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| 20130628={{Extrait|id=3427467|Parmi les regrets de ma vie, figure celui de ne pas avoir découvert plus tôt que les plaisirs d’une nuit en troisième classe dépassent de loin ceux d’une nuit en couchette.<ref>Dans les trains français, les wagons de troisième classe, où voyageaient les familles les plus pauvres, n’ont été supprimés qu’en [[1956]]. À la fin du même chapitre, Peyrefitte évoque à nouveau les aubaines qu’un pédéraste pouvait y rencontrer.</ref>
| 20130727={{Extrait|id=4240090|Tous les toxicomanes sont des gens à sexualité déficiente, même si, au début, le toxique a pu aider la sexualité. La drogue dévirilise, comme la cuisine. Je ne serai jamais un drogué ; je tiens trop à ce que le ciel m’a donné.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=51}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=7|page=154}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130728={{Extrait|id=4241276|Dialogue entre {{personnage|Henry de Montherlant}} et l’auteur :<br>—&nbsp;Les sentiments se mettent dans les livres. Dans la vie, je ne connais que les sensations : elles suffisent à mon bonheur.<br>—&nbsp;Entre l’ange et la bête, vous n’hésitez pas ! Mais cela vous est un peu particulier. Pour le reste des hommes, la civilisation a toujours consisté à faire passer l’ange avant la bête.<br>—&nbsp;Mais moi aussi, je veux des anges, des anges en chair et en os ! Les anges n’ont pas besoin de mères. Malheureusement, notre époque honore les mères et non les anges.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=35}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20130629={{Extrait|id=3474474|L’infantilisme particulier à ceux qui vivent trop avec les enfants : certains éducateurs, moniteurs de formations de jeunesse, grands-parents à la retraite, désœuvrés et en adoration devant leurs petits-enfants…
| 20130729={{Extrait|id=4241915|De tous les opprimés doués de parole, les enfants sont les plus muets.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=301-302|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=7}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130630={{Extrait|id=3516627|Les vrais éducateurs vont au-devant des problèmes et des intérêts de la jeunesse, au lieu de les fuir.
| 20130730={{Extrait|id=4248228|Je pourrais être amoureux de certaines mères à cause de leurs fils. Mais ce qui prouve que je suis pédéraste au sens strict, c’est que l’amour du fils ne me rendrait jamais amoureux du père.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=15}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. XII|page=81}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20130731={{Extrait|id=4249147|Pour l’encourager, je lui avais dit, que, plus on se distinguait des autres par certaines choses, plus on devait les dépasser dans celles que l’on avait avec eux en commun.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. XI|page=76}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20130701={{Extrait|id=3518238|Qu’il ait le bon carquois ou le mauvais, que sa flèche aille à droite ou à gauche, que sa tête soit couverte de cendres ou de roses, l’Amour est toujours l’Amour.
| 20130801={{Extrait|id=4277841|De temps à autre, un mari assassine sa femme. Cet incident fâcheux ne remet pas en cause, dans l’esprit des bourgeois, l’institution du mariage. Ce n’est pas parce qu’un malade mental étrangle de temps à autre un petit garçon que ces mêmes bourgeois sont autorisés à faire porter le chapeau à tous les pédérastes, et à priver leurs enfants de la joie d’être initiés au plaisir, seule « éducation sexuelle » qui ne soit pas un mensonge et une foutaise.
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Éd. Famot|année=1974|page=8}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=49-50}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20130702={{Extrait|id=3535738|{{personnage|John Hopkins}} ''(à l’auteur, lors d’une promenade dans la médina de [[Marrakech]])'' :<br>« Les très jeunes, ça prend beaucoup de temps ».
