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| 20160227={{Extrait|id=5606727|{{personnage|Le Chœur}} : Ainsi les hommes, le bonheur est sous eux, mais ils ne veulent pas y boire, à cause de raisons bêtes. J’ai pour leur bêtise un dégoût profond.
| 20160329={{Extrait|id=6110326|Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose. L’unique supériorité de la pédérastie sur la Vénus vulgaire est d’ordre pratique : celui qui aime les garçons ne risque pas de leur faire un enfant et, partant, d’être contraint au mariage par la famille de la jeune personne séduite. Quelle tranquillité !
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=87|section=''Pasiphaé'' (1936)}}}}
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : “Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose !”|périodique=Le Point|date=24 avril 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885.php matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885]}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160228={{Extrait|id=5611918|{{personnage|Georges}} : J’avais cru que c’était ceci ou cela qui donnait un sens à ma vie : je voyais maintenant que c’était d’aimer. Gillou avait été bien des fois assez décevant : ah ! que ne l’avait-il été davantage ! J’aurais pu me libérer de lui. Mon affection me rongeait et m’empoisonnait. On s’adapte à tout, à l’inconfort, au froid, à la continence, au risque quotidien ; mais non à l’ignorance du sort de ce qu’on aime.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=224|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160229={{Extrait|id=5638691|''Boys and women are cattle of same colour.'' « Les garçons et les femmes sont bétail de même espèce. » Shakespeare.<ref>Extrait d’une tirade de Rosalinde dans ''Comme il vous plaira'' (''As you like it''), acte III, scène 2 :<br>''I set him every day to woo me: at which time would I, being but a moonish youth, grieve, be effeminate, changeable, longing and liking, proud, fantastical, apish, shallow, inconstant, full of tears, full of smiles, for every passion something and for no passion truly any thing, as '''boys and women are for the most part cattle of this colour'''; would now like him, now loathe him; then entertain him, then forswear him; now weep for him, then spit at him.''</ref><br>Les gosses, comme les femmes, désirent qu’on s’occupe d’eux.<br>Chez les jeunes garçons qui n’ont autour d’eux que des femmes, un besoin du père, ou plutôt de l’homme, qui n’est pas sans analogie avec celui qu’ont les femmes.<br>Délivrance de sortir d’eux, (...)
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=297|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Les “préparations” de ''Fils de personne'' » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160301={{Extrait|id=5645299|{{personnage|Pierre}} : On parlait il y a trente ans de « l’amour libre ». Mais tout amour est une servitude.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=318|section=''Un incompris'' (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160302={{Extrait|id=5651356|Certains ne peuvent aimer que dans l’estime. Aimer de cœur, et même aimer sensuellement. […]<br>Mais c’est là une sorte particulière d’amour. Car il y a l’amour qui aime sans avoir besoin d’estimer. L’amour qui, à tout ce qu’il voit de mal dans l’être aimé, répète inlassablement : « Ça n’a aucune importance. » C’est l’amour des amants. […]<br>De ces deux amours je ne sais lequel préférer. J’ai ressenti plutôt le premier, toute ma vie. Aujourd’hui, j’imagine de pouvoir ressentir aussi le second. Amélioration, ou relâchement ? Disons que chacun de ces deux amours a sa beauté, et qu’il n’est pas nécessaire de donner à l’un ou à l’autre la prééminence.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=306|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160303={{Extrait|id=5709368|Proverbe florentin du {{s-|XV|e}} :<br>''Quando vòi prendere trastullo, usa spesso col fanciullo.''<br>Quand tu veux t’amuser, use souvent du garçon.
{{Réf Livre|titre=[[Le Porretane (Giovanni Sabadino degli Arienti)|Le Porretane]]|auteur=Sabadino degli Arienti|éditeur=Giuseppe Laterza & figli|année=1914|page=69|section=Novella XIII|année d'origine=1483|collection=Scrittori d’Italia}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p>
| 20160304={{Extrait|id=5718003|{{personnage|Alphonse Dulaurier}} :<br>Quand on est heureux, il ne faut pas le montrer, car la société ne vous le pardonne pas. Que dis-je, la société ! Il suffit parfois d’''un seul ennemi'' pour nous détruire.
