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| 20131025={{Extrait|id=5918502|Ces jolis gamins dont la race élégante pullule les rues, en Italie.
| 20131124={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie.
{{Réf Livre|titre=[[L’Élu (Achille Essebac)|L’Élu]]|auteur=Achille Essebac|éditeur=L’Édition Moderne, Ambert et C{{Exp|ie}}|année=1902|page=non précisée|chapitre=IV}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20131026={{Extrait|id=5951416|{{personnage|Philippe}} : Collège, collège, tout est collège ! Ce que nous savons le mieux, c’est notre commencement.
| 20131125={{Extrait|id=6474157|Si les gosses sont plaqués, ils plaquent eux aussi, et méchamment. Les serments d’amour éternel, les projets d’avenir, que survienne une dispute un peu grave, et tout est remis en cause. Ils passent en un instant de la ferveur absolue à la radicale absence.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=27|section=''L’exil'' (1929)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=60}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20131027={{Extrait|id=5954671|Ancrons en nous l’idée, d’ailleurs si juste, de la ''folie de l’adolescence'', qui nous permet de leur pardonner.
| 20131126={{Extrait|id=6488552|La pédérastie, seule forme possible de la paternité pour celui qui répugne à fonder une famille. Paternité spéciale, mais paternité tout de même.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=8|section=''L’exil'', « Préface de l’édition originale » (1929)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=73-74}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20131028={{Extrait|id=5956507|Les deux pièces de moi que les femmes préfèrent sont ''La Reine morte'' et ''La Ville dont le prince est un enfant''. […] La seconde — qui se passe dans un collège — parce qu’elles y voient ce que sont en réalité leurs jeunes fils, et les éducateurs de ceux-ci, dont elles n’avaient aucune notion.
| 20131127={{Extrait|id=6497079|J’incline à croire que la valeur générale d’un être, à quatorze ans, c’est celle qu’il gardera toute sa vie.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=202|section=''La reine morte'', « Souvenirs sur la création de ''La Reine morte'' » (1966)}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=272|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de quatorze ans]]</p>
| 20131128={{Extrait|id=6502148|{{personnage|Ferrante}} : On peut avoir de l’indulgence pour la médiocrité qu’on pressent chez un enfant. Non pour celle qui s’étale dans un homme.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=112|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20131029={{Extrait|id=5965689|Je constate qu’il y a un mouvement de répression finalement très sévère et très paradoxal parce que, dans le même temps, on sexualise toute la société, y compris les jeunes, et puis il y a une indignation curieuse. Une indignation qui empêche d’observer les phénomènes tels qu’ils sont et d’entendre ce que les gens disent. Qu’une victime dise entre guillemets qu’elle n’est pas victime, les gens de ma profession et le reste de la population vont dire : Mais c’est impossible. Il est encore plus malade qu’il ne le croit. […] Ça paraît scandaleux, invraisemblable et tout ce qu’on veut. Ce n’est évidemment pas conforme à la loi. Mais il ne faut pas tout mêler. Ce n’est pas parce que c’est illégal que c’est nécessairement insupportable pour tout le monde.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
| 20131129={{Extrait|id=6550190|Cela paraît invraisemblable et scandaleux que des personnes vivent cette expérience sans trouver cela abominable. C’est tout à fait politiquement incorrect, mais ce n’est franchement pas nouveau. On le sait depuis toujours. On ne veut pas le savoir, mais c’est comme ça. Il y a un certain nombre de personnes qui ont eu des expériences en tant que mineurs avec des personnes plus âgées et qui ne voient pas ça comme une violence, un désavantage et qui voient ça comme quelque chose de plutôt positif et favorable. On a beau s’en indigner, mais ce qu’un certain nombre de personnes vivent, c’est cela.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
| 20131030={{Extrait|id=6003431|Aucune honte à la suite des voluptés faciles. Sorte de paradis vulgaire et de communion par en bas. L’important c’est de ne pas y prêter d’importance, ni de se croire avili par elles : l’esprit n’y est nullement engagé, non plus que l’âme, qui n’y fait pas trop attention. Mais, dans l’aventure, un amusement et un plaisir extraordinaires accompagnent la joie de la découverte et de la nouveauté.
| 20131130={{Extrait|id=6584388|L’angoisse est le compagnon silencieux de l’enfance mais qui s’en doute ?