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=58}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20130703={{Extrait|id=3542854|Que les violences soient punies avec rigueur, les amoureux de l’extrême jeunesse sont les premiers à le souhaiter. Ce que nous combattons, c’est cette idée qui semble être la pierre d’angle de la présente législation, que l’éveil de l’instinct et des pratiques sexuels chez l’adolescente ou chez le jeune garçon est nécessairement nuisible et funeste à leur épanouissement. Ce n’est pas vrai. Ce qui est néfaste, c’est la continence obligatoire à l’âge de la plus grande ardeur ; ce sont les contacts sensuels mécaniques, sans tendresse, sans amour, comme ces gosses qui flirtent avec trois partenaires différents&nbsp;(es) au cours d’une même surprise-partie ; mais les lettres de ma maîtresse écolière publiées dans ''Les Moins de seize ans'' témoignent, me semble-t-il, qu’une relation d’amour entre un adulte et un enfant peut être pour celui-ci extrêmement féconde, et la source d’une plénitude de vie. Que l’on ait quatorze ou quarante ans, ce qui importe, c’est la qualité de la rencontre. Que l’amour soit parfois destructeur, je suis, hélas ! payé pour en être pénétré ; mais je sais aussi que l’amour est pour chacun, et singulièrement pour les plus jeunes d’entre nous, la maïeutique de l’attention à l’autre, de la générosité, du don de soi. Aimer un être, c’est l’aider à devenir celui qu’il est. Or, cette quête d’identité qui a pour but la possession et la connaissance de soi, est aussi une quête d’identité sexuelle. Une relation amoureuse, quand elle est fondée sur la confiance et la tendresse, est le grand moteur de l’éveil spirituel et physique des adolescents. Les perturbateurs des moins de seize ans ne sont pas les baisers du complice adulte ; ce sont les menaces des parents, les questions des gendarmes et l’hermine des juges.
| 20130802={{Extrait|id=4306244|{{personnage|Pasiphaé}} : Les jugements des hommes nous couvrent comme des vers.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=130-131}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=90|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130704={{Extrait|id=3543621|''Der moderne Singverein, wie virtuos auch immer, hat nichts zu tun mit dem transparenten Knaben- und Jünglingschor der Bach-Kantaten.''<br>—<br>Les chorales modernes, même virtuoses, n’ont rien de commun avec la transparence du chœur de garçons et d’adolescents des cantates de Bach.
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach (1685-1750), Das Kantatenwerk = Sacred cantatas|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Classics International|année=1994|page=178, 268|section=« Die Aufführungspraxis » (1971)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p>
| 20130705={{Extrait|id=3572362|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Je ne reconnais aucun devoir, hors celui du libre arbitre.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=26}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20130706={{Extrait|id=3580581|Si Pasiphaé se croyant coupable est plus intéressante pour le poète, Pasiphaé se croyant innocente est plus intéressante pour le philosophe, pour celui aux yeux de qui la charité n’est pas cette charité dont on nous assomme de nos jours, mais une autre charité : celle qui tente d’inculquer aux hommes une attitude raisonnable devant la vie. Si Pasiphaé se croyant coupable est un personnage pathétique, Pasiphaé se croyant innocente est un personnage exemplaire. L’humanité n’a pas attendu le christianisme pour décréter fautes des actes qui ne sont des fautes ni selon la nature ni selon la raison ; le christianisme n’a fait que reprendre, en les mettant à la mode, les défaillances de l’esprit qu’il avait trouvées.
| 20130803={{Extrait|id=4318323|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Sur la ligne qui va de l’animal à l’homme, l’enfant se situe ainsi au-delà de l’adulte et doit être considéré comme suprahumain, surhumain.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=78-79|section=Présentation de ''Pasiphaé'' (1938)}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=328}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20130707={{Extrait|id=3708630|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Tout le monde est fait pour l’amour : on n’a vécu que si l’on a aimé.
| 20130804={{Extrait|id=4319573|La pédérastie consiste à posséder les garçons.
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=112}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=72}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20130708={{Extrait|id=3710287|Il y a presque toujours chez un enfant ou un adolescent, fût-il du terreau le plus ingrat, un instant où sort de lui quelque chose de merveilleux, qui ne peut être donné que par cet âge, et qu’il ne redonnera jamais plus. C’est une loi de la vie : que cela se gâte ou se dessèche, il n’y est pour rien.
| 20130805={{Extrait|id=4343953|Comment monsieur le curé peut-il être sûr qu’aucun enfant de chœur ne pisse dans sa burette à vin ? Car il faut se venger, quand on vous a tiré les oreilles. Ou ça remplace le vin qu’on a volé. Ou ça fait rire un camarade.<br>Mais les bigots avalent n’importe quoi.  