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=IX|page=103}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160305={{Extrait|id=5736323|{{personnage|Salvador Dali}} :&nbsp;<ref>Propos tenu lors d’un déjeuner de Florence Gould.</ref><br>L’amour, c’est quelque chose qui se passe dans la tête et qui finit par trois petites gouttes dans le tuyau du pipi.
| 20160330={{Extrait|id=6113320|Il existe partout des hommes que des garçons rendent heureux en secret et qui rendent heureux ces garçons. Il existe partout également des jeunes gens et des garçons qui s’aiment.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/L’Innominato, Albin Michel, 1989|chapitre=6|page=257}}}}
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=4{{e}} partie, chap. VIII|page=170}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160331={{Extrait|id=6115258|Le Capitalisme sépare les tranches d’âge, de revenus, de cultures, etc. Il quadrille le peuple.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=27}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160401={{Extrait|id=6115735|''It is significant that in the Latin countries, sexual laws are less restrictive, less ferocious in language and penalties, and less all-inclusive in the categories of punishable acts, than in the Nordic countries in which puritanical Protestant theocracies had some role in preserving medieval laws. It is also significant that the age of consent for males and females is lower in these Latin countries than elsewhere, and that prosecutions are far more rare, public opinion—which pretty faithfully mirrors the legal codes—being far more relaxed and tolerant.''<br>—<br>Il est significatif que dans les pays latins, les lois sexuelles soient moins restrictives, avec un langage et des pénalités moins féroces, et moins étendues quant aux types d’actes punissables, que dans les pays nordiques où des théocraties protestantes puritaines ont contribué à préserver des lois médiévales. Il est également significatif que l’âge de consentement pour les deux sexes soit plus (...)
{{Réf Livre|référence=Greek love/Oliver Layton Press, 1964|traducteur de la contribution=BoyWiki|page=45}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Greek love (citations)]]</p>
| 20160402={{Extrait|id=6145863|Majesté du jeune garçon. À douze ans, on a douze ans, âge absolu. À quatorze ans, puberté faite et enfance abolie, on n’a plus qu’un an ou deux. Un ou deux ans d’adolescence. Et beaucoup d’hommes en restent là pour la vie, et se jugent supérieurs aux impubères.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20160403={{Extrait|id=6149037|J’ai toujours préféré les plaisirs qu’on se procure à ceux que l’on vous présente.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=330}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160306={{Extrait|id=5737386|{{personnage|Henry de Montherlant}} :<br>Vous, vous aimez les beaux. Moi, j’aime les pauvres.
| 20160404={{Extrait|id=6179900|Un beau garçon peut ruiner une vieille tête, une belle femme peut embrouiller une langue.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=4|page=58}}}}
{{Réf Livre|titre=Passions of the Cut Sleeve|auteur=Bret Hinsch|éditeur=University of California Press|année=1990|page=31|auteur de la contribution=Xun Xi (荀唏)|titre de la contribution=Intrigues des Royaumes combattants|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Chine]]</p>
| 20160405={{Extrait|id=6218822|Qui change les termes déclare la guerre.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=54}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160406={{Extrait|id=6265606|{{personnage|Le prince d’Elbassan}} :&nbsp;<ref>Le prince albanais d’Elbassan, accompagné du jeune Toinet, treize ans, est manifestement pédéraste, et ne s’en cache pas.</ref><br>Ce garçon n’est pas mon fils, ou plutôt il est mon fils de cette année, le fils de ce voyage.
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=224}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160407={{Extrait|id=6274263|D’inconcevables garçons ont tout juste de quoi pisser debout sans mouiller leurs baskets. Ils ne semblent pas nus.<br>Je soupçonne que, jadis, quelques jolis vertueux, pudiquement vêtus, ne refusèrent mes bonnes manières que pour garder cet embarrassant secret. Ils avaient tort. On a des compassions, des attendrissements : et l’amour fait voir grand contre l’évidence même.