{{Réf Livre|référence=Journal (Gide)/volume II, Gallimard-La Pléiade, 1997|page=1058|année d'origine=''24 janvier 1948''}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=89}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Journal d’André Gide (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20131031={{Extrait|id=6038347|Le progrès social a son importance, et c’est ainsi que les pédérastes français ont raison de réclamer une réforme du code pénal qui rendrait moins chaotique et moins dangereuse leur vie privée ; qui leur permettrait d’avoir des amours plus suivies et plus harmonieuses. Cela dit, les amoureux de l’extrême jeunesse nourrissent parfois des chimères touchant les bienfaits que leur apporterait un statut légal. Qu’il soit licite ou interdit, l’amour demeure une aventure périlleuse, le saut dans l’inconnu. Ayant une double expérience de l’amour, d’une part avec de très jeunes garçons et filles, et d’autre part avec des jeunes femmes, je puis témoigner que ce ne sont pas réglément les liaisons autorisées par la société qui sont les plus heureuses, et que c’est même souvent le contraire qui est vrai. Il est vain d’attendre son bonheur, comme une alouette toute rôtie, de l’extérieur, que cet extérieur soit l’État, ou la collectivité, ou un groupe d’amis, ou je ne sais quoi encore. Par-delà l’œuvre commune, la libération de l’individu reste une aventure personnelle, et solitaire. Mon bonheur, ce n’est que dans mon propre cœur que je puis le trouver. Tel est le sens de la belle parole du Christ : « Le royaume des cieux est en vous. » Outre cela, la transgression est pour moi une nécessité macrobiotique, et d’abord que l’État m’autoriserait à opérer mes polissonneries, celles-ci me feraient moins envie : pour celui qui pense que la vie doit être royale ou ne pas être, les fruits défendus sont à la limite les seuls qui vaillent d’être cueillis.
| 20131201={{Extrait|id=6591141|[...] les petits garçons, toujours à s’envoler, à disparaître, présences fugitives, feux-follets avec qui il est impossible de rien fonder.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’enfant »|page=124-125}}}}
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=70}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20131101={{Extrait|id=6044843|J’accepte que le rôle de Gillou soit joué en travesti, à condition que le rôle de Marie soit joué par un garçon de quatorze ans.
| 20131202={{Extrait|id=6601859|{{personnage|Annie Teacher}} :&nbsp;<ref>C’est souvent la jeune Anglaise Annie Teacher qui exprime le point de vue libertin de l’auteur, plutôt que le personnage central Jean Guibert.</ref><br>Sachez donc que je ne viendrais jamais à un rendez-vous d’amour, si ce n’était le premier.<br>[...]<br>Il n’y a d’amour que si c’est chaque fois la première fois.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=266|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=123}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20131102={{Extrait|id=6052170|{{personnage|L’Infante}} : Un jeune démon est toujours beau.
| 20131203={{Extrait|id=6630331|L’enfance est une institution, non un fait. Comme fait, l’enfance (première partie de la vie humaine, dit prudemment le dictionnaire Robert) est un état mouvant aux limites imprécises. Comme institution, elle va de la naissance à un âge fixé par décret. On dit « enfants », « adolescents », ou « jeunes » selon les besoins de la cause. La Loi dit « mineurs », et c’est la seule expression claire.<br>Les sociétés modernes ont légalisé une discrimination fondée sur une différence de force musculaire. Mineur signifie : moindre. Plus petit. Inférieur. Lesdits « enfants » sont un ensemble d’humains plus faibles au combat au corps à corps, constitué par les plus forts en catégorie, et soumis à un statut et à un traitement spéciaux.<br>Le statut est la privation de l’autonomie.<br>Le traitement, appliqué par l’autorité adulte, à laquelle les mineurs ne peuvent se soustraire, consiste à éliminer du potentiel inné les éléments indésirables, incontrôlables, ou simplement superflus, pour ne conserver et développer que ceux utiles à l’exploitation. C’est proprement une mutilation. Une mutilation corporelle, pas seulement un conditionnement mental.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=147|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=39}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20131103={{Extrait|id=6065597|Une affaire de cœur n’est jamais une affaire de mœurs.
