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| 20151230={{Extrait|id=4459860|La vérité est que le charme érotique du jeune garçon est radicalement nié par la société occidentale moderne qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres, ''Katobasiléia''. Le postulat de notre époque, c’est qu’''un jeune garçon n’est pas désirable''.
| 20160129={{Extrait|id=5077159|Jamais je n’ai pensé (au contraire !) que l’ascendance juive était une tare. Elle est quelque chose de plus, comme l’homosexualité, – elle n’est quelque chose de moins que par rapport au prépuce –, et je crois qu’on ne saurait me soupçonner de vouloir rabaisser quelqu’un en révélant qu’il est homosexuel. Une particularité qui était mienne, m’a aidé à en comprendre une autre qui ne l’était pas.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=30}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=1|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20151231={{Extrait|id=4474086|''Lettre d’André Gide à René Michelet :''<br>Disons provisoirement que la culture donne plus d’épaisseur à la joie ; sans la culture, je ne serais peut-être qu’un vieux cochon.
| 20160130={{Extrait|id=5081051|Lorsque, pendant la guerre, je m’occupais d’une œuvre d’assistance aux enfants, combien de fois ai-je dit à telle dame qui s’intéressait passionnément à quelque gamin : « Quand il aura vingt ans, dix-huit ans même, vous vous ficherez pas mal de lui. Car, ce que vous aimez, ce n’est pas un ou des individus particuliers, c’est l’enfance. »
{{Réf Livre|titre=Les cahiers de la Petite Dame, 1918-1929|auteur=Maria Van Rysselberghe|éditeur=Gallimard|année=1973|page=68|tome=4|section=23 février 1921|collection=Cahiers André Gide}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=293|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes de 1948 sur ''Fils de personne'' »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[André Gide (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160101={{Extrait|id=4479804|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>L’enfant de douze ans a atteint un point d’équilibre et d’épanouissement insurpassable qui fait de lui le chef-d’œuvre de la création. Il est heureux, sûr de lui, confiant dans l’univers qui l’entoure et qui lui paraît parfaitement ordonné. Il est si beau de visage et de corps que toute beauté humaine n’est que le reflet plus ou moins lointain de cet âge. Et puis, c’est la catastrophe. Toutes les hideurs de la virilité – cette crasse velue, cette teinte cadavérique des chairs adultes, ces joues râpeuses, ce sexe d’âne démesuré, informe et puant – fondent ensemble sur le petit prince jeté à bas de son trône. Le voilà devenu un chien maigre, voûté et boutonneux, l’œil fuyant, buvant avec avidité les ordures du cinéma et du music-hall, bref un adolescent.<br>Le sens de l’évolution est clair. Le temps de la fleur est passé. Il faut devenir fruit, il faut devenir graine. Le piège matrimonial referme bientôt ses mâchoires sur le (...)
| 20160131={{Extrait|id=5095047|Un jour le vent tournera, les gens seront las de se voir dicter par l’État, la Justice et la police ce qu’ils doivent penser, écrire, fumer, manger, aimer (et surtout ''ce qu’ils ne doivent pas'' penser, écrire, fumer, manger, aimer), ils se dresseront contre ce fascisme de la santé et de la vertu qui nous surplombe, prétend régenter nos vies […].
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard-Soleil, 1970|page=104-105}}}}
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« René Schérer, éveilleur » (2011)|page=197}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20160102={{Extrait|id=4489345|L’hypocrisie est parfois un hommage que la vertu rend au vice.
| 20160201={{Extrait|id=5139268|Je me sens obligé de faire une réflexion, qui me donne faussement l’air de faire la morale, alors que je parle seulement raison. C’est pour déclarer que, si je comprends toutes les formes de la sexualité, à commencer, naturellement, par celle qui concerne les mineurs, je n’approuve pas ceux qui s’attaquent à des innocents. Cela ressort à la manie. Les vrais pédérastes sont assez malins et assez conscients, d’ordinaire, pour ne pas s’attaquer à des garçons de huit à douze ans, et ne s’intéressent qu’aux pubertés en émoi. Ainsi font-ils figure, non pas de pervertisseurs, ni même d’initiateurs, mais de... collaborateurs. Le risque n’en est pas moins pour eux de tomber sur un résistant. Du moins s’agira-t-il d’un garçon déjà initié.