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=85}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160408={{Extrait|id=6277519|Ô dur et douloureux enfantement ! La voix naissait : une extraordinaire chose qu’une voix de treize ans (qui occupe si peu de place) soit seule dans toute une grande église ! Elle naissait, elle montait, pure comme un rayon de lumière, mais fragile, et manifestement sans défense, et si nue qu’on en avait de la gêne, la crainte d’être indiscret.
{{Réf Livre|référence=Essais (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1963|page=116|section=''La relève du matin'', « Trois variations sur le thème : Maîtrises »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160307={{Extrait|id=5757633|{{personnage|L’Infante}} : Échouer à convaincre l’être auquel on veut tant de bien ! Comment le bien que l’on veut à un être ne resplendit-il pas sur votre visage et ne passe-t-il pas dans le son de votre voix, tellement qu’il soit impossible de s’y méprendre ?
| 20160409={{Extrait|id=6278336|''Like twelve, seven is an honourable age, and the ambition to attain it is laudable. People look forward to being seven.''<br>—<br>Comme douze ans, sept est un âge honorable, et l’ambition d’y parvenir est louable. On est impatient d’avoir sept ans.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=152|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
{{Réf Livre|titre=Penrod|auteur=Booth Tarkington|lieu d'édition=New York|éditeur=Grosset & Dunlap|année=1914|page=309|chapitre=XXVIII « Twelve »|traducteur=BoyWiki}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de sept ans]]</p>
| 20160308={{Extrait|id=5778985|On ne parlerait pas de l’inceste parents-enfants, car il n’est qu’un cas particulier de la relation adulte-enfant qui est l’une des plus riches lorsqu’elle est vraiment réciproque, on n’en parlerait pas, n’était ce sacré rapport de forces. Il gâte tout. Comment démêler désir de soumission ou crainte ? ou intimidation, ou forme tacite de chantage ? ou autorité naturelle… ?<br>Si, version mère-fils, pouvoir parental et pouvoir mâle vont en sens contraire, version père-fille ils s’additionnent. Il faut voir là la raison d’une plus grande fréquence du dernier cas, et, donc, l’importance du facteur pouvoir dans l’affaire.<br>Manifeste ou non, le rapport de pouvoir est là, dès lors l’inceste est du viol. Dommage.
| 20160410={{Extrait|id=6302166|On répète, à l’éloge des filles, qu’elles sont mûres bien avant les garçons.<br>Certes. Quand on a élevé côte à côte un bébé chimpanzé et un bébé humain, le singe a grandi et progressé beaucoup plus vite. À un an il dansait, il chantait, il savait déjà lire. — Mais quelles danses, quelles chansons, mais quels livres ! Aucun garçon n’en voudrait.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=88}}}}
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=53}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
| 20160411={{Extrait|id=6330950|[...] la morale islamique, qui est le contraire de la morale chrétienne, en ce qu’un péché n’est pardonné que si on ne l’avoue pas. En effet, si on avoue un péché, la honte en retombe sur la famille et sur la tribu tout entières. Mais il y a une façon de réparer un tort, quand il a été prouvé autrement : on indemnise la partie lésée.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=8|page=268}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160412={{Extrait|id=6335339|Après les notions de délinquant, prédélinquant, caractériel, débile, inadapté, personnalité psychopathique, voici la dénomination de « déviant », qui a le mérite d’être claire : il y a donc une Ligne ; et l’avantage qu’on peut mettre dedans ce qu’on veut : le vol de mob la fugue la désobéissance l’homosexualité (c’est-à-dire tout le monde qui a le malheur de se faire prendre) la sexualité solitaire l’hétéroprécocité le mauvais esprit la tête de lard l’insoumission précoce la manif la brebis noire le fille manqué la garçon manquée la haine des maths le génie hors programme l’insolence la liberté l’irrespect le bombage de murs les mauvaises lectures la grève les cheveux le pied le marcheur sur pelouse le rouleur d’herbe le promeneur trop loin la lumière trop tard le pas aimant le mal aimé le suicidaire le ras le bol la liberté la vie, tout ce qui dit pas papamaman quand on appuie sur le ventre. Tout est médicalisable et tout se traite.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=137-138}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160309={{Extrait|id=5797126|{{personnage|Le père Séraphin}} :<br>Les théories sur l’amour n’ont qu’un médiocre intérêt : seuls comptent les gestes  de l’amour.