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=307-308|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=78}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Enfant de chœur]]</p>
| 20130709={{Extrait|id=3774667|Sa tendresse dure le temps de son plaisir ; à la lettre, elle n’est que l’explosion de son plaisir.
| 20130806={{Extrait|id=4346501|La caste adulte, une caste, comme en Inde. Et les gosses, ce sont les intouchables.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=296|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20130710={{Extrait|id=3804668|Les enfants sont d’extraordinaires pêcheurs, les meilleures têtes chercheuses créées à ce jour. Ayant une intuition au moins globale du sort qui les attend, ils sont, sans même y penser, à l’affût des coups de bol. Le coup de bol peut être n’importe quoi. Il n’a rien à voir avec enfance heureuse ou malheureuse. Heureusement. Il n’est pas nécessairement un événement important — au sens où l’entendent les grandes personnes qui n’y entendent rien en importance de toute façon et heureusement. Bien que, un événement important peut aussi faire l’affaire. N’importe quoi.<br>Au premier rang des coups de bol : l’amour. La rencontre. De quelqu’un, de quelque chose, ou bête, ou image. Et ça peut même arriver à l’école, venir même d’un/une prof. Toute connaissance est une histoire d’amour.
| 20130807={{Extrait|id=4355135|C’est un temps à dépasser la peur, la peur d’être punis et plus aimés qui a paralysé la première vague des révoltes au bord des profonds bouleversements salvateurs — ô motivations secrètes du militantisme armé-casqué, ô goût caché du pouvoir, ô petit chef, ô actions désespérées suicidaires accomplies pour échouer-expier, ô instinct de mort politique, oh papa, oh maman, au secours ! ô impuissances solitudes essentielles oh merde.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=117}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=68}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130711={{Extrait|id=3811046|{{personnage|Poil de Carotte}}<br>''Au fond d’un placard. Dans sa bouche, deux doigts ; dans son nez, un seul.''<br>Tout le monde ne peut pas être orphelin.
| 20130808={{Extrait|id=4357670|La voix du sang n’est puissante que chez la mère. Pour l’homme, ses seuls vrais fils sont spirituels ; il faut qu’il estime.
{{Réf Livre||titre=Poil de Carotte|auteur=[[Jules Renard]]|éditeur=Ernest Flammarion|année=1902|page=228|chapitre=« Coup de théâtre »|scène=V|année d'origine=1894}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=285|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes de 1948 sur ''Fils de personne'' »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Orphelin]]</p>
| 20130712={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130713={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130714={{Extrait|id=3817028|Tu as besoin de moi, tu sais bien en quoi : en tout. Moi, j’ai besoin de toi à cause de ta gentillesse, et à cause de l’amour que j’ai pour toi. Donc, que chacun de nous fasse l’impossible non seulement pour ne pas ajouter aux difficultés de l’autre, mais pour lui être une occasion de plaisir et de légèreté.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=295|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20130715={{Extrait|id=3833318|Les amours africaines sont faciles, mais médiocres. Il y a une certaine démission de l’homme occidental en quête d’amours homosexuelles, à franchir la Méditerranée.
