« BoyWiki:Accueil/Citation du jour » : différence entre les versions

De BoyWiki
(m)
(Routine prepare citation du jour)
Ligne 3 : Ligne 3 :
<!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. -->
<!-- En cas d'intervention manuelle prendre soin de ne pas modifier la syntaxe. -->
{{#switch:{{#time:Ymd}}
{{#switch:{{#time:Ymd}}
| 20140806={{Extrait|id=3427467|Parmi les regrets de ma vie, figure celui de ne pas avoir découvert plus tôt que les plaisirs d’une nuit en troisième classe dépassent de loin ceux d’une nuit en couchette.
| 20140905={{Extrait|id=4004791|Lorsque la société nous rejette tel un lépreux et sa crécelle, un juif et son étoile jaune, notre seule arme est la fierté.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=51}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=4|page=179-180}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20140906={{Extrait|id=4033769|''As a guide-philosopher-friend-counselor, a parent is not in a suitable position; the needed adult has to be someone whom the boy can trust, who will not inform on him, who does not automatically take the role of an authority figure.''<br>—<br>En tant que guide-philosophe-ami-conseiller, un parent n’est pas dans la bonne position ; il y faut un adulte en qui le garçon puisse avoir confiance, qui ne va pas révéler des choses sur lui, qui ne prendra pas automatiquement le rôle d’une figure d’autorité.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20140907={{Extrait|id=4048884|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Les enfants de tous les pays et de toutes les origines sont immédiatement amis (pour peu qu’ils n’aient pas été prévenus par les adultes). Nous nous sommes entendus, parce que nous participons au même culte de l’antiquité, à la même civilisation de l’esprit ; nous nous sommes rencontrés, venant du fond des âges. Mais eux ! ils ne savent rien de tout cela, ils parlent des langues différentes et ils sont déjà amis ! Heureuse enfance qui ne connaît que l’amitié ! C’est sa propre grâce qui l’enchante. Et l’on comprend, à l’opposé, que les hommes n’éprouvent que de la haine.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=249-250}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20140908={{Extrait|id=4123313|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Je ne crois pas que les enfants aient un sens esthétique très développé. On ferait d’étranges découvertes, je pense, si l’on s’avisait d’enquêter parmi eux pour savoir ce qu’ils entendent par ''beau'' et ''laid''. Mais la plupart sont sensibles au prestige de la force, et plus encore à celui d’une force secrète, magique, celle qui sait peser sur les points faibles de la grise réalité pour la faire céder par pans entiers et l’obliger à livrer les trésors qu’elle cache.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=67}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20140909={{Extrait|id=4126461|''In Greek love a man is looking for a genuine relationship of affection with a boy old enough to respond in kind, old enough to know what he is doing. That they have to be secretive and even conspiratorial about it in some situations reflects not anything intrinsically bad about the relationship, but only a realistic appraisal of the dangers of police attention.''<br>—<br>Dans l’amour grec, un homme recherche une authentique relation d’affection avec un garçon assez âgé pour y répondre physiquement, assez âgé pour savoir ce qu’il fait. Qu’ils doivent pour cela, dans certains cas, avoir une attitude dissimulée ou même conspiratrice ne montre pas un caractère intrinsèquement mauvais de la relation, mais une simple appréciation réaliste du danger d’attirer l’attention de la police.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=24}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20140910={{Extrait|id=4160582|C’est un temps à ne pas se sentir coupable : car on n’est pas coupable, quand on est en état de légitime défense.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=69}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20140911={{Extrait|id=4188771|J’ai vu des garçons qui à treize ans étaient des idiots et qui à seize ans étaient solides et bien.<br>J’ai vu des garçons qui à douze ans avaient une espèce de génie, et qui à quatorze ans, du jour au lendemain (je veux dire : en quelques semaines), étaient devenus des idiots, qu’ils sont restés.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=303|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20140912={{Extrait|id=4240090|Tous les toxicomanes sont des gens à sexualité déficiente, même si, au début, le toxique a pu aider la sexualité. La drogue dévirilise, comme la cuisine. Je ne serai jamais un drogué ; je tiens trop à ce que le ciel m’a donné.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=7|page=154}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20140913={{Extrait|id=4241276|Dialogue entre {{personnage|Henry de Montherlant}} et l’auteur :<br>—&nbsp;Les sentiments se mettent dans les livres. Dans la vie, je ne connais que les sensations : elles suffisent à mon bonheur.<br>—&nbsp;Entre l’ange et la bête, vous n’hésitez pas ! Mais cela vous est un peu particulier. Pour le reste des hommes, la civilisation a toujours consisté à faire passer l’ange avant la bête.<br>—&nbsp;Mais moi aussi, je veux des anges, des anges en chair et en os ! Les anges n’ont pas besoin de mères. Malheureusement, notre époque honore les mères et non les anges.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=35}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20140807={{Extrait|id=3474474|L’infantilisme particulier à ceux qui vivent trop avec les enfants : certains éducateurs, moniteurs de formations de jeunesse, grands-parents à la retraite, désœuvrés et en adoration devant leurs petits-enfants…
| 20140914={{Extrait|id=4241915|De tous les opprimés doués de parole, les enfants sont les plus muets.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=301-302|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=7}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20140808={{Extrait|id=3516627|Les vrais éducateurs vont au-devant des problèmes et des intérêts de la jeunesse, au lieu de les fuir.