| 20160413={{Extrait|id=6357124|Je crois que ceux qui soutiennent que l’amoureux des enfants est voué à la solitude du cœur, se trompent. En tout cas, mon expérience personnelle se situe aux antipodes de la leur. Ce qui m’impressionne chez les très jeunes, c’est au contraire leur capacité de don total de soi, leur abandon sans réserve à l’être aimé. Un adolescent amoureux ne compose pas avec l’amour, il a foi en l’absolu de la passion, il s’y livre entièrement. Cela est si vrai que ''le seul argument sérieux'' contre l’amour des moins de seize ans me paraît être que lorsque nous allumons un feu dans le cœur de l’un d’eux, nous ne savons pas si, passée la frénésie sensuelle des premiers jours ou des premières semaines, nous aurons encore envie d’alimenter ce feu, nous ne savons pas davantage si nous serons alors capables de l’éteindre. Détacher un/une gosse de soi est parfois plus difficile que de se l’attacher. Une femme, à la rigueur, on la prend, puis on la jette ; mais c’est un jeu qu’à moins (...)
{{Réf Livre|référence=Mamma, li Turchi !/La Table Ronde, 2000|partie=première partie|chapitre=3|page=32}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=56-57}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Mamma, li Turchi ! (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160310={{Extrait|id=5807618|L’amour oblige l’un à devenir l’autre.
| 20160414={{Extrait|id=6388767|Partout en sociétés industrialisées on observe ce glissement dangereux du jugement au diagnostic, de la peine au traitement.
{{Réf Livre|référence=Notre amour/Flammarion, 1967|section=2{{e}} partie, chap. III|page=41}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=62}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Notre amour (citations)]]</p>
| 20160311={{Extrait|id=5828411|Étant donné les conditions, spéciales, faites aux jeunes sur le marché du travail — sans parler du marché du chômage où on ne peut entrer du reste que si on a déjà assez travaillé pour ça — les seuls débouchés sont : les casses (où les jeunes se font exploiter par les receleurs, aux environs de 10 % de la valeur des vols) ; et la prostitution, en expansion parmi les enfants de familles pauvres, aussi bien pour les garçons que pour les filles (clientèle mâle pour les deux) ; s’ils se débrouillent pour ne pas se faire « protéger » (exploiter) par des professionnels, ils se trouvent là du moins à égalité d’exploitation avec les adultes, voire un peu plus cotés, vu leur fraîcheur. C’est le clair résultat obtenu par une réglementation « protectrice » dans une société fondée sur l’exploitation.
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=152}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160312={{Extrait|id=5837222|Dans le domaine de la pédophilie et des délits sexuels, un bon nombre de gens jouissent par délits interposés. […] Une des meilleures façons de se défendre de son trouble, c’est de condamner les autres. Les puritains, ce sont les plus grands obsédés sexuels au monde, il faut bien le dire. C’est vrai aussi pour la pédophilie. Vous savez comme moi que parmi les gens se trouvant au premier rang de la marche blanche, on a tout de même détecté des vrais pédophiles. C’est assez classique. On se défend contre des choses qu’on a en soi en condamnant les autres.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
| 20160415={{Extrait|id=6400925|{{personnage|Nestor}} (cité le 16 mars 1938) :<br>Il n’y a sans doute rien de plus émouvant dans la vie d’un homme que la découverte fortuite de la perversion à laquelle il est voué.
