les voir — et tâcher de les faire voir — comme des sortes d’appendices sans yeux ni oreilles ni intelligence ; c’est une vision oppressive. « L’oncle » donc peut être partout et n’importe quoi, tout fait ventre. On n’a pas encore trouvé le moyen de l’éviter à coup sûr et c’est notre veine.<br>La famille est la courroie de transmission de l’idéologie dominante, mais qu’il passe un papillon tout est à refaire.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=39}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=97}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20121209={{Extrait|id=6666619|L’honneur de la nature humaine, dans les êtres les plus ténébreux, est d’avoir des zones de lumière qui semblent confirmer son origine spirituelle.
| 20130103={{Extrait|id=7494826|Je sais que j’ai la meilleure part, et qu’elle ne me sera point enlevée.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=3|page=84}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20121210={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{Exp|e}} partie, chap. X|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20121211={{Extrait|id=6817761|N’importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu’ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) excellent dans l’art de se faire draguer. J’ai dragué beaucoup de moins de seize ans, mais beaucoup de moins de seize ans m’ont dragué.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=42}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121212={{Extrait|id=6850831|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce.
| 20130104={{Extrait|id=7502464|On réforme le code pénal. Désolant de penser que, par le jeu des bassesses parlementaires, il ressemblera aux idées reçues et aux valeurs timorées de la France qui vote. Un décalogue de la médiocratie.<br>Le code Napoléon eut au moins le mérite politique d’être promulgué par un jeune tyran qui chiait sur l’opinion publique. Aujourd’hui, c’est cette opinion publique le tyran. Qui l’abattra ? Il n’en est pas de plus ignoble dans l’histoire.<br>Le nouveau code sera établi par une agora de vétérans électoralistes, clientélistes, superstitieux, soumis jusqu’à l’anus aux lobbies truandesques qui financent leurs campagnes. À chaque progrès qu’il faut construire, ces mille vieillards — qui tueraient fils et fille pour gagner quelques voix contre un adversaire — n’auront qu’un seul souci : combien j’y perds ? combien j’y gagne ?<br>Une racaille politicarde sénile va fixer le Bien et le Mal français du {{petites capitales|xxi}}{{Exp|e}} siècle. Je pressens quelle fraîche morale va régner. Quand est-ce qu’on émigre, ô mes jambes, et quelles Pyrénées franchir ?
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'', « Le jeudi de Bagatelle »}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=74-75}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20121213={{Extrait|id=6869290|N’aimer que la jeunesse et la grâce, c’est se condamner à aimer peu souvent et peu longtemps.
| 20130105={{Extrait|id=7516652|La vérité ne détruit rien.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1956|page=178}}}}
{{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20121214={{Extrait|id=6878564|Partout où il y a beauté masculine, il y a en germe la pédérastie. Et comme il y a la beauté de la force, la beauté de la puissance, la beauté de la faiblesse, voire la beauté de la laideur, personne ne peut être sûr d’y échapper.
| 20130106={{Extrait|id=7535573|{{personnage|Le roi Gustave III de Suède}} :<br>On n’est jamais ridicule que de ne plus avoir quatorze ans, c’est-à-dire de ne plus avoir de beauté.
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}}
{{Réf Livre|titre=Le Prince des Neiges|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1961|page=119}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20121215={{Extrait|id=6884147|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
| 20130107={{Extrait|id=7559901|J’ai horreur de Socrate, de Platon, de toute la mélasse sublime dont ils enrobent le désir et le plaisir, j’ai horreur de la pédérastie à prétentions pédagogiques. On peut caresser un jeune garçon sans se croire obligé de lui donner une leçon de maths ou d’histoire-géo dans la demi-heure qui suit. Et qu’on ne nous casse pas les pieds avec l’amour des âmes. L’âme, ça n’existe pas, et si ça existe, ça n’existe qu’incarné, chair dorée, duveteuse.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121216={{Extrait|id=6893810|Je crois, comme les anciens Grecs, que la vérité doit triompher par sa propre force.
| 20130108={{Extrait|id=7573358|Quel plus beau souvenir pour un homme, que de savoir qu’il a été désiré par un autre homme quand il était jeune garçon ?
