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|Dic mihi, quem portas, uolucrum regina ? « Tonantem ».
Nulla manu quare fulmina gestat ? « Amat ».
Quo calet igne deus ? « Pueri ». Cur mitis aperto
respicis ore Iouem ? « De Ganymede loquor ».
|Dis-moi, qui portes-tu, roi des oiseaux ? « Celui qui tonne ».
Pourquoi sa main ne lance-t-elle pas d'éclair ? « Il aime ».
Pour qui brûle le dieu ? « Pour un garçon ». Pourquoi, le bec ouvert,
te tournes-tu vers Jupiter ? « Je lui parle de Ganymède ».
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{{Citation courte|liseré|zzeze zerzerze zerzerzer}}
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Version du 21 février 2009 à 12:49

Special:ImageList
Special:NewImages

zzzzzz
ddddddd[ndr 1]

Êzzzzzzz[1]
dddddddd



  1. citation auteur


  1. citation rédacteur


Boy, twelve and a half. Comes up to my shoulder. Comes up to my. Comes. Dazzling gossamer waves caress his ears, his sweet korallion ears, boy arms circle my waist, wrist watch cold against me. He comes to my shoulder. Gracile waist ; hipless hips. Precious candied lips. His mouth breathes open. For long seconds no breath comes out. Comes then in tiny gasps. Comes. His cyan eyes half shut, a flaxen lash so glossy licks my chest. Boy, twelve and a half sings in the College chapel. Mozart makes him stiff. Makes him quiver in the stalls. The choirmen gaze on him with the look : they know. This is true, he tells me so. I kiss. I kiss the bloomy curve of his honey gold neck Garçon de douze ans et demi. Remonte vers mon épaule. Remonte vers mon… Remonte. D’éblouissantes vagues arachnéennes caressent ses oreilles, ses douces oreilles corallines, bras garçonniers encerclant ma taille, bracelet-montre froid contre moi. Il remonte vers mon épaule. Taille gracile, hanches déhanchées. Lèvres précieuses et luisantes. Sa bouche respire, ouverte. Longues secondes où ne s’en échappe aucun souffle. Puis s’échappe en tout petits halètements. S’échappe. Ses yeux de cyan à demi clos, cils de lin brillant qui effleurent ma poitrine. Garçon de douze ans et demi qui chante dans la chapelle du collège. Mozart le fait bander — lui donne des frissons dans les stalles. Les choristes, à cette vue, fixent sur lui leur regard : ils savent. C’est vrai, il me l’a dit. J’embrasse. J’embrasse la courbe épanouie de son cou de miel doré.


zzeze zerzerze zerzerzer


bbbbbbbbbbbbbbb {{{3}}}