La pédophilie en question (texte intégral) – V-1

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V. CHRISTIANISME ET PÉDOPHILIE






L’ÉGLISE ET LES PÉDOPHILES



Dans ce chapitre, je ne développerai pas mes réflexions sur la pédophilie en général ou les problèmes concernant l’âge du consentement pour les jeunes. Il en est longuement traité en d’autres endroits de ce livre. Quelques passages bibliques ayant trait aux enfants et au respect qui leur est dû se trouvent en exergue de cet ouvrage et sont ainsi proposés, dès le début, à la réflexion de ceux qui, pour ou contre la pédophilie, s’opposent de façon par trop passionnée. D’un côté, les pédophiles eux-mêmes, trop impliqués pour rester suffisamment objectifs, de l’autre, surtout des femmes — avec un instinct maternel très développé mais pas toujours bien intégré dans leur vie, et par ailleurs trop loin du vécu sexuel masculin (adulte ou enfant) qu’elles saisissent mal — qui souvent ne sont pas à même de porter sereinement un jugement sur la pédophilie.

Dans le christianisme, la pédophilie est un sujet des plus ambigus. Chez les protestants, il n’y a pas d’images représentant des personnes dans les édifices du culte, et l’art religieux est pratiquement inexistant1. En revanche, dans le catholicisme romain et chez les orthodoxes, les enfants, les anges (= messagers) sont omniprésents dans les représentations iconographiques, sculptures, peintures. Souvent ces enfants, que ce soit le « petit Jésus » lui-même, sont dénudés. Qui n’a pas, à un moment où à un autre, admiré leur charme ? Qui a inspiré ce type d’art ? Qui les a commandées ? Qui a permis qu’elles soient exposées dans les églises ? Sans oublier les œuvres musicales religieuses faisant appel à des voix d’enfants à une époque où les femmes n’étaient pas admises à participer activement au culte.

Cependant, les hommes d’église sont généralement très sévères à l’égard de la pédophilie, comme aussi, surtout pour les catholiques, à toute sexualité en dehors du mariage. Et encore faut-il la pratiquer selon des règles précises enseignées par le magistère, ainsi que le rappelle à chacun de ses voyages le pape actuel qui met constamment les « points sur les i ».

Un de mes collaborateurs, ancien prêtre catholique,[1] a payé de sa personne, vers l’âge de soixante-dix ans, lorsque ses tendances et pratiques pédophiles ont été révélées dans un malencontreux scandale. Comme on le voit, les foudres des supérieurs ecclésiastiques ne sont pas moindres que celles de l’administration judiciaire.

Dans la Bible, on ne parle pas de la sexualité des enfants. Lorsque David et son ami Jonathan vont dans les champs pour tirer de l’arc, l’auteur biblique précise que le « jeune servant » qui les accompagnait allait chercher les flèches mais « ne comprenait pas la chose ».

Jésus laisse venir à lui les petits enfants et les propose comme modèle de confiance et d’obéissance : « Ayant appelé un enfant, il le plaça au milieu d’eux et dit : En vérité, je vous le dis : si vous ne changez pas et si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Celui donc qui se fera humble comme cet enfant, c’est celui-là qui est le plus grand dans le Royaume des Cieux. » (Matthieu, 18, 2-4.) S’il porte un jugement sévère contre ceux qui scandalisent les « petits », c’est parce qu’il condamne fortement aussi l’hypocrisie, c’est-à-dire une façon d’agir non conforme à la vérité.

L’Église catholique considère que l’âge de sept ans, dit « âge de raison », est celui auquel l’enfant commence à discerner le bien du mal et devient capable d’un comportement responsable. Dans son droit canonique, elle a fixé à quatorze ans pour les filles et seize pour les garçons l’âge de la nubilité, mais elle demande à ses fidèles de se conformer aux dispositions coutumières ou dictées par les lois civiles lorsqu’elle imposent une limite supérieure.

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Au début des années 1960, le Pasteur Alje Klamer, de l’Église Réformée des Pays-Bas, chargé des émissions religieuses à la radio IKON2, de son pays, a eu l’idée un jour de prononcer une prière, entre autres, pour les pédophiles. Dans les jours qui suivirent, ce pasteur reçut une avalanche de lettres comme jamais il n’en avait encore eues, et de toute nature, allant de l’approbation la plus totale à la condamnation la plus sévère, et bon nombre d’entre elles exprimant le désespoir pour certains, la confession pour d’autres. De ce moment-là, le Pasteur Klamer s’occupa généreusement des pédophiles, et cela jusqu’à sa mort subite survenue en 1985.