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=10|page=233}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=324}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20121217={{Extrait|id=6914076|La bêtise est une stratégie de l’intelligence : l’enfant s’adapte, dès sa naissance, à son entourage d’imbéciles, il y conquiert une place en les imitant.
| 20130109={{Extrait|id=7598375|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Ma satisfaction à moi, c’est de peser l’âme des enfants.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=248}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20121218={{Extrait|id=6915965|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Ni tabac ni alcool désormais. Les enfants ne fument, ni ne boivent.
| 20130110={{Extrait|id=7613014|{{personnage|Le baron S.}} :&nbsp;<ref>À propos de l’amour des garçons, après avoir été “soigné” sans succès par [[Richard von Krafft-Ebing|Krafft-Ebing]].</ref><br>Je suis surpris […] d’avoir pu demander qu’on me guérisse de ce mal et non pas qu’on me le donne.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=130}}}}
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=187|section=« Le baron de Gloeden »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20121219={{Extrait|id=6973963|Tout vrai amour doit rompre avec la société.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1956|page=198}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20121220={{Extrait|id=6975223|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Il y a des amours précieuses et rares, comme il y en a de vulgaires.
| 20130111={{Extrait|id=7680942|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Rien ne m’est plus délassant que la compagnie des enfants. Ils me rendent le goût de vivre. Je ne crois à la vie qu’en les regardant, comme ce Romain ne croyait au printemps que lorsque les roses étaient venues. J’ai renoncé à emmener des amis et des amies, avec qui et entre qui les choses ne tardent jamais à se gâter. Enfin, on ne peut changer chaque année d’amis et d’amies, au lieu que l’on peut changer d’enfants, quand ce sont les enfants des autres. En tout cas, il ne peut plus y avoir d’autre société que la leur, pour le trop grand voyageur que j’ai été.
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=96}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=224}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20130112={{Extrait|id=7819354|Je suis absolu, dans mes goûts, dans mes amours, dans mes antipathies, comme un enfant. Être absolu, c’est nécessairement être injuste.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|section=« Avant-propos »|page=9}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130113={{Extrait|id=7850877|Ce sont les adultes qui parlent pour les enfants, comme les blancs parlaient pour les noirs, les hommes pour les femmes. C’est-à-dire de haut, et de dehors.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=7-8}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130114={{Extrait|id=7857273|Être rebelle à seize ans, c’est la banalité : chaque adolescent(e) un peu sensible l’est. Ce qui en revanche est difficile, et rare, c’est de l’être encore dans l’âge adulte. La société n’a pas besoin d’originaux, elle a besoin de citoyens dociles, et son filet est si sûrement lancé que rarissimes sont ceux/celles qui passent au travers des mailles.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« Conclusion »|page=156-157}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130115={{Extrait|id=7949514|La question cardinale est pour moi celle-ci : la femme et l’homme peuvent-ils avoir un langage commun ou bien, murés dans leurs différences, sont-ils condamnés à être l’un pour l’autre soit des étrangers, soit des adversaires ? Ma réponse est que la complémentarité des deux sexes est une illusion platonicienne, qui exprime (comme d’ailleurs la pédophilie, mais tout différemment) cette nostalgie paradisiaque de l’androgyne qui est un des plus anciens, et plus beaux rêves de l’humanité ; noble illusion donc, mais illusion. La femme et l’homme ne sont pas faits pour s’accorder (au {{s-|XVII|e}}, ''accordé'' signifiait « qui s’est engagé par un contrat de mariage, fiancé »), mais pour se combattre et se détruire. Entre l’homme et la femme, c’est une guerre permanente, tantôt sournoise, tantôt ouverte, mais une guerre à mort. La seule langue compréhensible par l’un et l’autre sexe est celle de l’amour fou, et l’univers de la passion le seul où ils puissent, ne serait-ce que fugitivement, se retrouver. Hors de cette commune planète – où les permis de séjour ne sont jamais donnés que pour un temps très bref&nbsp;–, l’homme et la femme habitent des mondes ennemis, hétérogènes.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=48-49}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130116={{Extrait|id=7997239|Les mouvements intérieurs sont également réglementés : tu n’as pas de désirs sexuels avant le moment prescrit par tes adultes, ni vers qui tu veux (sens obligatoire vers sexe opposé), sauf permissivité (blâmable et rare). Ils n’aiment pas qui ils veulent hors de la famille, Je ne veux pas que tu voies A., — et dans la famille ils aiment, cela va de soi (les parents n’étant, sur ce point, pas plus libres).