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
{{Réf Livre|référence=Le Roi des aulnes/Gallimard, 1970|page=57}}}}
| 20160313={{Extrait|id=5848601|Pendant des siècles, d’innombrables « pauvres bougres » grillèrent sur les bûchers d’une morale insensée, qui prétendait appliquer les lois du christianisme. Il était temps, pour les théologiens, de s’apercevoir que les empereurs Constantin, Valentinien et Théodose furent des monstres en réservant l’autodafé aux hérétiques de l’amour.
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Le Roi des aulnes (citations)]]</p>
{{Réf Article|auteur1=Roger Peyrefitte|titre=Sodome et l’Église|périodique=Le Crapouillot|num=34, ''L’Église et la sexualité''|date=août 1956|page=51}}}}
| 20160416={{Extrait|id=6410232|Ce goût des jeunes garçons, est-ce de l’homosexualité ? ''Stricto sensu'', oui : un garçon de treize ans est du même sexe que moi, donc en couchant avec lui j’accomplis un acte homosexuel. Pourtant, si ''homos'' signifie ''semblable'' en grec, il est clair que ce gosse et moi, nous ne sommes pas semblables.
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=22}}}}
| 20160314={{Extrait|id=5850684|''Il ne faut pas juger le mineur sur la mine.''<ref>Cet alexandrin est cité de façon légèrement différente par {{Référence:L’exilé de Capri/Le Livre de Poche, 1974|refcourte}}, page 113 :<br>''Il ne faut pas juger d’un mineur sur la mine.''</ref>{{Réf Article|auteur1=Alfred Jarry|titre=L’âme ouverte à l’art antique|périodique=Le Canard Sauvage|num=19|date=26 juillet-1{{Exp|er}} août 1903}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Alfred Jarry (citations)]]</p>
| 20160417={{Extrait|id=6419172|À dix ans, j’étais sans cesse amoureux, tantôt de fillettes, tantôt de garçonnets, mais, grâce à Dieu, les adultes de mon entourage s’en fichaient éperdument, et jamais l’un d’eux n’eut avec moi la moindre conversation d’ordre intime, ne me posa la moindre question indiscrète sur ma vie sentimentale. C’étaient des choses dont entre enfants et parents on ne parlait pas. En outre, dans la presse écrite, à la radio, le mot de “pédophilie” était inconnu au bataillon. Les instituteurs, les curés, les chefs scouts étaient bien tranquilles, les adolescents aussi, et comme il n’y avait pas dans ces histoires de touche-pipi de quoi fouetter un chat, tout se passait le mieux du monde.
| 20160315={{Extrait|id=5857725|Un enfant de douze ans, de qui le germe n’est pas fort, se gâte en huit jours.
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : théorie du genre, on se calme !|périodique=Le Point|date=3 février 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885.php matzneff-theorie-du-genre-on-se-calme-03-02-2014-1787231_1885]}}}}
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=305|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Pour la reprise de 1963 »}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160418={{Extrait|id=6430466|{{lang|grc|Ἀκμῇ δωδεκέτους ἐπιτέρπομαι.}}<br>—<br>Le summum du douze ans me délecte.
{{Réf Livre|titre=Anthologie grecque, t. XI, Anthologie palatine, Livre XII|lieu d'édition=Paris|éditeur=Les Belles Lettres|année=2002|page=3|collection=des Universités de France|auteur de la contribution=[[Straton de Sardes]]|titre de la contribution=[[La muse garçonnière|{{lang|grc|Παιδική μοῦσα}} = La muse garçonnière]]|section=épigramme 4|ISBN=2-251-00016-X|traducteur de la contribution=BoyWiki|année de la contribution={{s|II|e}}}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de douze ans]]</p>
| 20160316={{Extrait|id=5873535|Quand j’ordonne à un enfant : « Fais ceci ! », il n’apprend qu’à ordonner : « Fais ceci ! »<br>Quand je punis un enfant, il n’apprend qu’à punir un enfant.<br>Quand je subis un despote, je l’imagine à douze ans, hideux, honteux, glacé, sans camarades, la tête bleue de gifles. Impatient d’avoir grandi : dans ses rêves heureux, l’humanité entière y passera, et les femmes d’abord.