| 20131204={{Extrait|id=6666619|L’honneur de la nature humaine, dans les êtres les plus ténébreux, est d’avoir des zones de lumière qui semblent confirmer son origine spirituelle.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=15|page=296}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=3|page=84}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20131104={{Extrait|id=6097338|Ce qui vient de l’enfance est ce qu’il y a de plus profond et de plus séduisant.<ref>Peyrefitte fait cette réflexion à propos de la lettre que lui a adressé « un garçon de quinze ans », jeune lecteur belge des ''[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)|Amitiés particulières]]'' qu’il évoquera dans la première partie de ''[[Jeunes proies (Roger Peyrefitte)|Jeunes proies]]''.</ref>
| 20131205={{Extrait|id=6672156|La sévérité que j’avais eue depuis des années envers mes penchants, la foi que j’avais gardée en mon idéal malgré les déceptions, la haine que j’avais cultivée de tout ce qui est laid, sot et vulgaire, avaient obtenu leur récompense. J’aimais aussi violemment que lorsque l’amour est aveugle et j’aimais dans la lucidité.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=176}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20131105={{Extrait|id=6113320|Il existe partout des hommes que des garçons rendent heureux en secret et qui rendent heureux ces garçons. Il existe partout également des jeunes gens et des garçons qui s’aiment.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20131106={{Extrait|id=6115258|Le Capitalisme sépare les tranches d’âge, de revenus, de cultures, etc. Il quadrille le peuple.
| 20131206={{Extrait|id=6735926|{{personnage|Georges}} : Je l’aime, et je voudrais l’estimer autant que je l’aime, et je ne peux pas.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=27}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=252|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20131107={{Extrait|id=6145863|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
| 20131207={{Extrait|id=6789039|{{personnage|Georges}} : La plupart des enfants, en France, sont des enfants abandonnés. Ou bien on ne s’occupe pas d’eux. Ou bien on s’occupe d’eux si mal. Ou bien on s’occupe d’eux pendant quelque temps, avec intelligence, et ensuite on les abandonne.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=254|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20131208={{Extrait|id=6817761|N’importe quelle personne qui aime les gosses peut témoigner qu’ils draguent ferme ou (ce qui revient au même) excellent dans l’art de se faire draguer. J’ai dragué beaucoup de moins de seize ans, mais beaucoup de moins de seize ans m’ont dragué.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=42}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20131209={{Extrait|id=6850831|Le génie mâle qui apparaît vers la douzième année, avec son trop et son défaut, le monde créé ne suffit pas pour sa faim. Il se dérive en fureur de connaître, il se dérive en goût du sacrifice, il se dérive en tendresses, en rêves de gloire, en fous dons de soi ; épuisé le réel, il veut encore et saute chez les ombres : il va à Dieu de toute l’espèce.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=31|section=''La relève du matin'', « Le jeudi de Bagatelle »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20131108={{Extrait|id=6149037|J’ai toujours préféré les plaisirs qu’on se procure à ceux que l’on vous présente.
| 20131210={{Extrait|id=6869290|N’aimer que la jeunesse et la grâce, c’est se condamner à aimer peu souvent et peu longtemps.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}}
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=178}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20131109={{Extrait|id=6218822|Qui change les termes déclare la guerre.
| 20131211={{Extrait|id=6878564|Partout où il y a beauté masculine, il y a en germe la pédérastie. Et comme il y a la beauté de la force, la beauté de la puissance, la beauté de la faiblesse, voire la beauté de la laideur, personne ne peut être sûr d’y échapper.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=54}}}}
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20131110={{Extrait|id=6265606|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :&nbsp;<ref>Le prince albanais d’Elbassan, accompagné du jeune Toinet, treize ans, est manifestement pédéraste, et ne s’en cache pas.</ref><br>Ce garçon n’est pas mon fils, ou plutôt il est mon fils de cette année, le fils de ce voyage.
| 20131212={{Extrait|id=6884147|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=224}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20131111={{Extrait|id=6274263|D’inconcevables garçons ont tout juste de quoi pisser debout sans mouiller leurs baskets. Ils ne semblent pas nus.<br>Je soupçonne que, jadis, quelques jolis vertueux, pudiquement vêtus, ne refusèrent mes bonnes manières que pour garder cet embarrassant secret. Ils avaient tort. On a des compassions, des attendrissements : et l’amour fait voir grand contre l’évidence même.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=85}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20131112={{Extrait|id=6278336|''Like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven.''<br>—<br>Comme douze ans, sept est un âge honorable, et l’ambition d’y parvenir est louable. On est impatient d’avoir sept ans.