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=9|page=290-291}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160202={{Extrait|id=5140287|« Quand le Suédois Dag Hammarskjöld fut élu, en avril 1953, secrétaire général des Nations Unies, il était, avec le pape Pie XII, l’ex-roi Umberto II, Paul I{{Exp|er}} de Grèce, Baudouin I{{Exp|er}} de Belgique, le Prince Bernard de Lippe et le duc d’Édimbourg, le plus grand personnage de la comédie mondiale que l’on pût taxer d’avoir le goût des garçons. » (Je n’avais pas ajouté les rois et les princes arabes, parce que cela fait partie de leur métier.)&nbsp;<ref>La citation entre guillemets est la première phrase d’un autre ouvrage de Peyrefitte, ''[[Tableaux de chasse (Roger Peyrefitte)|Tableaux de chasse ou La vie extraordinaire de Fernand Legros]]'', Paris, Albin Michel, 1975.</ref>
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=2|page=112}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160203={{Extrait|id=5171684|{{personnage|Le prince de Candriano}} :<br>L’Italie est le pays de la beauté, jointe à la facilité.
{{Réf Livre|référence=L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|page=193|partie=Deuxième partie|chapitre=XVII}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160103={{Extrait|id=4507229|Je suis un homme d’ordre ; mais il y a un certain désordre propice à la liberté des mœurs… « Favorise le remue-ménage, a dit Goethe, tu seras partout chez toi. »
| 20160204={{Extrait|id=5219758|Chez l’enfant, les orgasmes fréquents accroissent l’intelligence, l’indépendance de la pensée : ils rendent les impubères spirituels, sociables, réceptifs, créatifs et profonds. On ne compte pas les masturbations, les accouplements naïfs, les grands camarades utiles, dans l’enfance des génies ou des talents modernes, telle qu’ils la content ou qu’elle est devinée.<br>À l’inverse, l’éducation châtreuse ne forme que des âmes stériles, rabougries, malfaisantes : une piétaille de petits employés. Impossible de couper la queue d’un homme sans lui abattre aussi la tête.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=2|page=126}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=92}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160104={{Extrait|id=4538612|Jadis, la maison de redressement prétendait corriger les enfants indisciplinés. Aujourd’hui, on leur impose une psychothérapie. Punition patiente qu’administrent des bourgeoises doucereuses, infatuées et perverses. Mais ces dames ne battent pas : elles violent.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=63-64}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160105={{Extrait|id=4569190|Être haï par les cons, jalousé par les aigris, exclu par les hypocrites ne l’avait jamais inquiété. Il y puisait même une subtile satisfaction.
| 20160205={{Extrait|id=5241686|L’amour des enfants lucides est difficile à garder.<br>Ou alors il faut être suffisamment estimable.
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=8|page=121}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=173}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160106={{Extrait|id=4586765|{{personnage|Claude}}<ref>Interprété par Yves Jacques, Claude est un professeur d’histoire, célibataire et [[homosexualité|homosexuel]].</ref> :<br>Nan mais je parle pas de ma vie sexuelle à moi. Non, sérieusement, je suis pas pédéraste. Mais… esthétiquement il y a rien de plus beau que les fesses d’un garçon de douze ans. Ni la chapelle Sixtine, ni la ''Messe en si mineur''. C’est sublime les fesses d’un garçon de douze ans. Même les filles à c’t âge-là c’est déjà mou…
| 20160206={{Extrait|id=5281600|C’est environ l’âge de treize ans que la plupart des êtres mâles atteignent à leur plus grande richesse d’âme.
{{Réf Film|titre=Le déclin de l’empire américain|auteur=Denys Arcand|réalisateur=Denys Arcand|producteur=Corporation Image M&M, ONF, Téléfilm Canada, Société Générale du Cinéma du Québec, Radio-Canada|année=1986|temps=39}}}}
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=72|section=''La relève du matin'', « La gloire du collège »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160107={{Extrait|id=4610292|Je tiens que notre époque est aussi favorable que n’importe quelle autre à notre bonheur, à l’assouvissement de nos passions. L’approbation de la société ? Je m’en tamponne le coquillard. C’est dans la clandestinité, le danger, la transgression que je puise mon équilibre, ma santé, ma joie. Un des charmes de l’amour des moins de seize ans, c’est qu’il se cache.