| 20160419={{Extrait|id=6443684|Hier, lorsqu’on parlait de philopédie, on songeait à Straton de Sardes, à Théocrite, à Catulle ; aux anges de Véronèse ; au mariage du duc de Lauzun ; aux écolières de Casanova ; aux nymphettes d’Ingres ; au Svidrigailov de Dostoïevski dans ''Crime et Châtiment'' ; aux photographies du baron von Gloeden ; à ''Jeunes filles en uniforme'' de Léontine Sagan ; au ''Blé en herbe'' de Colette (et d’Autant-Lara) ; au ''Tour d’écrou'' d’Henry James (et de Benjamin Britten) ; à ''Mort à Venise'' de Thomas Mann (et de Luchino Visconti) ; à ''Lolita'' de Nabokov ; aux toiles de Balthus. Nous étions dans un monde civilisé.<ref name="Mamma, li Turchi">Un passage très proche de celui-ci avait déjà paru dans le roman ''[[Mamma, li Turchi ! (Gabriel Matzneff)|Mamma, li Turchi !]]'', Paris, La Table Ronde, 2000, p. 116.</ref>
{{Réf Livre|référence=Abécédaire malveillant/Minuit, 1989|page=88}}}}
{{Réf Livre|référence=Séraphin, c’est la fin !/La Table Ronde, 2013|section=« À propos du viol » (13 décembre 2007)|page=93}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Abécédaire malveillant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Séraphin, c’est la fin ! (citations)]]</p>
| 20160317={{Extrait|id=5918502|Ces jolis gamins dont la race élégante pullule les rues, en Italie.
| 20160420={{Extrait|id=6459961|{{personnage|Annie Teacher}} :<br>Je bénis mon déséquilibre. N’essayez pas de me le faire perdre. J’y tiens autant que vous tenez à votre équilibre.
{{Réf Livre|titre=[[L’Élu (Achille Essebac)|L’Élu]]|auteur=Achille Essebac|éditeur=L’Édition Moderne, Ambert et C{{Exp|ie}}|année=1902|page=non précisée|chapitre=IV}}}}
{{Réf Livre|référence=L’oracle/Jean Vigneau, 1948|page=230}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Italie]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[L’oracle (citations)]]</p>
| 20160318={{Extrait|id=5951416|{{personnage|Philippe}} : Collège, collège, tout est collège ! Ce que nous savons le mieux, c’est notre commencement.
| 20160421={{Extrait|id=6466194|S’il y a un dieu pour les pédérastes, il leur rappelle souvent qu’il ne faut pas trop le tenter.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=27|section=''L’exil'' (1929)}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Propos secrets 2, Albin Michel, 1980|chapitre=10|page=326}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160319={{Extrait|id=5954671|Ancrons en nous l’idée, d’ailleurs si juste, de la ''folie de l’adolescence'', qui nous permet de leur pardonner.
| 20160422={{Extrait|id=6470416|Je croirai que la France est redevenue la patrie des droits de l’homme et des droits de l’esprit, lorsqu’un homme politique pourra, comme mon ami hollandais E. Brongersma, être à la fois sénateur et président de l’association des Amis de la Pédérastie.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=8|section=''L’exil'', « Préface de l’édition originale » (1929)}}}}
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=2|page=32}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160320={{Extrait|id=5956507|Les deux pièces de moi que les femmes préfèrent sont ''La Reine morte'' et ''La Ville dont le prince est un enfant''. […] La seconde — qui se passe dans un collège — parce qu’elles y voient ce que sont en réalité leurs jeunes fils, et les éducateurs de ceux-ci, dont elles n’avaient aucune notion.