| 20140915={{Extrait|id=4248228|Je pourrais être amoureux de certaines mères à cause de leurs fils. Mais ce qui prouve que je suis pédéraste au sens strict, c’est que l’amour du fils ne me rendrait jamais amoureux du père.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=15}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. XII|page=81}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20140916={{Extrait|id=4249147|Pour l’encourager, je lui avais dit, que, plus on se distinguait des autres par certaines choses, plus on devait les dépasser dans celles que l’on avait avec eux en commun.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. XI|page=76}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20140809={{Extrait|id=3518238|Qu’il ait le bon carquois ou le mauvais, que sa flèche aille à droite ou à gauche, que sa tête soit couverte de cendres ou de roses, l’Amour est toujours l’Amour.
| 20140917={{Extrait|id=4277841|De temps à autre, un mari assassine sa femme. Cet incident fâcheux ne remet pas en cause, dans l’esprit des bourgeois, l’institution du mariage. Ce n’est pas parce qu’un malade mental étrangle de temps à autre un petit garçon que ces mêmes bourgeois sont autorisés à faire porter le chapeau à tous les pédérastes, et à priver leurs enfants de la joie d’être initiés au plaisir, seule « éducation sexuelle » qui ne soit pas un mensonge et une foutaise.
{{Réf Livre|titre=Les amours singulières|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Genève|éditeur=Éd. Famot|collection=Grands romans contemporains|année=1974|page=8}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=49-50}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20140810={{Extrait|id=3535738|{{personnage|John Hopkins}} ''(à l’auteur, lors d’une promenade dans la médina de [[Marrakech]])'' :<br>« Les très jeunes, ça prend beaucoup de temps ».
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=58}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20140811={{Extrait|id=3543621|''Der moderne Singverein, wie virtuos auch immer, hat nichts zu tun mit dem transparenten Knaben- und Jünglingschor der Bach-Kantaten.''<br>—<br>Les chorales modernes, même virtuoses, n’ont rien de commun avec la transparence du chœur de garçons et d’adolescents des cantates de Bach.
| 20140918={{Extrait|id=4306244|{{personnage|Pasiphaé}} : Les jugements des hommes nous couvrent comme des vers.
{{Réf Livre|titre=Johann Sebastian Bach (1685-1750), Das Kantatenwerk = Sacred cantatas|auteur=Nikolaus Harnoncourt|éditeur=Teldec Classics International|année=1994|page=178, 268|section=« Die Aufführungspraxis » (1971)}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=90|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur les voix de garçons]]</p>
| 20140812={{Extrait|id=3544765|[…] l’instrumentation des satyres légaux.{{Réf Article|auteur1=Alfred Jarry|titre=L’âme ouverte à l’art antique|périodique=Le Canard Sauvage|num=19|date=26 juillet-1{{Exp|er}} août 1903}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Alfred Jarry (citations)]]</p>
| 20140813={{Extrait|id=3552409|''It is the fear of sexual contact, and still worse, the fear of being thought queer, that have tended to minimize intelligent guidance of young people by interested adults.''<br>—<br>C’est la peur d’un contact sexuel, ou pire encore, la peur d’être considéré comme un homo, qui a contribué à réduire l’encadrement intelligent des jeunes par les adultes qui s’y intéressent.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=18}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20140814={{Extrait|id=3572362|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Je ne reconnais aucun devoir, hors celui du libre arbitre.