| 20160207={{Extrait|id=5305865|C’est un processus courant : les êtres jeunes et vierges peuvent avoir un certain dégoût, mêlé de curiosité, à l’égard de l’érotisme et de la sexualité. Et puis ça se transforme peu à peu en une véritable passion.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=84}}}}
{{Réf Émission|auteur=Michel Tournier|émission=Comment l’entendez-vous ?|réalisateur=Claude Maupomé|diffuseur=France Musique|date=25 décembre 1980}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Michel Tournier (citations)]]</p>
| 20160208={{Extrait|id=5319229|''The relationship between man and boy can be one of genuine love; it ''can'' be handled responsibly, whether or not sex enters into it, the man realizing that his boyfriend is growing up and will before too many years be ready to start a family of his own.''<br>—<br>La relation entre un homme et un garçon peut être faite d’amour authentique ; elle peut vraiment être conduite d’une manière responsable, que le sexe y prenne part ou non, l’homme comprenant que son jeune ami grandit et qu’il sera, dans quelques années, en mesure de créer sa propre famille.
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=9}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160209={{Extrait|id=5327127|Je ne suis pas un pédagogue. Pourtant, je ''sais'' que les jeunes êtres avec qui j’ai eu une liaison un peu suivie en sont sortis plus heureux, plus libres, plus ''réalisés'' au sens que l’Inde donne à ce mot.<br>Aimer un gosse n’a de sens que si cet amour l’aide à s’épanouir, à s’accomplir, à devenir pleinement soi-même, à faire voler en éclats les barreaux de la cage familiale, à repousser d’une main légère les faux devoirs auxquels la société prétend l’assujettir. Notre amour ne doit pas être un amour vampirique, égoïste, qui subjugue, soumet, accapare, jalouse, surveille, étouffe, l’amour du loup pour l’agneau ; il doit au contraire, cet amour, être un amour qui féconde, libère, « donne la vie », tel l’Esprit-Saint dans la prière byzantine.<br>L’aîné ne doit pas chercher à se faire aimer du gosse ; il ne doit pas chercher à se rendre indispensable.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=65}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160108={{Extrait|id=4662736|Une pédérastie fort active ne voue pas nécessairement à l’infortune.
| 20160210={{Extrait|id=5369967|Qu’est-ce que la beauté, sinon la forme visible de l’amour ? Amour pur, et amour impur. Une vie est heureuse, qui fait la part égale aux trois composants de notre être : le cœur, l’esprit et les sens.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|page=315}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160109={{Extrait|id=4700561|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Ce qui est imparfait […] peut en être plus parfait : l’esquisse est souvent plus belle que l’œuvre achevée. Ce mot de perfection, pris à la rigueur, n’évoque-t-il pas quelque chose de désincarné ? Un corps parfait ou idéal, c’est vraiment une sorte d’idée. On oublie la chair pour ne considérer que les lignes. Bien plus, quand on s’élève vers la perfection, on s’éloigne de la chair.<ref>Le prince d’Elbassan répond ainsi à miss Teacher, qui vient d’affirmer que des enfants « ne sauraient être beaux ni parfaits », car « ce qui n’est pas achevé ne peut être parfait ».</ref>
| 20160211={{Extrait|id=5376051|On est toujours ému de voir réussir un garçon qu’on a connu très jeune. On se dit que peut-être on n’y a pas été étranger.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=266}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=12|page=258}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160110={{Extrait|id=4704630|{{personnage|Abel Tiffauges}} :<br>Un grand soleil rouge s’est levé tout à coup devant ma face. Et ce soleil était un enfant.<br>Un ouragan vermeil m’a jeté dans la poussière, comme Saul sur le chemin de Damas, foudroyé par la lumière. Et cet ouragan était un jeune garçon.
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=368}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
| 20160111={{Extrait|id=4720263|Pour aimer les garçons, il faut des dispositions naturelles. Pour aimer les filles aussi. Et pour aimer les deux, il faut jouir d’une bénédiction toute spéciale de la déesse Vénus.
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160112={{Extrait|id=4769724|Rien ne m’est plus agréable que de rectifier un de mes préjugés. Quelque libres que nous soyons, nous sommes tous sujets aux partis pris, ce qui nous épargne la peine d’approfondir une question.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=8|page=312}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160113={{Extrait|id=4786721|Les mœurs amoureuses s’émancipent à mesure que l’eugénisme, la puériculture, la diététique, le sport embellissent les gens. Car la morale puritaine est le cache-misère des mal foutus. Moins ils seront, moins il y aura de prudes et de châtreurs.<br>Les peuples pauvres et beaux ont des habitudes sexuelles libérales : quand des lois oppressives sont édictées par leur classe dominante, ces lois demeurent inappliquées — faute de police et parce que les habitants n’y croient pas.<br>Mais la France, elle, a deux handicaps. Riche nation policière, elle a les moyens d’infliger ses lois cafardes. Peuple d’une laideur atterrante (elle choquait même un Sigmund Freud, ce joli cœur, alors étudiant à Paris), nous sommes condamnés à cultiver un obscurantisme sexuel massacrant.