| 20130809={{Extrait|id=4394546|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Dans presque tout système d’éducation, on part de ce principe que tous les enfants sont suspects, comme partout est suspect un homme qui s’intéresse à eux. En les surveillant à l’excès, on leur rend désirable ce dont il est question de les détourner.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=62}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=250}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20130810={{Extrait|id=4402390|{{personnage|Ferrante}} :<br>Treize ans a été l’année de votre grande gloire ; vous avez eu à treize ans une grâce, une gentillesse, une finesse, une intelligence que vous n’avez jamais retrouvées depuis ; c’était le dernier et merveilleux rayon du soleil qui se couche ; seulement on sait que, dans douze heures, le soleil réapparaîtra, tandis que le génie de l’enfance, quand il s’éteint, c'est à tout jamais. On dit toujours que c’est d’un ver que sort le papillon ; chez l’homme, c’est le papillon qui devient un ver. À quatorze ans, vous vous étiez éteint ; vous étiez devenu médiocre et grossier.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=111|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20130811={{Extrait|id=4402391|{{personnage|Ferrante}} : Treize ans a été l’année de votre grande gloire ; vous avez eu à treize ans une grâce, une gentillesse, une finesse, une intelligence que vous n’avez jamais retrouvées depuis ; c’était le dernier et merveilleux rayon du soleil qui se couche ; seulement on sait que, dans douze heures, le soleil réapparaîtra, tandis que le génie de l’enfance, quand il s’éteint, c'est à tout jamais. On dit toujours que c’est d’un ver que sort le papillon ; chez l’homme, c’est le papillon qui devient un ver. À quatorze ans, vous vous étiez éteint ; vous étiez devenu médiocre et grossier.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=111|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20130812={{Extrait|id=4441750|{{personnage|Abel Tiffauges}} (13 mai 1938) :<br>L’une des inversions malignes les plus classiques et les plus meurtrières a donné naissance à l’idée de ''pureté.''<br>La pureté est l’inversion maligne de l’innocence. L’innocence est amour de l’être, acceptation souriante des nourritures célestes et terrestres, ignorance de l’alternative infernale pureté-impureté. De cette sainteté spontanée et comme native, Satan a fait une singerie qui lui ressemble et qui est tout l’inverse : la pureté. La pureté est horreur de la vie, haine de l’homme, passion morbide du néant. Un corps chimiquement ''pur'' a subi un traitement barbare pour parvenir à cet état absolument contre nature. L’homme chevauché par le démon de la pureté sème la ruine et la mort autour de lui. Purification religieuse, épuration politique, sauvegarde de la pureté de la race, nombreuses sont les variations sur ce thème atroce, mais toutes débouchent avec monotonie sur des crimes sans nombre dont l’instrument privilégié est le feu, symbole de pureté et symbole de l’enfer.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=85}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20130813={{Extrait|id=4442123|''Eleven is not quite satisfactory: it is only an approach. Eleven has the disadvantage of six, of nineteen, of forty-four, and of sixty-nine.''<br>—<br>Onze ans n’est pas tout à fait satisfaisant : ce n’est qu’un début. Onze ans présente le même inconvénient que six, dix-neuf, vingt-quatre et soixante-neuf.
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p>
| 20130814={{Extrait|id=4451865|En 1945, l’armée américaine avait affectueusement baptisé ''Little boy'' la bombe atomique qui détruisit Hiroshima. Ce « petit garçon » — un long obus de quatre tonnes — fit cent vingt mille victimes en quelques secondes. Dieu merci, ce n’était pas sexuel.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=140}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20130815={{Extrait|id=4459860|La vérité est que le charme érotique du jeune garçon est radicalement nié par la société occidentale moderne qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres, ''Katobasiléia''. Le postulat de notre époque, c’est qu’''un jeune garçon n’est pas désirable''.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20130816={{Extrait|id=4474086|''Lettre d’André Gide à René Michelet :''<br>Disons provisoirement que la culture donne plus d’épaisseur à la joie ; sans la culture, je ne serais peut-être qu’un vieux cochon.
{{Réf Livre|titre=Les cahiers de la Petite Dame, 1918-1929|auteur=Maria Van Rysselberghe|éditeur=Gallimard|année=1973|page=68|tome=4|section=23 février 1921|collection=Cahiers André Gide}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[André Gide (citations)]]</p>
| 20130817={{Extrait|id=4479804|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>L’enfant de douze ans a atteint un point d’équilibre et d’épanouissement insurpassable qui fait de lui le chef-d’œuvre de la création. Il est heureux, sûr de lui, confiant dans l’univers qui l’entoure et qui lui paraît parfaitement ordonné. Il est si beau de visage et de corps que toute beauté humaine n’est que le reflet plus ou moins lointain de cet âge. Et puis, c’est la catastrophe. Toutes les hideurs de la virilité – cette crasse velue, cette teinte cadavérique des chairs adultes, ces joues râpeuses, ce sexe d’âne démesuré, informe et puant – fondent ensemble sur le petit prince jeté à bas de son trône. Le voilà devenu un chien maigre, voûté et boutonneux, l’œil fuyant, buvant avec avidité les ordures du cinéma et du music-hall, bref un adolescent.<br>Le sens de l’évolution est clair. Le temps de la fleur est passé. Il faut devenir fruit, il faut devenir graine. Le piège matrimonial referme bientôt ses mâchoires sur le niais. Et le voilà attelé avec les autres au lourd charroi de la propagation de l’espèce, contraint d’apporter sa contribution à la grande diarrhée démographique dont l’humanité est en train de crever. Tristesse, indignation. Mais à quoi bon ? N’est-ce pas sur ce fumier que naîtront bientôt d’autres fleurs ?