Son attitude provoqua un déchaînement de passions aux Pays-Bas, région pourtant traditionnellement connue pour son état d’esprit tolérant. Le Pasteur Klamer prit conscience de l’ampleur du problème et du nombre assez considérable de personnes concernées par des pulsions pédophiles. Graduellement, et par la force des choses, il s’intéressa à la question et en vint à déclarer, comme je l’ai moi-même entendu sur les ondes, qu’il prenait la défense des pédophiles parce qu’il était chrétien, comme d’autres entraient dans la polémique avec des arguments contraires, se réclamant ensemble du même message chrétien, toutefois interprété différemment, on s’en doute bien ! Le Pasteur Klamer a obtenu le soutien sans réserve de deux autres ecclésiastiques éminents aux Pays-Bas, le Dr J.B.F. GOTTSCHALK, prêtre catholique et le Pasteur A.J.R. BRUSSAARD (qui fut président du C.C.L. à Paris). Indiscutablement, la force de ces trois hommes, appartenant pourtant à des Églises différentes, est justement venue de ce qu’ils n’étaient pas personnellement concernés par une problématique sexuelle, moins encore homosexuelle ou pédophile. Ils ont souvent subi des attaques de personnes hostiles à leurs engagements ; mais jamais on n’a pu les atteindre en raison de leur vie privée, le débat se situant toujours au niveau des idées. La Hollande est un pays où tout peut être discuté au grand jour.

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Une organisation hollandaise, la P.S.V.G., fondation nationale protestante aux Pays-Bas, s’est constituée en 1957 avec pour but l’information, la formation, la prévention et l’entraide par rapport aux relations humaines et la sexualité. Elle a édité jusqu’en 1982 une revue mensuelle de très bonne qualité Gezond Gezin (Foyer Sain). Elle a également publié vingt brochures remarquablement rédigées sur des sujets ayant trait à la sexualité : la contraception, l’amour sans enfant par choix, les maladies sexuellement transmissibles, les drogues, l’orgasme chez les filles et les femmes, la sexualité et les jeunes à partir de douze ans, la stérilisation, la sexualité du troisième âge, la ménopause, la prostitution, l’avortement, la sexualité et les handicapés mentaux, la sexualité et les handicapés physiques, l’inceste, l’impuissance… La quatrième brochure, publiée en février 1979, et tirée à 20 000 exemplaires, a traité de la pédophilie.

Dans cette brochure, Pédophilie, la plupart des préjugés sont démasqués et des conseils sont apportés aussi bien aux pédophiles qu’aux parents, aux enseignants, et aux enfants eux-mêmes. En finale, les auteurs préconisent un changement dans les mentalités et dans la société pour que soient éliminées les angoisses non justifiées à l’égard de la pédophilie et plaident pour une modification de la législation actuellement trop répressive. En cela, le P.V.S.G. partage mon point de vue tel que je l’ai présenté dans le chapitre de ce livre intitulé La Pédophilie : Quelques réflexions, mais avec de nombreux exemples illustrant ces affirmations et propositions.

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Dans le début des années 1980, en Belgique, le Pasteur Thijs WEERSTRA, pasteur hollandais qui a exercé son ministère pastoral durant plusieurs années dans la région bruxelloise, a eu le courage d’aborder au grand jour le sujet de la pédophilie. Ce ne fut pas sans peine qu’il arriva à constituer un groupe chrétien œcuménique d’études sur cette question, avec lequel il rédigea et publia plusieurs documents et textes divers concernant la pédophilie.

Au moment de démarrer ce groupe, il avait adressé une lettre à tous les pasteurs néerlandophones de Belgique (traduction française en fin de ce chapitre). Il évoquait le problème de la pédophilie et demandait à ses collègues de lui faire connaître leur expérience pastorale à ce sujet. Il reçut seulement une dizaine de réponses plus ou moins nuancées, allant de la condamnation sans réplique à une attention favorable à la question. Un seul pasteur cependant fit mention d’avoir rencontré un cas de pédophilie dans l’exercice de son ministère. Le groupe de travail proposa alors aux pasteurs de se rencontrer afin d’approfondir ensemble les aspects de cette question et de chercher quelle attitude pastorale adopter à l’égard de la pédophilie. Aucun ne saisit cette occasion de dialogue, et la proposition en est restée là. Toutefois, le sujet fut longuement abordé lors de la Conférence théologique, en 1983, dont l’un des thèmes fut précisément sur l’éthique et la pédophilie, avec, entre autres, un exposé du professeur G. van Leeuwen sur cette question. D’autre part, la même année, à la Faculté de Théologie Protestante de Bruxelles, eut lieu, sous la direction du professeur G. Goedhart, une rencontre entre étudiants et pédophiles qui s’est déroulée dans une très bonne atmosphère.

Le Pasteur Weerstra, marié et père de famille, est retourné aux Pays-Bas où maintenant il exerce son ministère dans les Églises Re-réformées. Il est encore l’auteur de plusieurs ouvrages intéressants en néerlandais sur d’autres sujets. Le groupe qu’il a constitué continue de fonctionner, un peu au ralenti il est vrai, mais reste quand même actif, et publie toujours des textes concernant la pédophilie.