| 20160212={{Extrait|id=5382525|Les femmes intelligentes adorent les pédérastes.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=88-89}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=6|page=125}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160213={{Extrait|id=5413992|Un pédéraste n’est jamais gâteux, car sa vie est une lutte incessante, dans laquelle il faut vaincre ou mourir.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=16}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160214={{Extrait|id=5414696|— Comment croire en ce gros dieu à barbe blanche, si je n’aime pas les poils ?<br>— Et le petit Jésus ?<br>— Ils ne l’ont pas crucifié enfant. Ça me gâche tout.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=27}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160114={{Extrait|id=4797015|L’essentiel est de savoir se reprendre, avant qu’une turpitude soit devenue une habitude.
| 20160215={{Extrait|id=5415606|C’est justement avec ceux qu’on aime qu’il faut être le plus exigeant, par rapport à soi et par rapport à eux.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=8|page=187}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=4|page=97}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160115={{Extrait|id=4818979|Tu es un homme original, une âme sensible, un tempérament singulier. Les êtres comme toi sont toujours en porte-à-faux dans la société. Moi, je m’y sens en porte-à-faux depuis l’âge de huit ans. Cela ne m’empêche pas de vivre, et d’être heureux. Qu’as-tu besoin de l’approbation des autres ?
| 20160216={{Extrait|id=5450524|Même si j’appartenais à une autre religion, je savourais tout ce que le catholicisme donne de raffinement à l’amour grec. Pour quelques drames, qui auraient été provoqués ailleurs par d’autres motifs, quelle pépinière d’Alexis et de Corydons est un collège religieux ! Ce n’est pas seulement à cause d’éventuels pères de Trennes, car l’enseignement laïc a les siens ; mais c’est parce que les religieux sont à peu près les seuls hommes à s’occuper vraiment des garçons et que le fait de s’occuper vraiment des garçons, crée des rapports amoureux entre hommes et garçons et, ce qui est plus singulier, entre garçons. Il va sans dire que, dans la majorité des cas, ces rapports restent d’ordre spirituel, mais l’amour grec est-il autre chose qu’une spiritualité virile, qui parfois surmonte l’attrait des corps et parfois y succombe ?
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« Georges Lapassade » (2009)|page=134}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. IV|page=25}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160116={{Extrait|id=4832300|{{lang|grc|Ἀκμῇ δωδεκέτους ἐπιτέρπομαι· ἔστι δὲ τούτου<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;χὠ τρισκαιδεκέτης πουλὺ ποθεινότερος.}}<br>—<br>Le summum du douze ans me délecte ; mais le treize ans est bien plus désirable.
| 20160217={{Extrait|id=5450890|Ce premier mouvement d’un cœur d’enfant qui est beau comme toute l’intelligence humaine.
{{Réf Livre|titre=Anthologie grecque, t. XI, Anthologie palatine, Livre XII|lieu d'édition=Paris|éditeur=Les Belles Lettres|année=2002|page=3|collection=des Universités de France|auteur de la contribution=[[Straton de Sardes]]|titre de la contribution=[[La muse garçonnière|{{lang|grc|Παιδική μοῦσα}} = La muse garçonnière]]|section=épigramme 4|ISBN=2-251-00016-X|traducteur de la contribution=BoyWiki|année de la contribution={{s|II|e}}}}}}
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=117|section=''La relève du matin'', « Trois variations sur le thème : Maîtrises »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de treize ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160117={{Extrait|id=4866128|Le gosse, ce lingot d’or qu’on enferme dans un coffre-fort. La famille, ce bunker merdique.