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|éditeur=Flammarion|année=1950|page=26}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20140815={{Extrait|id=3580581|Si Pasiphaé se croyant coupable est plus intéressante pour le poète, Pasiphaé se croyant innocente est plus intéressante pour le philosophe, pour celui aux yeux de qui la charité n’est pas cette charité dont on nous assomme de nos jours, mais une autre charité : celle qui tente d’inculquer aux hommes une attitude raisonnable devant la vie. Si Pasiphaé se croyant coupable est un personnage pathétique, Pasiphaé se croyant innocente est un personnage exemplaire. L’humanité n’a pas attendu le christianisme pour décréter fautes des actes qui ne sont des fautes ni selon la nature ni selon la raison ; le christianisme n’a fait que reprendre, en les mettant à la mode, les défaillances de l’esprit qu’il avait trouvées.
| 20140919={{Extrait|id=4318323|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Sur la ligne qui va de l’animal à l’homme, l’enfant se situe ainsi au-delà de l’adulte et doit être considéré comme suprahumain, surhumain.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=78-79|section=Présentation de ''Pasiphaé'' (1938)}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=328}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20140816={{Extrait|id=3584188|Livrée aux professeurs de vertu, aux pharisiens croyants et athées, aux sycophantes de l’ordre moral, notre époque est devenue extraordinairement bête, et la France de Fragonard et de Watteau s’est métamorphosée en une prude vieille fille, en une chaisière hystérique.
| 20140920={{Extrait|id=4319573|La pédérastie consiste à posséder les garçons.
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. X|page=72}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20140817={{Extrait|id=3708630|{{personnage|Armel de Murville}} :<br>Tout le monde est fait pour l’amour : on n’a vécu que si l’on a aimé.
| 20140921={{Extrait|id=4343953|Comment monsieur le curé peut-il être sûr qu’aucun enfant de chœur ne pisse dans sa burette à vin ? Car il faut se venger, quand on vous a tiré les oreilles. Ou ça remplace le vin qu’on a volé. Ou ça fait rire un camarade.<br>Mais les bigots avalent n’importe quoi.  
{{Réf Livre|titre=Mademoiselle de Murville|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Jean Vignaud|année=1947|page=112}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=78}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Enfant de chœur]]</p>
| 20140818={{Extrait|id=3710287|Il y a presque toujours chez un enfant ou un adolescent, fût-il du terreau le plus ingrat, un instant où sort de lui quelque chose de merveilleux, qui ne peut être donné que par cet âge, et qu’il ne redonnera jamais plus. C’est une loi de la vie : que cela se gâte ou se dessèche, il n’y est pour rien.
| 20140922={{Extrait|id=4346501|La caste adulte, une caste, comme en Inde. Et les gosses, ce sont les intouchables.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=307-308|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20140819={{Extrait|id=3774667|Sa tendresse dure le temps de son plaisir ; à la lettre, elle n’est que l’explosion de son plaisir.
| 20140923={{Extrait|id=4355135|C’est un temps à dépasser la peur, la peur d’être punis et plus aimés qui a paralysé la première vague des révoltes au bord des profonds bouleversements salvateurs — ô motivations secrètes du militantisme armé-casqué, ô goût caché du pouvoir, ô petit chef, ô actions désespérées suicidaires accomplies pour échouer-expier, ô instinct de mort politique, oh papa, oh maman, au secours ! ô impuissances solitudes essentielles oh merde.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=296|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=68}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20140820={{Extrait|id=3804668|Les enfants sont d’extraordinaires pêcheurs, les meilleures têtes chercheuses créées à ce jour. Ayant une intuition au moins globale du sort qui les attend, ils sont, sans même y penser, à l’affût des coups de bol. Le coup de bol peut être n’importe quoi. Il n’a rien à voir avec enfance heureuse ou malheureuse. Heureusement. Il n’est pas nécessairement un événement important — au sens où l’entendent les grandes personnes qui n’y entendent rien en importance de toute façon et heureusement. Bien que, un événement important peut aussi faire l’affaire. N’importe quoi.<br>Au premier rang des coups de bol : l’amour. La rencontre. De quelqu’un, de quelque chose, ou bête, ou image. Et ça peut même arriver à l’école, venir même d’un/une prof. Toute connaissance est une histoire d’amour.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=117}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20140821={{Extrait|id=3811046|{{personnage|Poil de Carotte}}<br>''Au fond d’un placard. Dans sa bouche, deux doigts ; dans son nez, un seul.''<br>Tout le monde ne peut pas être orphelin.