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard-Soleil, 1970|page=104-105}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20130818={{Extrait|id=4489345|L’hypocrisie est parfois un hommage que la vertu rend au vice.
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20130819={{Extrait|id=4507229|Je suis un homme d’ordre ; mais il y a un certain désordre propice à la liberté des mœurs… « Favorise le remue-ménage, a dit Goethe, tu seras partout chez toi. »
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=2|page=126}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130716={{Extrait|id=3839053|L’amour représente la beauté véritable, celle que Dieu, selon le mot de Hafiz, « contemple par les yeux de l’amant ». Et pour cause, puisque ce dieu est l’Amour.
| 20130820={{Extrait|id=4538612|Jadis, la maison de redressement prétendait corriger les enfants indisciplinés. Aujourd’hui, on leur impose une psychothérapie. Punition patiente qu’administrent des bourgeoises doucereuses, infatuées et perverses. Mais ces dames ne battent pas : elles violent.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=63-64}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20130717={{Extrait|id=3852738|La grande jeunesse court avec son flambeau, et sa lumière est fugitive.
| 20130821={{Extrait|id=4586765|{{personnage|Claude}}<ref>Interprété par Yves Jacques, Claude est un professeur d’histoire, célibataire et [[homosexualité|homosexuel]].</ref> :<br>Nan mais je parle pas de ma vie sexuelle à moi. Non, sérieusement, je suis pas pédéraste. Mais… esthétiquement il y a rien de plus beau que les fesses d’un garçon de douze ans. Ni la chapelle Sixtine, ni la ''Messe en si mineur''. C’est sublime les fesses d’un garçon de douze ans. Même les filles à c’t âge-là c’est déjà mou…
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
{{Réf Film|titre=Le déclin de l’empire américain|auteur=Denys Arcand|réalisateur=Denys Arcand|producteur=Corporation Image M&M, ONF, Téléfilm Canada, Société Générale du Cinéma du Québec, Radio-Canada|année=1986|temps=39}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20130822={{Extrait|id=4610292|Je tiens que notre époque est aussi favorable que n’importe quelle autre à notre bonheur, à l’assouvissement de nos passions. L’approbation de la société ? Je m’en tamponne le coquillard. C’est dans la clandestinité, le danger, la transgression que je puise mon équilibre, ma santé, ma joie. Un des charmes de l’amour des moins de seize ans, c’est qu’il se cache.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=84}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20130718={{Extrait|id=3856203|Je crois que c’est un assez bon apostolat que celui de la vérité.
| 20130823={{Extrait|id=4643723|[...] le baume que sont pour moi mes amours avec les petits garçons, l’échappatoire de la philopédie homosexuelle.
{{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|sectionLa femme »|page=49}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130719={{Extrait|id=3881531|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Ne voyez-vous donc pas que le secret d’une éducation bien dirigée, c’est de prévenir, non la pratique, mais la connaissance du mal ? Loin de la prévenir, vous l’induisez, par des conseils et des sanctions. Il faut faire confiance à des êtres sains et bien portants. Il ne faut les surveiller que par manière d’acquit, ou, comme moi, par plaisir, mais certainement pas par conviction. Aucune surveillance ne les empêchera d’être ce qu’ils sont.<br>J’ai cru, deux ou trois fois, dans mon enfance, perdre ma qualité d’enfant, et je me souviens de la joie que je ressentis, en me rendant compte que j’avais passé dans le feu sans me brûler, dans la boue sans me crotter et par les piques sans me piquer.