| 20160218={{Extrait|id=5485550|Le gosse ne doit être pris qu’à petites doses.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=108}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=302|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160219={{Extrait|id=5492659|Si dans notre société les très jeunes garçons et filles sont d’un commerce enchanteur, c’est parce que les adultes ne leur portent pas d’intérêt, que ce sont des gosses mal aimés, et qui n’ont même pas conscience d’être des objets de désir et d’amour. Aussi n’ai-je aucune nostalgie d’un statut officiel de la pédérastie. Que la chasse aux gosses demeure un sport périlleux, et défendu ! Moins il y aura de vilains messieurs qui séduiront les petites filles et les petits garçons, mieux ça vaudra. Le véritable amant, comme le vrai collectionneur, est le contraire d’un prosélyte.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=84-85}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160118={{Extrait|id=4873064|Beaucoup de pédagogues (instits, moniteurs, chefs scouts) sont des pédérastes, — parfois actifs, le plus souvent refoulés. C’est un prof qui l’avoue : « Tout désir d’éduquer est désir pédérastique perverti » (1). Cependant, motus et bouche cousue, ce ne sont pas des trucs qui se disent dans une société, la nôtre, dont l’une des colonnes d’Hercule est l’illusion que les chères têtes blondes (et brunes) ne peuvent être ni tentantes ni tentées.<br>(1) René Schérer, ''Émile perverti'', Paris, 1974.
| 20160220={{Extrait|id=5503221|« Notre intimité » qui avait une base physique, était purifiée par ce qui allait plus loin que les sens.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=31}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. IX|page=67}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160221={{Extrait|id=5508351|Je chanterai ici ce que j’aime, je chanterai la tendre troupe des petites filles et des jeunes garçons.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160119={{Extrait|id=4918117|Protéger les enfants contre le sexe — à commencer par le leur, qu’on détruit — est l’alibi que la droite invoque déjà dans plusieurs pays d’Europe pour infester la société, reprendre le contrôle des vies privées, des imprimés, des images, des propos publics, des initiatives impliquant des mineurs, régner par le soupçon, la dénonciation, l’enquête générale, perquisitionner à tout prétexte, déporter les enfants à l’écart du monde, ''harceler les libertés qu’elle ne peut pas abolir''.<br>La droite met ainsi à profit une faiblesse capitale des progressistes, qui n’ont eu ni le courage de réformer le minorat, ni l’imagination de créer pour les enfants, chacun selon son sexe, un statut social qui leur ménage le droit à une pensée personnelle et à une vie privée.<br>Mais y a-t-il un politique, un intellectuel « de gauche » qui voie dans l’enfant mieux qu’une bestiole d’âge et de sexe indéterminés, un peu attendrissante, un peu encombrante, qu’on a bien raison de (...)
| 20160222={{Extrait|id=5564874|Je ramène tout à l’amour et pour moi, il est grec. La pédérastie est la forme la plus inépuisable de l’amour, parce que c’est l’amour de la jeunesse. Même Don Juan ne saurait être amoureux de toutes les femmes, tandis qu’un pédéraste est théoriquement amoureux de tous les garçons.<br>&nbsp;&nbsp;&nbsp;''Chéris sans nombre qui n’êtes jamais assez !''<br>a dit Verlaine. Don Juan peut finir par renoncer aux femmes et devenir moine ; un vrai pédéraste est sur la brèche jusqu’à son dernier jour.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=138-140}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=1{{e}} partie, chap. II|page=15-16}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160223={{Extrait|id=5568799|Aimer quelqu’un : dévorer des yeux sa vie me console de la mienne. M’observer me dégoûtait : le contempler n’est que douloureux, et me nettoie de moi.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=13}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160120={{Extrait|id=4925322|Tous les enfants sont des hommes. Peu d’adultes le restent.
| 20160224={{Extrait|id=5579189|Les amoureux de la jeunesse forment une société secrète dont les membres n’ont pas besoin d’insignes ni de gestes convenus pour se reconnaître.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=140}}}}
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=deuxième partie|chapitre=3|page=166}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
| 20160121={{Extrait|id=4957534|{{personnage|Nil Kolytcheff}} :<br>Clandestinité et désinvolture, tel est le destin du philopède.
| 20160225={{Extrait|id=5590958|L’oppression des enfants est première, et fondamentale. Elle est le moule de toutes les autres.
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=II|page=32}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=41}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160122={{Extrait|id=4974291|Tout est souhaitable, à qui le souhaite. La sexualité embrasse la nature entière. Mais la pédérastie n’est pas nécessairement la sexualité. Elle est avant tout goût de la beauté, goût de la jeunesse et pas nécessairement goût de l’attentat à la pudeur ni prédisposition au viol.
| 20160226={{Extrait|id=5598004|Quand on voit aujourd’hui l’ordre moral prôné par les ligues chrétiennes d’Outre-Atlantique d’un côté, les fanatiques barbus mahométans de l’autre, étendre son ombre sur l’entière planète, on a l’impression, si l’on s’est battu pour la liberté, d’avoir labouré la mer, écrit et agi en vain. Ce n’est, Dieu merci, pas entièrement vrai.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=11|page=249}}}}
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« De la censure » (9 janvier 2012)|page=222}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20160123={{Extrait|id=4998855|La voix chantée du garçon impubère a la même emprise, les mêmes séductions que la vue et le toucher de son corps nu.<br>Les maîtrises ont construit de ce charme, au fil des siècles, un art musical émouvant et très chatouilleur, que seule en Europe méconnaît cette France qui ne s’émeut jamais, ne se chatouille guère et ne chante pas.