Nous reproduisons à la fin de ce chapitre quelques textes émanant soit du Pasteur Weerstra soit du groupe qu’il a suscité car, à ma connaissance, c’est le seul groupe chrétien en Europe qui se soit intéressé, en tant que chrétien, à cette frange de la société. C’est pourquoi nous tenons à publier entièrement plusieurs de leurs documents qui ne doivent pas tomber totalement dans l’oubli. Nous remercions vivement tous ceux qui ont sauvé ces circulaires ronéotypées et qui nous les ont confiées pour leur publication dans ce présent ouvrage. Ces textes pourront servir de base pour la réflexion à d’autres chrétiens qui s’intéressent à ce type de pastorale.

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Pour en revenir au Pasteur Klamer, l’initiateur d’une pastorale pour les pédophiles, il convient de rappeler qu’il avait comme principe de suivre l’attitude même de Jésus qui, justement, s’arrêtait là où d’autres continuaient leur chemin (voir, par exemple, en Luc, le passage du bon samaritain). La pédophilie, pour lui, appelait ce genre de démarche. On lui a reproché de déballer ce type de problème à une radio protestante de grande écoute. Mais, répondait-il, si ce n’est pas à la radio chrétienne que l’on peut aborder les problèmes profondément humains, où voulez-vous qu’on le fasse ? L’Évangile n’est-il pas pour tous et en particulier pour ceux qui sont mal compris, rejetés par la société bien pensante ?

Son choix pastoral a été clairement une attitude d’ouverture, de partage. Dans son émission radiophonique, il laissait place à des débats passionnés où des pédophiles, et également des femmes parfois très têtues comme ce n’est pas permis, eurent l’occasion de s’exprimer librement. Ce genre de carrefour est très hollandais : on n’est pas obligé d’être d’accord avec les interlocuteurs, mais il faut au moins les écouter et les prendre au sérieux.

C’est bien là que la société (on parle du « monde » dans la Bible, surtout dans le Nouveau Testament) est interpellée par les chrétiens. Il n’est pas possible, lorsqu’on est chrétien, de considérer la foi comme uniquement spirituelle, détachée de la réalité humaine quotidienne. Le message central du christianisme est justement « la Parole s’est faite chair, et elle a habité parmi nous » (Jean I). Alors, comme chrétiens, notre vie entière doit rendre témoignage de notre foi, de notre engagement. C’est bien là que les chrétiens sont différents des représentants de certaines sectes qui pensent posséder à eux seuls toute la vérité et se contentent uniquement de répandre la bonne « parole ». C’est tout simplement « se payer de mots ». Le christianisme est exigeant et l’exemple de Jésus est, on ne peut plus significatif : il a dû payer de sa vie son engagement d’amour pour les autres, les petits, les méprisés, les rejetés de la société de son temps.

En ce qui me concerne, j’ai pris comme attitude de base une pastorale d’écoute, d’ouverture à l’égard de tout comportement sexuel, même lorsque cela ne correspond pas à mes propres sentiments. Comme pasteur, aussi bien que comme psychologue, il ne s’agit pas pour moi de vouloir inculquer aux autres ma propre vision des choses, ma propre échelle des valeurs, mais au contraire de les aider à vivre et à s’épanouir selon leur rythme personnel.

L’expérience de la nouvelle naissance, de la conversion, dont parle l’évangile, est une expérience unique dans la vie de tous ceux qui ont accepté Jésus comme leur Seigneur et Sauveur personnel. Paul décrit cet événement dans sa vie comme « lorsque des écailles me sont tombées des yeux » (Actes, 9, 18), ou encore « lorsque les yeux de mon cœur se sont illuminés » (Éphésiens, 1, 18). Mais Paul gardait néanmoins la structure de personnalité qu’il avait auparavant, avec son tempérament coléreux, une maladie des yeux et un tourment psychologique, ce qu’il appelle « l’écharde dans ma chair » (2 Corinthiens, 12, 7-9). Par trois fois il avait prié le Seigneur de l’en délivrer et il avait eu pour seule réponse : « Ma grâce te suffit. » Certains n’ont pas hésité à interpréter ce fait de la vie de Paul en laissant entendre que sa sexualité lui posait problème, homosexualité ? pédophilie ? ou autre pulsion encore ? Nous l’ignorons, mais cela n’a pas vraiment d’importance.

En devenant chrétien, chacun garde sa personnalité, mais l’existence est, pour lui, désormais éclairée d’une lumière de grâce, de paix et d’amour venant du Christ ressuscité. Le vrai chrétien en est conscient et cherche alors à servir les autres plutôt que de les condamner, à les comprendre plutôt que de les mépriser, et les aider à surmonter leur solitude dans les relations humaines d’affection et de tendresse. La sexualité n’est pas exclue, au contraire, mais elle n’est plus l’essentiel de la vie, moins encore une idole aveuglante.