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de sept ans]]</p>
| 20131113={{Extrait|id=6302166|On répète, à l’éloge des filles, qu’elles sont mûres bien avant les garçons.<br>Certes. Quand on a élevé côte à côte un bébé chimpanzé et un bébé humain, le singe a grandi et progressé beaucoup plus vite. À un an il dansait, il chantait, il savait déjà lire. — Mais quelles danses, quelles chansons, mais quels livres ! Aucun garçon n’en voudrait.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20131114={{Extrait|id=6330950|[...] la morale islamique, qui est le contraire de la morale chrétienne, en ce qu’un péché n’est pardonné que si on ne l’avoue pas. En effet, si on avoue un péché, la honte en retombe sur la famille et sur la tribu tout entières. Mais il y a une façon de réparer un tort, quand il a été prouvé autrement : on indemnise la partie lésée.
| 20131213={{Extrait|id=6893810|Je crois, comme les anciens Grecs, que la vérité doit triompher par sa propre force.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=8|page=268}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=10|page=233}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20131115={{Extrait|id=6335339|Après les notions de délinquant, prédélinquant, caractériel, débile, inadapté, personnalité psychopathique, voici la dénomination de « déviant », qui a le mérite d’être claire : il y a donc une Ligne ; et l’avantage qu’on peut mettre dedans ce qu’on veut : le vol de mob la fugue la désobéissance l’homosexualité (c’est-à-dire tout le monde qui a le malheur de se faire prendre) la sexualité solitaire l’hétéroprécocité le mauvais esprit la tête de lard l’insoumission précoce la manif la brebis noire le fille manqué la garçon manquée la haine des maths le génie hors programme l’insolence la liberté l’irrespect le bombage de murs les mauvaises lectures la grève les cheveux le pied le marcheur sur pelouse le rouleur d’herbe le promeneur trop loin la lumière trop tard le pas aimant le mal aimé le suicidaire le ras le bol la liberté la vie, tout ce qui dit pas papamaman quand on appuie sur le ventre. Tout est médicalisable et tout se traite.
| 20131214={{Extrait|id=6914076|La bêtise est une stratégie de l’intelligence : l’enfant s’adapte, dès sa naissance, à son entourage d’imbéciles, il y conquiert une place en les imitant.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=137-138}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20131116={{Extrait|id=6357124|Je crois que ceux qui soutiennent que l’amoureux des enfants est voué à la solitude du cœur, se trompent. En tout cas, mon expérience personnelle se situe aux antipodes de la leur. Ce qui m’impressionne chez les très jeunes, c’est au contraire leur capacité de don total de soi, leur abandon sans réserve à l’être aimé. Un adolescent amoureux ne compose pas avec l’amour, il a foi en l’absolu de la passion, il s’y livre entièrement. Cela est si vrai que ''le seul argument sérieux'' contre l’amour des moins de seize ans me paraît être que lorsque nous allumons un feu dans le cœur de l’un d’eux, nous ne savons pas si, passée la frénésie sensuelle des premiers jours ou des premières semaines, nous aurons encore envie d’alimenter ce feu, nous ne savons pas davantage si nous serons alors capables de l’éteindre. Détacher un/une gosse de soi est parfois plus difficile que de se l’attacher. Une femme, à la rigueur, on la prend, puis on la jette ; mais c’est un jeu qu’à moins d’être un salaud on doit s’interdire avec les très jeunes. Quinze ans est l’âge où l’on se tue par désespoir d’amour, ne l’oublions pas.
| 20131215={{Extrait|id=6915965|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Ni tabac ni alcool désormais. Les enfants ne fument, ni ne boivent.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=56-57}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=130}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20131117={{Extrait|id=6388767|Partout en sociétés industrialisées on observe ce glissement dangereux du jugement au diagnostic, de la peine au traitement.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=62}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20131118={{Extrait|id=6400925|{{personnage|Nestor}} (cité le 16 mars 1938) :<br>Il n’y a sans doute rien de plus émouvant dans la vie d’un homme que la découverte fortuite de la perversion à laquelle il est voué.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=57}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20131119={{Extrait|id=6402208|Les femmes sont ainsi faites, et nous devons soit les accepter telles qu’elles sont, soit nous résoudre à ne plus aimer que les garçons.
| 20131216={{Extrait|id=6963523|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« La femme »|page=58}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20131217={{Extrait|id=6973963|Tout vrai amour doit rompre avec la société.
{{Réf Livre|titre=Jeunes proies|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1956|page=198}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20131218={{Extrait|id=6975223|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Il y a des amours précieuses et rares, comme il y en a de vulgaires.