| 20160423={{Extrait|id=6474157|Si les gosses sont plaqués, ils plaquent eux aussi, et méchamment. Les serments d’amour éternel, les projets d’avenir, que survienne une dispute un peu grave, et tout est remis en cause. Ils passent en un instant de la ferveur absolue à la radicale absence.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=202|section=''La reine morte'', « Souvenirs sur la création de ''La Reine morte'' » (1966)}}}}
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=60}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160424={{Extrait|id=6488552|La pédérastie, seule forme possible de la paternité pour celui qui répugne à fonder une famille. Paternité spéciale, mais paternité tout de même.
{{Réf Livre|référence=Les moins de seize ans/Julliard, 1974|page=73-74}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les moins de seize ans (citations)]]</p>
| 20160425={{Extrait|id=6497079|J’incline à croire que la valeur générale d’un être, à quatorze ans, c’est celle qu’il gardera toute sa vie.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=272|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Citations sur l’âge de quatorze ans]]</p>
| 20160426={{Extrait|id=6502148|{{personnage|Ferrante}} : On peut avoir de l’indulgence pour la médiocrité qu’on pressent chez un enfant. Non pour celle qui s’étale dans un homme.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=112|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20160321={{Extrait|id=5965689|Je constate qu’il y a un mouvement de répression finalement très sévère et très paradoxal parce que, dans le même temps, on sexualise toute la société, y compris les jeunes, et puis il y a une indignation curieuse. Une indignation qui empêche d’observer les phénomènes tels qu’ils sont et d’entendre ce que les gens disent. Qu’une victime dise entre guillemets qu’elle n’est pas victime, les gens de ma profession et le reste de la population vont dire : Mais c’est impossible. Il est encore plus malade qu’il ne le croit. […] Ça paraît scandaleux, invraisemblable et tout ce qu’on veut. Ce n’est évidemment pas conforme à la loi. Mais il ne faut pas tout mêler. Ce n’est pas parce que c’est illégal que c’est nécessairement insupportable pour tout le monde.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
| 20160427={{Extrait|id=6550190|Cela paraît invraisemblable et scandaleux que des personnes vivent cette expérience sans trouver cela abominable. C’est tout à fait politiquement incorrect, mais ce n’est franchement pas nouveau. On le sait depuis toujours. On ne veut pas le savoir, mais c’est comme ça. Il y a un certain nombre de personnes qui ont eu des expériences en tant que mineurs avec des personnes plus âgées et qui ne voient pas ça comme une violence, un désavantage et qui voient ça comme quelque chose de plutôt positif et favorable. On a beau s’en indigner, mais ce qu’un certain nombre de personnes vivent, c’est cela.{{Réf Article|auteur1=Christian Mormont|auteur2=interviewé par Didier Haine|titre=Un docteur en psychologie clinique : "Ce n’est franchement pas nouveau"|périodique=La Dernière Heure - Les Sports|date=28 juin 2013}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Christian Mormont (citations)]]</p>
| 20160322={{Extrait|id=6003431|Aucune honte à la suite des voluptés faciles. Sorte de paradis vulgaire et de communion par en bas. L’important c’est de ne pas y prêter d’importance, ni de se croire avili par elles : l’esprit n’y est nullement engagé, non plus que l’âme, qui n’y fait pas trop attention. Mais, dans l’aventure, un amusement et un plaisir extraordinaires accompagnent la joie de la découverte et de la nouveauté.
| 20160428={{Extrait|id=6584388|L’angoisse est le compagnon silencieux de l’enfance mais qui s’en doute ?