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=44}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130117={{Extrait|id=8034935|Certes, chaque être humain est un condamné à mort en sursis, mais l’amoureux de l’extrême jeunesse vit cette fatalité de façon plus aiguë et désespérée que quiconque.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=148}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130118={{Extrait|id=8048061|Il y a des degrés pour la vertu, il ne devrait pas y en avoir pour le vice. Il ne trouve d’excuse que dans l’accomplissement impitoyable de sa destinée. Il lui faut aspirer aux sommets ou aux abîmes, tout sauver ou tout perdre, abdiquer ou triompher. Ses vrais triomphes sont rares.
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=7}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20121221={{Extrait|id=6978068|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Une hérésie en faveur de l’enfance, qui oserait la condamner ?
| 20130119={{Extrait|id=8072423|L’univers où se meuvent les enfants (je veux dire : que leur imposent les adultes) est pour l’ordinaire d’une telle bassesse, d’une telle vulgarité, d’une telle déliquescence intellectuelle et morale, que c’est faire œuvre sainte que de leur apprendre à le mépriser et de les aider à s’en échapper : auprès de moi, c’est à une autre hauteur qu’ils respirent, ce sont d’autres horizons qu’ils découvrent. Je n’ai pas de goût pour la pédagogie, mais je crois à la fonction socratique de l’adulte.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=131-132}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20121222={{Extrait|id=7052945|Seule la compagnie des enfants me fait préférer ne plus en être un.
| 20130120={{Extrait|id=8092953|Et les enfants de chœur, branlant du chef, opinent…
{{Réf Chanson|titre=La religieuse|auteur=Georges Brassens|interprète=Georges Brassens|album=Misogynie à part|date=1969|label=Philips}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Enfant de chœur]]</p>
| 20130121={{Extrait|id=8107439|Les adultes ont peur. La « peur panique » soi-même.<br>Le plaisir, c’est dangereux. Rougeur subite de la jeune mère qui, la première fois qu’elle donne le sein, se met à jouir, personne ne l’avait prévenue et elle sent bien que c’est mal. Et ces nourrices autrefois qui baisaient les petits enfants au sexe tandis qu’elles les allaitaient. Ça devait faire des repas un moment assez riche. Et ces petits qui se caressent, devant le monde les innocents, le monde se détourne gêné, et la maman retire la main en disant que c’est pour son bien. Au petit, oh les hypocrites, c’est eux qui sont troublés. Les adultes se glacent devant les enfants parce qu’ils ont peur pour eux-mêmes et leur vertu si chèrement acquise.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=185}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130122={{Extrait|id=8154132|Je deviens citoyen du monde quand j’apprends, saisi de rêverie, qu’il naît sur terre trente-neuf millions de garçons chaque année. Je vois une aube, un arc-en-ciel. Tous sont beaux, à coup sûr, tous me parlent avec plaisir : et leur nombre me convaincrait déjà de vivre trente-neuf siècles.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=54}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20130123={{Extrait|id=8220503|Croissance des enfants du voisinage et des amis. Tristesse vingt fois vécue : voir ''quelqu’un'' devenir n’importe qui.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20121223={{Extrait|id=7053957|Dans les époques troublées la transgression est un cordial plus revigorant que le vin d’Espagne.
| 20130124={{Extrait|id=8246791|Un enfant est en permanence sous le regard des adultes. Il n’y a que le tôlard qui en soit au même point. Lui, c’est pour le punir. Les enfants, c’est pour les « protéger ».