| 20130824={{Extrait|id=4662736|Une pédérastie fort active ne voue pas nécessairement à l’infortune.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20130825={{Extrait|id=4700561|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Ce qui est imparfait […] peut en être plus parfait : l’esquisse est souvent plus belle que l’œuvre achevée. Ce mot de perfection, pris à la rigueur, n’évoque-t-il pas quelque chose de désincarné ? Un corps parfait ou idéal, c’est vraiment une sorte d’idée. On oublie la chair pour ne considérer que les lignes. Bien plus, quand on s’élève vers la perfection, on s’éloigne de la chair.<ref>Le prince d’Elbassan répond ainsi à miss Teacher, qui vient d’affirmer que des enfants « ne sauraient être beaux ni parfaits », car « ce qui n’est pas achevé ne peut être parfait ».</ref>
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=266}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20130720={{Extrait|id=3956543|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>En France, plus encore que partout ailleurs, les enfants sont regardés comme des objets sacrés, qui ne doivent pas quitter le tabernacle. L’homme qui s’intéresse à eux est toujours suspect.
| 20130826={{Extrait|id=4704630|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Un grand soleil rouge s’est levé tout à coup devant ma face. Et ce soleil était un enfant.<br>Un ouragan vermeil m’a jeté dans la poussière, comme Saul sur le chemin de Damas, foudroyé par la lumière. Et cet ouragan était un jeune garçon.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=226}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=368}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20130721={{Extrait|id=3962189|Si les chenilles avaient des analystes elles ne deviendraient jamais des papillons.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130722={{Extrait|id=4048884|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Les enfants de tous les pays et de toutes les origines sont immédiatement amis (pour peu qu’ils n’aient pas été prévenus par les adultes). Nous nous sommes entendus, parce que nous participons au même culte de l’antiquité, à la même civilisation de l’esprit ; nous nous sommes rencontrés, venant du fond des âges. Mais eux ! ils ne savent rien de tout cela, ils parlent des langues différentes et ils sont déjà amis ! Heureuse enfance qui ne connaît que l’amitié ! C’est sa propre grâce qui l’enchante. Et l’on comprend, à l’opposé, que les hommes n’éprouvent que de la haine.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=249-250}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20130723={{Extrait|id=4118386|L’important n’est pas d’être un intellectuel, mais d’être un spirituel et un sensuel. La flamme d’un cierge, la chaleur d’un corps adolescent, voilà ce qui rend la vie passionnante. Les idées, les concepts, c’est très secondaire.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« Le Christ »|page=39}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20130724={{Extrait|id=4123313|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Je ne crois pas que les enfants aient un sens esthétique très développé. On ferait d’étranges découvertes, je pense, si l’on s’avisait d’enquêter parmi eux pour savoir ce qu’ils entendent par ''beau'' et ''laid''. Mais la plupart sont sensibles au prestige de la force, et plus encore à celui d’une force secrète, magique, celle qui sait peser sur les points faibles de la grise réalité pour la faire céder par pans entiers et l’obliger à livrer les trésors qu’elle cache.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=67}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20130725={{Extrait|id=4160582|C’est un temps à ne pas se sentir coupable : car on n’est pas coupable, quand on est en état de légitime défense.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20130726={{Extrait|id=4188771|J’ai vu des garçons qui à treize ans étaient des idiots et qui à seize ans étaient solides et bien.<br>J’ai vu des garçons qui à douze ans avaient une espèce de génie, et qui à quatorze ans, du jour au lendemain (je veux dire : en quelques semaines), étaient devenus des idiots, qu’ils sont restés.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=303|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20130727={{Extrait|id=4240090|Tous les toxicomanes sont des gens à sexualité déficiente, même si, au début, le toxique a pu aider la sexualité. La drogue dévirilise, comme la cuisine. Je ne serai jamais un drogué ; je tiens trop à ce que le ciel m’a donné.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=7|page=154}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
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Version du 29 juillet 2013 à 09:24