{{Réf Livre|référence=Journal (Gide)/volume II, Gallimard-La Pléiade, 1997|page=1058|année d'origine=''24 janvier 1948''}}}}
{{Réf Livre|référence=Les enfants d’abord/Grasset-Enjeux, 1976|page=89}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Journal d’André Gide (citations)]]</p>
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Les enfants d’abord (citations)]]</p>
| 20160323={{Extrait|id=6044843|J’accepte que le rôle de Gillou soit joué en travesti, à condition que le rôle de Marie soit joué par un garçon de quatorze ans.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=266|section=''Fils de personne ou Plus que le sang'', « Notes » (1943)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Fils de personne ou Plus que le sang (citations)]]</p>
| 20160324={{Extrait|id=6052170|{{personnage|L’Infante}} : Un jeune démon est toujours beau.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=147|section=''La reine morte'' (1942)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[La reine morte (citations)]]</p>
| 20160325={{Extrait|id=6065597|Une affaire de cœur n’est jamais une affaire de mœurs.
{{Réf Livre|référence=Propos secrets/Albin Michel, 1977|chapitre=15|page=296}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Propos secrets (citations)]]</p>
| 20160326={{Extrait|id=6084077|{{personnage|Porcellio}} : Vous êtes un magnifique démon, et les démons ont toujours seize ans.
{{Réf Livre|référence=Théâtre (Montherlant)/Gallimard-La Pléiade, 1972|page=356|section=''Malatesta'' (1946)}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Henry de Montherlant (citations)]]</p>
| 20160327={{Extrait|id=6086501|Entre vieux copains, les conversations ont nécessairement de la bouteille. Plus des hommes se connaissent de longue date, et plus ils ont leurs sujets de discussion, leurs thèmes, leurs tics, leurs plaisanteries, leurs mots de passe. Cela vaut pour tous, mais est plus manifeste encore chez les philopèdes qui sont, avec les poseurs de bombes, les vrais parias, les derniers intouchables de notre {{s-|XX|e}} finissant. Ces maudits que tout le monde rejette aiment à se retrouver entre eux. Avec qui d’autre pourraient-ils parler de leurs inavouables passions ? Ensemble, ils se tiennent chaud. Les amoureux des moins de seize ans sont des conspirateurs et des obsédés. C’est sans nul doute à leur usage qu’a été inventée l’expression « idée fixe ». Quelqu’un qui ne serait pas dans le coup et surprendrait des pédophiles en train de parler de leurs jeunes garçons, de leurs lycéennes, de leurs interrogatoires par la police et de leurs séjours en prison, de se montrer des (...)
{{Réf Livre|référence=Harrison Plaza/La Table Ronde, 1988|chapitre=XIII|page=142-143}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
| 20160328={{Extrait|id=6097338|Ce qui vient de l’enfance est ce qu’il y a de plus profond et de plus séduisant.<ref>Peyrefitte fait cette réflexion à propos de la lettre que lui a adressé « un garçon de quinze ans », jeune lecteur belge des ''[[Les amitiés particulières (Roger Peyrefitte)|Amitiés particulières]]'' qu’il évoquera dans la première partie de ''[[Jeunes proies (Roger Peyrefitte)|Jeunes proies]]''.</ref>
{{Réf Livre|titre=La mort d’une mère|auteur=Roger Peyrefitte|lieu d'édition=Paris|éditeur=Flammarion|année=1950|page=176}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Roger Peyrefitte (citations)]]</p>
| 20160329={{Extrait|id=6110326|Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose. L’unique supériorité de la pédérastie sur la Vénus vulgaire est d’ordre pratique : celui qui aime les garçons ne risque pas de leur faire un enfant et, partant, d’être contraint au mariage par la famille de la jeune personne séduite. Quelle tranquillité !
{{Réf Article|auteur1=Gabriel Matzneff|titre=Matzneff : “Aimer les filles, aimer les garçons, c’est la même chose !”|périodique=Le Point|date=24 avril 2014|page=[http://www.lepoint.fr/invites-du-point/gabriel-matzneff/matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885.php matzneff-aimer-les-filles-aimer-les-garcons-c-est-la-meme-chose-24-04-2014-1815738_1885]}}}}
<p id="cdjlnk">→ Citation extraite de la page [[Gabriel Matzneff (citations)]]</p>
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Version du 31 mars 2016 à 08:03