| 20140924={{Extrait|id=4357670|La voix du sang n’est puissante que chez la mère. Pour l’homme, ses seuls vrais fils sont spirituels ; il faut qu’il estime.
{{Réf Livre||titre=Poil de Carotte|auteur=[[Jules Renard]]|éditeur=Ernest Flammarion|année=1902|page=228|chapitre=« Coup de théâtre »|scène=V|année d'origine=1894}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=285|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes de 1948 sur ''Fils de personne'' »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Orphelin]]</p>
| 20140822={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20140823={{Extrait|id=3816299|Il y a un pays merveilleux qui, avec la Grèce, est le paradis de la pédérastie, c’est l’Italie. Et cela pour plusieurs raisons : une jeunesse nombreuse, une grande liberté, et un phénomène à moitié admis, car les Italiens sont essentiellement bisexuels.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20140824={{Extrait|id=3817028|Tu as besoin de moi, tu sais bien en quoi : en tout. Moi, j’ai besoin de toi à cause de ta gentillesse, et à cause de l’amour que j’ai pour toi. Donc, que chacun de nous fasse l’impossible non seulement pour ne pas ajouter aux difficultés de l’autre, mais pour lui être une occasion de plaisir et de légèreté.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=295|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20140825={{Extrait|id=3833318|Les amours africaines sont faciles, mais médiocres. Il y a une certaine démission de l’homme occidental en quête d’amours homosexuelles, à franchir la Méditerranée.
| 20140925={{Extrait|id=4394546|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Dans presque tout système d’éducation, on part de ce principe que tous les enfants sont suspects, comme partout est suspect un homme qui s’intéresse à eux. En les surveillant à l’excès, on leur rend désirable ce dont il est question de les détourner.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=62}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=250}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20140826={{Extrait|id=3839053|L’amour représente la beauté véritable, celle que Dieu, selon le mot de Hafiz, « contemple par les yeux de l’amant ». Et pour cause, puisque ce dieu est l’Amour.
| 20140926={{Extrait|id=4402390|{{personnage|Ferrante}} :<br>Treize ans a été l’année de votre grande gloire ; vous avez eu à treize ans une grâce, une gentillesse, une finesse, une intelligence que vous n’avez jamais retrouvées depuis ; c’était le dernier et merveilleux rayon du soleil qui se couche ; seulement on sait que, dans douze heures, le soleil réapparaîtra, tandis que le génie de l’enfance, quand il s’éteint, c'est à tout jamais. On dit toujours que c’est d’un ver que sort le papillon ; chez l’homme, c’est le papillon qui devient un ver. À quatorze ans, vous vous étiez éteint ; vous étiez devenu médiocre et grossier.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=111|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20140827={{Extrait|id=3851390|{{personnage|Alphonse Dulaurier}} :<br>Laissez […] ces cons de psychiatres nous expliquer que les jeunes doivent aller avec les jeunes, les vieux avec les vieux. Ce mensonge est à la mode, je le sais, mais il me fait horreur. Rien ne peut être plus heureux, plus fécond pour une jeune fille ou un jeune garçon que de découvrir l’amour avec un homme ou une femme plus âgés.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=5|page=197}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20140828={{Extrait|id=3852738|La grande jeunesse court avec son flambeau, et sa lumière est fugitive.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20140829={{Extrait|id=3854296|Le geste d’un enfant (toujours de moins de treize ans) quand, debout devant vous et vous faisant face, il pose les mains sur vos bras, appuie la tête contre votre poitrine et reste ainsi quelques instants. Exactement le geste classique de la femme amoureuse.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=297|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
| 20140830={{Extrait|id=3856203|Je crois que c’est un assez bon apostolat que celui de la vérité.