| 20160227={{Extrait|id=5606727|{{personnage|Le Chœur}} : Ainsi les hommes, le bonheur est sous eux, mais ils ne veulent pas y boire, à cause de raisons bêtes. J’ai pour leur bêtise un dégoût profond.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=136}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160124={{Extrait|id=5016436|{{personnage|Georges}} : Oui, oui, oui, nous le savons, c’est un enfant parfaitement sain ! Si au moins il ne l’était pas ! S’il avait une passion ! La fugue, le vol, la mythomanie… Mais il est lisse et sur ce lisse en vain je cherche à m’accrocher : je glisse et n’accroche pas.
| 20160228={{Extrait|id=5611918|{{personnage|Georges}} : J’avais cru que c’était ceci ou cela qui donnait un sens à ma vie : je voyais maintenant que c’était d’aimer. Gillou avait été bien des fois assez décevant : ah ! que ne l’avait-il été davantage ! J’aurais pu me libérer de lui. Mon affection me rongeait et m’empoisonnait. On s’adapte à tout, à l’inconfort, au froid, à la continence, au risque quotidien ; mais non à l’ignorance du sort de ce qu’on aime.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=249|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=224|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160125={{Extrait|id=5017270|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :<br>Les enfants nous montrent l’Amour et ne peuvent nous le faire atteindre. Ils n’en sont que l’image, mais c’est ce qui m’attache à eux, pour ce que chacun d’eux en reflète, quelques instants. Cette image de l’Amour, c’est celle de notre propre enfance, morte à jamais en nous, à jamais immortelle en eux.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=233}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160126={{Extrait|id=5062735|Les enfants ne nous intéressent qu’autant que nous pouvons bêtiser avec eux. Dans leur prime saison, qui ne les aime ! « Qu’il est gentil ! » — « Oh, le mignon ! » : la mièvre sentimentalité, les ineptes zézaiements. Mais, onze ans accomplis, fini de plaire ; on les traite avec agacement et dédain. Rien d’étonnant : c’est que leur âme est née. Quand leur âme sera morte — elle meurt chez le plus grand nombre aux alentours de la dix-huitième année, — la sympathie et l’attention reviendront d’elles-mêmes.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=72|section=''La relève du matin'', « La gloire du collège »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160127={{Extrait|id=5065938|Il est possible que des vieillards caducs soient affriolés par des êtres sans défense, petits garçons et petites filles, mais ce serait vouloir ridiculiser la pédérastie que d’en faire leur apanage. Elle naît spontanément entre jeunes mâles, parce qu’elle est une manifestation naturelle de la puberté et de la virilité.
{{Réf Livre|titre=« Grandeur et servitudes de la pédérastie »|auteur=Roger Peyrefitte|section=in ''Le Crapouillot'', n.s. n° 12, ''Les pédérastes''|éditeur=Le Crapouillot|année=1970|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160128={{Extrait|id=5067259|Vivre avec un enfant sans aimer l’étreindre et qu’il vous y provoque, c’est n’avoir que les corvées que sa faiblesse impose. La nature a fait les petits mammifères ravissants à voir et très épris d’être caressés, d’être léchés : cela attire les adultes nourrisseurs (sans compter quelques ogres), les fidélise et inhibe en eux le désir de meurtre qui s’éveille quand on subit la pression permanente d’un congénère importun. Le phénomène n’est pas sentimental mais neurochimique : ''normalement'' le contact du jeune éteint les violences que sa présence exaspérante peut inspirer à ceux qui ne le touchent pas.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=135-136}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160129={{Extrait|id=5077159|Jamais je n’ai pensé (au contraire !) que l’ascendance juive était une tare. Elle est quelque chose de plus, comme l’homosexualité, – elle n’est quelque chose de moins que par rapport au prépuce –, et je crois qu’on ne saurait me soupçonner de vouloir rabaisser quelqu’un en révélant qu’il est homosexuel. Une particularité qui était mienne, m’a aidé à en comprendre une autre qui ne l’était pas.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=1|page=17}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
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Version du 31 janvier 2016 à 09:41