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=96}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20131219={{Extrait|id=6978068|{{personnage|Prince d’Elbassan}} :<br>Une hérésie en faveur de l’enfance, qui oserait la condamner ?
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20131220={{Extrait|id=7000367|{{personnage|Pasiphaé}} : Tous voient ce que je vois, et nul ne le désire. Pourquoi être différente des autres, sans l’avoir voulu, sans rien y pouvoir ? Le printemps des Crétois est en fleurs. La chienne appelle le chien, et reçoit une réponse. La louve appelle le loup, et reçoit une réponse. Mais moi il n’y a que l’anathème pour le cri de ma chair et de mon cœur.<br>{{personnage|Le Chœur}} : Si elle souffre du jugement qu’elle porte sur son acte, je la blâme. Mais si elle souffre seulement de l’anathème qui accueillerait cet acte, qui ne l’excuserait ?<br>{{personnage|Pasiphaé}} : Au fond de moi, je ne sens pas que ce que je vais faire est mal ; et je ne m’explique pas pourquoi ce le serait. Et le ciel me regarde, et la mer, et ils ne me condamnent pas.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87-88|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20131221={{Extrait|id=7052945|Seule la compagnie des enfants me fait préférer ne plus en être un.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20131222={{Extrait|id=7053957|Dans les époques troublées la transgression est un cordial plus revigorant que le vin d’Espagne.
{{Réf Livre|référence=Les passions schismatiques/Stock, 1977|section=« L’écriture »|page=108-109}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les passions schismatiques (citations)]]</p>
| 20131120={{Extrait|id=6410232|Ce goût des jeunes garçons, est-ce de l’homosexualité ? ''Stricto sensu'', oui : un garçon de treize ans est du même sexe que moi, donc en couchant avec lui j’accomplis un acte homosexuel. Pourtant, si ''homos'' signifie ''semblable'' en grec, il est clair que ce gosse et moi, nous ne sommes pas semblables.
| 20131223={{Extrait|id=7141887|{{personnage|Georges}} : J’ai connu des enfants, et des enfants du peuple, qu’on pouvait entretenir pendant une heure sans lassitude, bien plus, avec goût et intérêt. Ils étaient fins, ils réagissaient juste, ils avaient des trouvailles, une espèce de génialité…
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=248|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20131121={{Extrait|id=6430466|{{lang|grc|Ἀκμῇ δωδεκέτους ἐπιτέρπομαι.}}<br>—<br>Le summum du douze ans me délecte.
| 20131224={{Extrait|id=7165708|Il n’est pas de bonheur qui n’ait sa source et sa fin dans les sens, mais le charme de l’enfance est de promettre avant de pouvoir tenir. Encore tient-elle volontiers, à un âge que ne soupçonnent pas les bonnes gens. L’auteur de ''Lolita'' a étonné en dévoilant l’existence des « nymphettes ». Les satyrisques étaient les petits compagnons des satyres, les panisques de Pan et, si l’occasion leur en était offerte, les Lolitos supplanteraient les Lolitas.<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;''… Que deviendraient les familles,<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Si les cœurs des jeunes garçons<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;Étaient faits comme ceux des filles ?''<br>Le chevalier de Boufflers, qui était pédéraste, fait semblant de poser là une question qu’il avait résolue : les cœurs des garçons sont aussi ardents que ceux des filles et leurs corps plus précoces et plus exigeants.
{{Réf Livre|titre=Anthologie grecque, t. XI, Anthologie palatine, Livre XII|lieu d'édition=Paris|éditeur=Les Belles Lettres|année=2002|page=3|collection=des Universités de France|auteur de la contribution=[[Straton de Sardes]]|titre de la contribution=[[La muse garçonnière|{{lang|grc|Παιδική μοῦσα}} = La muse garçonnière]]|section=épigramme 4|ISBN=2-251-00016-X|traducteur de la contribution=BoyWiki|année de la contribution={{s|II|e}}}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. III|page=22-23}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20131122={{Extrait|id=6459961|{{personnage|Annie Teacher}} :<br>Je bénis mon déséquilibre. N’essayez pas de me le faire perdre. J’y tiens autant que vous tenez à votre équilibre.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=230}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20131123={{Extrait|id=6466194|S’il y a un dieu pour les pédérastes, il leur rappelle souvent qu’il ne faut pas trop le tenter.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=326}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20131124={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
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Version du 26 novembre 2013 à 19:01