Dans l’entretien pastoral, il convient de se souvenir « que la Loi est venue par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus » (Jean, 1, 17). Un entretien pastoral n’est pas plus une interview qu’un cours de morale et une séance de psychothérapie. Il doit se centrer avant toute autre chose sur la signification de Jésus dans la vie — l’existence du frère ou de la sœur qui s’interroge sur sa propre vie. Quant au pédophile, il ne doit pas en être autrement, pas davantage pour les parents ou les enfants qui approchent le pasteur d’âmes.

Ainsi, la pédophilie n’est pas un acte isolé, mais peut être, pour le jeune comme pour l’adulte, une forme particulière de vie, sa vie affective et sexuelle à la lumière de l’Évangile, la bonne nouvelle.

Pasteur Joseph DOUCÉ,
Église Baptiste.
Paris, octobre 1987.




  1. Ce qui se retrouve également chez les Juifs et les Musulmans.
  2. IKON est un sigle pour un nom un peu long en néerlandais : Interkerkelijke Omroep Nederland, qui signifie Fréquence Inter-Églises aux Pays-Bas. La loi hollandaise partage les ondes et les heures d’émissions généralement selon les vieux principes de la démocratie et de la tolérance, et accorde ainsi des temps d’émissions en proportion de l’importance de toutes les sensibilités religieuses, politiques ou idéologiques du pays. IKON dispose ainsi d’un bon nombre d’heures sous la responsabilité de huit Églises protestantes. Le Pasteur Alje Klamer a été employé par cette radio et, depuis sa mort, c’est le Pasteur Hans Stolp qui assure ces émissions.


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Table des matières
Page de titre. En exergue
Remerciements, par le pasteur Joseph Doucé
Sommaire
Préface, par le docteur Jacques Waynberg
Introduction, par le pasteur J. Doucé
    I. TÉMOIGNAGES
1) Fragments d’un discours impossible, par Hugo Marsan
2) Interview d’Antonio, par le pasteur J. Doucé
    II. JURIDIQUE
1) Les relations sexuelles des mineurs selon le droit français, par Pierre Lenoël
2) Pédophilie et responsabilité, par Anneke S. C. Visser
3) La pédophilie en Italie, par Piergiovanni Palminota
    III. Dr EDWARD BRONGERSMA
Biographie du docteur Edward Brongersma
a) Un autre regard
b) L’adieu
c) Un pionnier : Hajo Ortil
d) Le consentement de l’enfant
e) Les pédophiles et la Justice
f) Pornographie et législation
g) Le pédophile devant ses juges
h) Jeunesse et sexualité
i) Pères et fils
j) La situation aux Pays-Bas
    IV. PSYCHOLOGIE
La pédophilie : quelques réflexions, par le pasteur J. Doucé
    V. CHRISTIANISME ET PÉDOPHILIE
L’Église et les pédophiles, par le pasteur J. Doucé
Documents :
a) Lettre aux pasteurs de paroisse d’Églises protestantes néerlandophones de la Belgique, par le pasteur Thijs Weerstra
b) La pédophilie : menaçante ou… non comprise, par le pasteur Th. Weerstra
c) À propos de l’enfant, de la sexualité et de la Bible, par le pasteur Th. Weerstra
d) Groupe de travail œcuménique pédophile en Flandres
e) Le processus de l’autoacceptation
Vers une pastorale des pédophiles, par le pasteur Alje Klamer
    VI. LITTÉRATURE ET PÉDOPHILIE
Littérature et pédophilie, par Gérard Bach
    VII. ASPECTS DU MOUVEMENT PÉDOPHILE
par Maurice Balland, Érick Pontalley, etc.
Introduction. – I, Pays-Bas, Belgique, France
II, Allemagne. – III, Suisse. – IV, Angleterre. – V, Pays scandinaves. – VI, États-Unis
VII, Position de l’I.L.G.A. – VIII, Pedophile Information Pool
    VIII. BIBLIOGRAPHIE ET DOSSIER DE PRESSE
par Pierre Fontanié et Maurice Balland
A — F (Abu-Nuwas → Franco)
G — L (Gagnon → Louÿs)
M (Man → Musil)
N — Z (Nabokov → Ziegler)
    IX. ANNEXES
a) Index des noms cités
b) Chez le même éditeur
c) Information : C.C.L.
4e page de couverture

Voir aussi

Source

Articles connexes

Notes et références

  1. Il s’agit du père Maurice Balland (19142003), prêtre capucin impliqué dans une affaire de mœurs en 1981, et devenu ensuite le principal collaborateur du pasteur Doucé.