| 20140927={{Extrait|id=4402391|{{personnage|Ferrante}} : Treize ans a été l’année de votre grande gloire ; vous avez eu à treize ans une grâce, une gentillesse, une finesse, une intelligence que vous n’avez jamais retrouvées depuis ; c’était le dernier et merveilleux rayon du soleil qui se couche ; seulement on sait que, dans douze heures, le soleil réapparaîtra, tandis que le génie de l’enfance, quand il s’éteint, c'est à tout jamais. On dit toujours que c’est d’un ver que sort le papillon ; chez l’homme, c’est le papillon qui devient un ver. À quatorze ans, vous vous étiez éteint ; vous étiez devenu médiocre et grossier.
{{Réf Émission|auteur=Roger Peyrefitte|émission=En français dans le texte, « Vérité du scandale »|réalisateur=Jean Feller|diffuseur=RTF|date=27 décembre 1959}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=111|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20140831={{Extrait|id=3881531|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Ne voyez-vous donc pas que le secret d’une éducation bien dirigée, c’est de prévenir, non la pratique, mais la connaissance du mal ? Loin de la prévenir, vous l’induisez, par des conseils et des sanctions. Il faut faire confiance à des êtres sains et bien portants. Il ne faut les surveiller que par manière d’acquit, ou, comme moi, par plaisir, mais certainement pas par conviction. Aucune surveillance ne les empêchera d’être ce qu’ils sont.<br>J’ai cru, deux ou trois fois, dans mon enfance, perdre ma qualité d’enfant, et je me souviens de la joie que je ressentis, en me rendant compte que j’avais passé dans le feu sans me brûler, dans la boue sans me crotter et par les piques sans me piquer.
| 20140928={{Extrait|id=4441750|{{personnage|Abel Tiffauges}} (13 mai 1938) :<br>L’une des inversions malignes les plus classiques et les plus meurtrières a donné naissance à l’idée de ''pureté.''<br>La pureté est l’inversion maligne de l’innocence. L’innocence est amour de l’être, acceptation souriante des nourritures célestes et terrestres, ignorance de l’alternative infernale pureté-impureté. De cette sainteté spontanée et comme native, Satan a fait une singerie qui lui ressemble et qui est tout l’inverse : la pureté. La pureté est horreur de la vie, haine de l’homme, passion morbide du néant. Un corps chimiquement ''pur'' a subi un traitement barbare pour parvenir à cet état absolument contre nature. L’homme chevauché par le démon de la pureté sème la ruine et la mort autour de lui. Purification religieuse, épuration politique, sauvegarde de la pureté de la race, nombreuses sont les variations sur ce thème atroce, mais toutes débouchent avec monotonie sur des crimes sans nombre dont (...)
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=254}}}}
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=85}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20140901={{Extrait|id=3910786|Quatorze ans, c’est l’âge que j’avais moi-même, lorsque je fus dragué, séduit, initié aux plaisirs de l’amour, dévirginisé, « violé » dirait le code pénal, par la sœur aînée d’un de mes camarades. Elle était beaucoup plus âgée que moi, très jolie, très sensuelle, très douce. Je garde de cette première expérience un souvenir tendre, enchanteur.
| 20140929={{Extrait|id=4442123|''Eleven is not quite satisfactory: it is only an approach. Eleven has the disadvantage of six, of nineteen, of forty-four, and of sixty-nine.''<br>—<br>Onze ans n’est pas tout à fait satisfaisant : ce n’est qu’un début. Onze ans présente le même inconvénient que six, dix-neuf, vingt-quatre et soixante-neuf.
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« À propos du viol » (13 décembre 2007)|page=94}}}}
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de onze ans]]</p>
| 20140930={{Extrait|id=4445663|Vive la vie, vive l’amour, et merde au puritanisme petit-bourgeois, merde à ceux que le grand Frédéric Lemaître, incarné par Pierre Brasseur, appelle, dans ''Les Enfants du Paradis'', « un brouillard d’hommes » !