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=108-109}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=43}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20121224={{Extrait|id=7165708|Il n’est pas de bonheur qui n’ait sa source et sa fin dans les sens, mais le charme de l’enfance est de promettre avant de pouvoir tenir. Encore tient-elle volontiers, à un âge que ne soupçonnent pas les bonnes gens. L’auteur de ''Lolita'' a étonné en dévoilant l’existence des « nymphettes ». Les satyrisques étaient les petits compagnons des satyres, les panisques de Pan et, si l’occasion leur en était offerte, les Lolitos supplanteraient les Lolitas.<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;''… Que deviendraient les familles,<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Si les cœurs des jeunes garçons<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Étaient faits comme ceux des filles ?''<br>Le chevalier de Boufflers, qui était pédéraste, fait semblant de poser là une question qu’il avait résolue : les cœurs des garçons sont aussi ardents que ceux des filles et leurs corps plus précoces et plus exigeants.
| 20130125={{Extrait|id=8256630|On ne peut être (ou rester) fat en courant les garçons dans la rue ; sinon, ils vous rient au nez.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{Exp|e}} partie, chap. III|page=22-23}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=5|page=91}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20121225={{Extrait|id=7182226|''To be twelve is an attainment worth the struggle. A boy, just twelve, is like a Frenchman just elected to the Academy.<br>Distinction and honour wait upon him. Younger boys show deference to a person of twelve: his experience is guaranteed, his judgment, therefore, mellow; consequently, his influence is profound. Eleven is not quite satisfactory: it is only an approach. Eleven has the disadvantage of six, of nineteen, of forty-four, and of sixty-nine. But, like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven. Similarly, twenty is worthy, and so, arbitrarily, is twenty-one; forty-five has great solidity; seventy is most commendable and each year thereafter an increasing honour. Thirteen is embarrassed by the beginnings of a new colthood; the child becomes a youth. But twelve is the very top of boyhood.''<br>—<br>Avoir douze ans est une position digne d’être poursuivie. Un garçon (...)
| 20130126={{Extrait|id=8270417|{{personnage|Le Supérieur}} ''(s’adressant à l'Abbé De Pradts)'' :<br>Il ne faut jamais pousser un enfant contre ses parents. La partie nous est trop belle.
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=308-309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
{{Réf Livre|référence=La ville dont le prince est un enfant/Gallimard, 1968|acte=III|scène=VII|page=165}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La ville dont le prince est un enfant (citations)]]</p>
| 20121226={{Extrait|id=7212968|Coucher avec un/une enfant, c’est une expérience hiérophanique, une épreuve baptismale, une aventure sacrée.
| 20130127={{Extrait|id=8312019|Une mère qui, veuve ou divorcée, élève seule son fils est moins hostile qu’une mère en puissance d’époux à une amitié entre le jeune garçon et un aîné. Dans la mesure du possible, je choisis mes petits amis dans les familles désunies, chaotiques, et je m’en trouve toujours bien.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=75}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=108}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20121227={{Extrait|id=7226582|S’il y a un âge où un garçon a besoin de contacts sexuels, c’est l’adolescence. La société adulte n’a aucun droit de lui interdire d’étancher cette soif.
| 20130128={{Extrait|id=8360507|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Comment ai-je été assez fou pour croire que cette société exécrée laisserait vivre et aimer en paix un innocent caché parmi la foule ?
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=49}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=132}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20121228={{Extrait|id=7285116|Il y a des gens dans le monde qui non seulement n’ont pas de ressources, mais n’ont pas le droit de s’en procurer, ni de disposer de celles qu’ils possèdent, par héritage par exemple. Ce sont les enfants de la société moderne — où, manque de pot, tout repose sur l’argent. Même s’ils travaillent, ce qui peut leur arriver dès 13 ans et demi, ils ne reçoivent pas un salaire entier ; ils risquent de ne pas en recevoir du tout. Ils ne peuvent se suffire à eux-mêmes avant 18 ans, voire 20. Il leur faut donc être à la charge d’adultes. Et pas n’importe lesquels, qu’ils choisiraient ou qui les choisiraient — il ferait beau voir qu’un adulte entretienne un mineur ou une parce qu’il l’aime bien ! ce serait du détournement. Expressément ses parents, ou son tuteur.<br>Cela fait de l’enfant de société avancée un attardé, qui reste aux graines de sa famille dans les dix ans de plus que son frère « primitif » ou médiéval. Un bébé longue-durée.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=141}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20121229={{Extrait|id=7355710|Comment monsieur le curé peut-il être sûr qu’aucun enfant de chœur ne pisse dans sa burette à vin ? Car il faut se venger, quand on vous a tiré les oreilles. Ou ça remplace le vin qu’on a volé. Ou ça fait rire un camarade.<br>Mais les bigots avalent n’importe quoi.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=78}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
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Version du 30 décembre 2012 à 08:44