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Le '''Charmeur de serpent''' est une sculpture en marbre réalisée en 1875 par Martial Adolphe Thabard (1831-1905).
'''''Charmeur de serpent''''' est une [[sculpture]] en marbre réalisée en [[1875]] par Martial Adolphe Thabard ([[1831]] – [[1905]]).


Cette œuvre d'une hauteur d'1,40 m représente un [[jeune garçon]] aux cheveux bouclés, [[nu]] et assis, la jambe gauche tendue en avant. Il tient, dans sa main et autour de son bras gauche, un serpent en posture défensive qui fixe sa main droite. Le regard du garçon est concentré sur l'attitude du reptile et est parfaitement indifférent à son environnement.
Cette œuvre d’une hauteur d’1,40 m représente un [[jeune garçon]] aux cheveux bouclés, [[nu]] et assis, la jambe gauche tendue en avant. Il tient, dans sa main et autour de son bras gauche, un serpent en posture défensive qui fixe sa main droite. Le regard du garçon est concentré sur l’attitude du reptile et est parfaitement indifférent à son environnement.


Cette sculpture, acquise par l’État en 1875 est conservée depuis l'année suivante dans les jardins du Palais Royal. Le plâtre préparatoire, acquis par l'Etat en 1871 et exposé au Salon en 1872 se trouve au musée des Beaux-Arts de Limoges.
Cette sculpture, acquise par l’État en 1875, est conservée depuis l’année suivante dans les jardins du Palais Royal. Le plâtre préparatoire, acquis par l’État en [[1871]] et exposé au Salon en [[1872]], se trouve au musée des Beaux-Arts de Limoges.


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Version du 15 avril 2012 à 17:12

Charmeur de serpent est une sculpture en marbre réalisée en 1875 par Martial Adolphe Thabard (18311905).

Cette œuvre d’une hauteur d’1,40 m représente un jeune garçon aux cheveux bouclés, nu et assis, la jambe gauche tendue en avant. Il tient, dans sa main et autour de son bras gauche, un serpent en posture défensive qui fixe sa main droite. Le regard du garçon est concentré sur l’attitude du reptile et est parfaitement indifférent à son environnement.

Cette sculpture, acquise par l’État en 1875, est conservée depuis l’année suivante dans les jardins du Palais Royal. Le plâtre préparatoire, acquis par l’État en 1871 et exposé au Salon en 1872, se trouve au musée des Beaux-Arts de Limoges.