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« Mon automne 2010 » (16 novembre 2010)|page=203}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20140902={{Extrait|id=3956543|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>En France, plus encore que partout ailleurs, les enfants sont regardés comme des objets sacrés, qui ne doivent pas quitter le tabernacle. L’homme qui s’intéresse à eux est toujours suspect.
| 20141001={{Extrait|id=4451865|En 1945, l’armée américaine avait affectueusement baptisé ''Little boy'' la bombe atomique qui détruisit Hiroshima. Ce « petit garçon » — un long obus de quatre tonnes — fit cent vingt mille victimes en quelques secondes. Dieu merci, ce n’était pas sexuel.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=226}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=140}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20140903={{Extrait|id=3962189|Si les chenilles avaient des analystes elles ne deviendraient jamais des papillons.
| 20141002={{Extrait|id=4459860|La vérité est que le charme érotique du jeune garçon est radicalement nié par la société occidentale moderne qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres, ''Katobasiléia''. Le postulat de notre époque, c’est qu’''un jeune garçon n’est pas désirable''.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=69}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=30}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20140904={{Extrait|id=3985570|{{personnage|Norman Douglas}} :<br>L’Italie est hermaphrodite et c’est le secret de sa singulière beauté.
| 20141003={{Extrait|id=4474086|''Lettre d’André Gide à René Michelet :''<br>Disons provisoirement que la culture donne plus d’épaisseur à la joie ; sans la culture, je ne serais peut-être qu’un vieux cochon.
{{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=151|partie=Deuxième partie|chapitre=VIII}}}}
{{Réf Livre|titre=Les cahiers de la Petite Dame, 1918-1929|auteur=Maria Van Rysselberghe|éditeur=Gallimard|année=1973|page=68|tome=4|section=23 février 1921|collection=Cahiers André Gide}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[André Gide (citations)]]</p>
| 20141004={{Extrait|id=4479804|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>L’enfant de douze ans a atteint un point d’équilibre et d’épanouissement insurpassable qui fait de lui le chef-d’œuvre de la création. Il est heureux, sûr de lui, confiant dans l’univers qui l’entoure et qui lui paraît parfaitement ordonné. Il est si beau de visage et de corps que toute beauté humaine n’est que le reflet plus ou moins lointain de cet âge. Et puis, c’est la catastrophe. Toutes les hideurs de la virilité – cette crasse velue, cette teinte cadavérique des chairs adultes, ces joues râpeuses, ce sexe d’âne démesuré, informe et puant – fondent ensemble sur le petit prince jeté à bas de son trône. Le voilà devenu un chien maigre, voûté et boutonneux, l’œil fuyant, buvant avec avidité les ordures du cinéma et du music-hall, bref un adolescent.<br>Le sens de l’évolution est clair. Le temps de la fleur est passé. Il faut devenir fruit, il faut devenir graine. Le piège matrimonial referme bientôt ses mâchoires sur le (...)
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard-Soleil, 1970|page=104-105}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20141005={{Extrait|id=4489345|L’hypocrisie est parfois un hommage que la vertu rend au vice.
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20140905={{Extrait|id=4004791|Lorsque la société nous rejette tel un lépreux et sa crécelle, un juif et son étoile jaune, notre seule arme est la fierté.
| 20141006={{Extrait|id=4507229|Je suis un homme d’ordre ; mais il y a un certain désordre propice à la liberté des mœurs… « Favorise le remue-ménage, a dit Goethe, tu seras partout chez toi. »
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=4|page=179-180}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=2|page=126}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20140906={{Extrait|id=4033769|''As a guide-philosopher-friend-counselor, a parent is not in a suitable position; the needed adult has to be someone whom the boy can trust, who will not inform on him, who does not automatically take the role of an authority figure.''<br>—<br>En tant que guide-philosophe-ami-conseiller, un parent n’est pas dans la bonne position ; il y faut un adulte en qui le garçon puisse avoir confiance, qui ne va pas révéler des choses sur lui, qui ne prendra pas automatiquement le rôle d’une figure d’autorité.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
|#default=
|#default=
}}
}}

Version du 7 septembre 2014 à 08:15